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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: La conscience juridique apparaît de la rencontre à la place des dons
 
Les références sont disponibles sur le CD
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Qu’est au fond le droit ? Oui, je me suis vraiment efforcé des dizaines d’années durant de voir clair justement sur les différentes façons de voir des humains sur les idées du droit. Je dois avouer, lorsque l’on s’approche de cela conformément à la vie, conformément à la réalité donc pas théoriquement, alors on se dit finalement : le droit est quelque chose, qui provient comme un originel, un élémentaire de chaque poitrine humaine saine. Tout comme la capacité de voir bleu ou rouge comme couleur, par des yeux sains, et ainsi que l’on ne peut jamais apporter la représentation de la couleur bleue ou rouge à quelqu’un qui a un œil malade ou aveugle, ainsi on ne peut apporter à quelqu’un, ce qui est droit dans un domaine concret particulier, si la conscience du droit, qui est quelque chose d’élémentaire, d’originel, comme voir une couleur ou entendre un son est quelque chose d’élémentaire, ne vit en lui.


Cette conscience du droit prend sa source, j’aimerai dire, d’un tout autre coin de la vie de l’âme que tout ce qui est fait dans la vie spirituelle dans l’évolution de l’humanité, tout cela repose sur du talent.

La conscience du droit n’a au fond rien à voir avec le talent. C’est quelque chose qui se développe de la nature élémentaire humaine, mais seulement dans la fréquentation des humains, tout comme on peut aussi apprendre le langage dans la fréquentation des humains.
Cette conscience du droit, qu’elle parle forte et clairement, qu’elle surgisse obscure de l’âme humaine, c’est quelque chose, que l’âme humaine veut former en soi. Alors que le prolétaire prit part à la vie spirituelle et juridique universelle par les conditions d’éducation modernes, par la démocratie, là apparut chez lui aussi la question après le droit. Mais il trouva, en ce qu’il demanda après le droit – oui, que trouvât-il ? Voyez-vous à l’intérieur de son âme, alors vous trouvez la réponse à cette question. Il trouva, lorsqu’il jugea de son point de vue le point du droit, non des droits, mais des privilèges, conditionnés par les différences de classe de l’humanité. Il trouva, que ce qui s’était instauré comme droit positif, n’avait au fond que découlé des privilèges des classes favorisées, comme discrimination chez les classes non possédantes. Il trouva sur le sol du droit la lutte des classes à la place de l’expression du droit.


Cela l’emplit de la conscience, qu’il ne pouvait aussi aller de l’avant seulement s’il est un prolétaire conscient de sa classe, s’il se cherche un droit à partir de cette classe. Cela le conduit au deuxième membre de sa vision du monde : surmonter la différence de classe, afin que puissent apparaître les structures de la vie juridique étatique sur le sol où ces différences de classe se sont montrées.