Vous savez, dans les différents parlements du monde, se sont dans les temps passés, disons nous, dans la première moitié du 19e siècle, encore un peu plus tard, se sont dégagées deux orientations de parti, desquelles on avait en fait jusqu’à présent un assez grand respect : une orientation de parti l’une conservatrice et l’une libérale.
L’autre chose qui a émergée concernant les partis s’est donc seulement ajoutée plus tard à ces deux partis de base. Mais voyez-vous, c’est si nécessaire aujourd’hui, que l’on passe à la chose par-dessus la phrase, et que sur beaucoup l’on n’interroge de ce fait pas, ce que les humains qui, eux-mêmes, les représentent , en disent, mais ce qui réside dans la sous-conscience des humains. Et là vous trouverez, que ces humains, qui se reconnaissent dans quelque parti tinté plus conservateur, sont tels, que de quelque manière, on plus à faire avec l’agraire, avec le « prendre soin » (NDT : Besorgung) de fond et sol, donc le membre originel de la culture humaine.
Évidemment à la surface peuvent apparaître toutes sortes d’apparitions annexes. Je ne dis pas, que chaque conservateur doit être un agrarien, naturellement il y a partout des gens qui courent avec, partout il y en a, qui de la phrase s’accrochent à un quelconque principe ; mais on doit regarder vers la chose principale, et celle-là est que ce qui a un intérêt à maintenir certaines formes structurelles de l’ordre social, à ne pas les laisser trop vite s’orienter en avant, est la population agraire.

Ce qui provient plus de l’industriel, ce qui provient plus du travail détaché du pays (NDT : au sens « paysan »), cela est libéral, cela est progressiste.
Ainsi, ces orientations de parti se rapportent à quelque chose de plus profond ; et l’on devrait partout chercher, à sortir ces choses hors de la phrase, des mots jusqu’aux choses.

Mais finalement, ce sont toutes des choses, lesquelles nous disent seulement une chose, que nous avons fortement vécu dans une culture des mots.

Nous devons parvenir à une culture des choses, à une civilisation des choses, nous devons venir à cela, que nous ne nous ne nous laissons plus impressionner par des mots, par des programmes, par des orientations en mots, mais nous devons venir à cela, comprendre la réalité, et nous devons avant toutes choses comprendre de telles réalités, qui sont plus profondes que culture de pays et culture des villes ou culture agraire et culture industrielle.