Nous regardons peu aujourd’hui, comment toute la vie de l’humain est toujours plus mûre et plus mûre. Des humains intérieurement sincères comme Goethe sentaient ce devenir plus mûr et plus mûr. Goethe voulait aussi encore apprendre dans l’âge le plus avancé, il n’était pas encore terminé comme humain. Et il regardait en arrière dans sa jeunesse, dans ses années d’homme, dans tout ce qui s’était passé dans la jeunesse et dans ses années d’homme, comme préparation à ressentir pour ce qu’il pouvait vivre dans l’âge.
Ainsi, l’on ne pense que très peu dans le temps présent, notamment alors que l’on considère l’humain comme être social. Aujourd’hui, avec vingt ans chacun voudrait être membre d’un corps et – comme on le dit maintenant - juger démocratiquement. Ainsi, l’humain ne peut se représenter, que l’on a quelque chose à attendre de la vie, dans laquelle on murit toujours plus et plus en allant vers l’âge. À cela, les humains ne pensent pas aujourd'hui. – Cela est une chose, que nous devons de nouveau apprendre, toute la vie, apporte quelque chose à l’humain pas seulement les deux à trois premières décennies.