Le cycle des processus économiques devra reposer sur des bases associatives ; sur des bases purement démocratiques, sur le principe de l’égalité de tous les humains dans leurs rapports les uns aux autres, devra reposer au sens strict la véritable organisation politique. Et de cette organisation politique surgira quelque chose de tout autre que le pouvoir économique, lequel fait marchandise la force de travail.
De la vie politique séparée de la vie économique surgira le véritable droit du travail, où uniquement et seul pourra être établi mesure et travail et autre concernant la force de travail négocié entre humain et humain.

Comme on peut aussi croire, que les choses seraient aussi déjà devenues un peu meilleures en des temps récents : ce de quoi il s’agit fondamentalement n’est pas devenu mieux. Par la manière dont la force de travail du prolétaire se tient dans le processus économique, le prix de la force de travail faite marchandise dépend des prix des autres produits économiques, des prix des marchandises. Chacun voit cela qui vraiment regarde profondément dans le processus économique.

La chose deviendra autre, quand indépendamment des lois de la vie économique et de son administration, à partir de l’État politique, à partir de la pure administration et législation démocratique de l’État politique un droit du travail existera. Qu’apparaîtrait-il alors ?

Alors apparaîtra, que ce que l’humain fournit par sa force de travail à l’organisme social, se tient dans un tel rapport vivant comme aujourd’hui justement les conditions naturelles. On peut dans certaines limites repousser un peu la fertilisation technique du sol et semblable, déplacer un peu les solides frontières des conditions naturelles ; seules ces conditions naturelles définissent cependant la vie économique dans une mesure abondante à partir d’un côté. Tout comme de ce côté la vie économique est conditionnée de l’extérieur, doit être conditionnée la vie économique de l’autre côté, en ce qu’elle ne fasse plus dépendre la force de travail d’elle, mais que soit fournie une certaine force de travail à partir de soubassements purement humains.
Alors, le travail fait le prix de la marchandise, alors la marchandise ne conditionne plus le prix du travail !

Alors, peut tout au plus apparaître, que si de quelques raisons la force de travail ne peut être suffisamment fournie, que la vie économique s’appauvrit. Mais à cela doit être remédié parce que sur sol juridique sera cherché remède, et non de la pure vie économique.

À la base repose dans la vie économique seulement ce qui demande après offre et demande. Avec le droit du travail, qui est placé sur la base de l’État politique autonome, devront être placés sur les mêmes bases aussi tous les droits nécessaires restants. Bref, on devra – je ne peux qu’évoquer cela à cause du peu de temps – nécessairement voir directement dans le décorticage l’un de l’autre des deux domaines : la vie juridique et la vie économique, l’idéal d’un organisme social sain dans l’avenir.