Cela parla profondément à l’âme prolétaire lorsque Karl Marx laissa raisonner les mots de la « marchandise force de travail humain ». Pris à la base le prolétaire se tenait regardant en arrière dans l’évolution historique de l’humanité, en ce qu’il comprit ces mots du travail humain marchandise dans son sens. Dans l’antiquité la culture économique avait besoin d’esclaves. L’humain entier était vendu comme une marchandise ou comme un animal. Ensuite vint un autre ordre économique du servage. Moins était vendu de l’humain, mais malgré tout encore beaucoup. Alors apparu l’époque plus récente, avec laquelle put se former capitalistiquement d’appeler la large masse du prolétariat à une certaine formation scolaire, laquelle devait cultiver d’une certaine manière la démocratie. Et ne fut pas compris à temps, de voir ce qui comme un germe pour l’avenir reposait dans le tablier du présent. Ne fut pas observé à temps, combien il est nécessaire, d’extraire l’achat et la vente de la force de travail humaine du cycle de l’économie. Le prolétariat moderne éprouva cela comme une transplantation du vieil esclavage qu’il doive vendre sa force de travail sur le marché du travail d’après l’offre et la demande, comme on achète et vend des marchandises. Ainsi, il se sentit attelé au processus économique, ne se sentit pas se distingué de celui-ci, comme les autres couches de la population. Il se sentit entièrement placé en lui.
Alors, on doit vendre sa force de travail, ainsi l’on vend donc l’humain entier, car on doit donc porter l’humain entier, là où l’on vend la force de travail. Le temps était venu, où l’on aurait du considérer, que la force de travail humain devait être articulée ainsi à l’organisme social, qu’elle ne soit marchandise, où le vieux rapport de salaire ne pouvait subsister plus longtemps. On n’a pas vu cela. C’est la tragédie de la vision de la vie bourgeoise que partout le moment juste ait été manqué, qu’ait été manqué, ce qui était nécessaire dans l’évolution capitaliste et démocratique moderne.