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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: La rémunération des fonctionnaires fourni un modèle pour séparation de travail et revenu.
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes 185a 213-215 (1963) 24/11/1918
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Vous trouvez une autre valeur de référence dans le mémoire commencé sur « Théosophie et question sociale », que j’ai, il y a des années, publié dans « Lucifer-gnosis », une valeur de référence, de laquelle je m’étais convaincu, qu’elle serait prise de son plein poids par au moins quelques humains. J’ai là rendu attentif à quelque chose qui devrait agir comme un axiome social. J’ai rendu attentif à ce que déjà une fois dans cette structure sociale ne peut rien sortir de prospère, quand la condition se présente, que l’humain soit rémunéré pour son travail immédiat. Devrait apparaître une structure sociale prospère, ainsi cela ne devrait être – lisez la rédaction, il doit donc encore y en avoir -, ainsi cela n’a le droit d’être, que l’humain soit payé pour son travail.
Le travail appartient à l’humanité, et les moyens d’existence doivent être créés à l’humain sur d’autres chemins que par payement de son travail. J’aimerai dire, comme je l’ai déjà fait dans ce mémoire : quand tout de suite le principe du militarisme, mais sans État, était transposé sur une certaine partie – je veux bientôt parler de cette partie – de l’ordre social, alors serait gagné énormément beaucoup. -
Mais à la base doit reposer justement la considération que tout de suite non guérison est là sur sol social quand l’humain se tient ainsi dans la société, qu’il est payé pour son travail selon qu’il fait beaucoup ou peu, justement est payé pour son travail. L’humain doit avoir son existence à partir d’autre structure sociale. Le soldat reçoit son moyen d’existence, alors il doit travailler ; mais il n’est pas immédiatement rémunéré pour son travail, mais pour ce qu’il se tienne à une certaine place comme humain. Il s’agit de cela. C’est cela qui est le plus nécessaire principe social, que le rapport du travail soit pleinement séparé de la fourniture des moyens d’existence, au moins sur un certain domaine du rapport social.
Aussi longtemps que ces choses ne seront pas clairement discernées, aussi longtemps nous ne parviendrons à rien de social, aussi longtemps des dilettantes, mais qui parfois sont professeurs, comme Menger, parlent de « plein gain du travail » et semblable, qui est tout du lavis-lava (NDT construction personnelle pour l’intraduisible « Wischiwaschi »). Car justement le gain du travail doit être pleinement séparé de l’obtention du moyen d’existence dans un ordre social sain. Le fonctionnaire, s’il n’était bureaucrate par pénurie d’idées, le soldat, quand s’il n’était pas militariste par pénurie d’idées, est dans certains rapports – dans certains rapports, ne me mécomprenez pas – l’idéal des rapports sociaux . Et pas un idéal des rapports sociaux, mais l’adversaire des rapports sociaux, quand le contexte social est ainsi quand l’humain ne travaille pas pour la société, mais pour lui .
C’est la transposition du principe non égoïste sur l’ordre social. Qui comprend seulement l’égoïsme et l’altruisme dans le sens sentimental, celui-là ne comprend en fait rien aux choses.
Mais celui qui, pratique, sans sentimentalité, avec pure raison humaine saine discerne que chaque société doit de manière nécessaire aller dans l’abîme, dans laquelle l’humain ne travaille que pour lui-même – par conséquent purement cela, avec d’autres mots, qui es formé égoïstement dans l’ordre social, celui-là sait le juste.

C’est une loi, aussi surement agissante qu’agissent les lois de la nature, et on doit simplement connaître cette loi. On doit simplement posséder la possibilité, d’avoir à disposition de manier la saine raison humaine ainsi que telle loi nous apparaisse comme un axiome de la science sociale. On n’est encore aujourd’hui pas si éloigné de reconnaître une pareille chose. Mais l’assainissement des conditions dépend donc entièrement de ce que tout comme quelqu’un considère le théorème de Pythagore comme quelque chose de fondamental, il met à la base de la structure sociale cette phrase : tout travailler dans la société doit être ainsi que le gain du travail revient à la société et que le moyen d’existence soit obtenu non comme gain du travail, mais par la structure sociale.

De tels axiomes sociaux, il y en a naturellement tout un nombre, car la vie sociale est naturellement compliquée. Mais nous nous tenons aujourd’hui une fois devant la nécessité, de penser d’une quelque manière, comment la structure sociale devrait amener le développement humain sur des rails sains. Là on doit avant toutes choses avoir un coup d’œil sain pour les parties, pour les morceaux, pour les membres de la vie sociale. On doit de manière saine pouvoir tenir séparés les différents membres de la vie sociale.