Lorsque l’on considère des Anglais cultivés sur l’art et la manière, comment ils parlent sur l’Europe, sur l’Europe centrale, en particulier en Europe centrale d’après certaines directions ayant été donnant le ton de l’Allemagne, ainsi disent-ils habituellement – verbalement et aussi dans la littérature – à peu près ce qui suit : chez nous tout repose sur une certaine base démocratique. L’humain individuel est à un haut degré donnant la mesure pour ce qui se passe dans la vie spirituelle, mais aussi économique.À l’initiative de cet individu est laissée libre la plus grande partie des affaires publiques.

Mais regarde-t-on vers l’Europe du centre – je ne veux maintenant pas du tout prétendre, que ces choses sont absolument justes, mais veux seulement caractériser ce qui justement est une opinion générale -, alors se fait remarquer une certaine autocratie, un certain principe d’administration par toutefois de bons fonctionnaires administratifs, qui du centre de la vie étatique, décident, comment les rapports des humains individuels devraient se dérouler. Ce sera là, de manière aiguë, toujours montré, au moins avant la guerre, sur le principe centralisateur, sur plus ou moins le principe autocratique. Le regard serait-il maintenant déployé plus loin vers l’Est, ainsi devrait, sous le maintien de la même manière de penser, être dit : plus loin vers l’Est ne se trouve pas seulement l’autocratie, mais se trouve une sorte d’autocratie patriarcale, qui n’est pas seulement entremêlée de ce que des humains décrètent qui administrent, mais qui est décrété par une impulsion religieuse, ainsi que ce que les humains font sur terre, ils le ressentent même décrété par des puissances et entités spirituelles, extraterrestres, dont ils saisissent les impulsions dans leur ressenti.

Derrière une telle manière de voir se cache de toute façon du très important, cela joue dans toutes formations sociales du présent.
On peut dire, plus loin on avance vers l’Ouest, d’autant plus l’humain est lié avec son entier penser et ressentir avec les affaires auxquelles il a à veiller.
Et regarde-t-on vers les affaires économiques, ainsi cela apparaît le plus distinctement.
À l’Ouest l’humain déploie ce qu’il veut déployer dans la vie économique, par cela, qu’il essaye vraiment de pénétrer dans les détails de ce qui lui échoit.

Il a un rapport personnel, immédiatement personnel aux affaires extérieures de la vie. Dans le centre européen c’est toutefois dans un certain sens – pour lequel l’observateur psychologique du monde cela doit se représenter ainsi – autrement.
Là règne le sens pour, cela intervient, ce que l’anglais nomme de son point de vue « administration scientifique de l’état », que certaines idées prérègnent, que l’on considère comme justes, forment les lois et doivent s’intégrer dans les principes d’administration, qui tout d’abord seront embrassés dans un système administratif, dans un système étatique. Et l’unique, qui alors se rapproche des affaires de la vie immédiate, aussi aux affaires économiques, celui-là a d’abord toutefois sa pratique économique en vue ; mais il regarde quand même toujours à partir de lui vers ce qui porte dans un certain sens un caractère juridique-étatique, ce qui dans l’un est à insérer à ce système.
Et il regarde l’unique qu’il fait comme un membre d’un tel système. L’anglais n’a pas l’inclination d’inventer un tel système, il a en vue seulement ce qui se présente concrètement pour les particularités de la vie, pas ce qui se réfléchit comme un système d’ensemble pour ainsi dire par-dessus le tout.

Avec cela est aussi indiqué vers une apparition historique, qui dans les temps récents est devenue particulièrement importante.