Qui pense dans un sens véritablement pratique ce qui est évoqué, cela signifie en accord avec les conditions factuelles, celui-là pourra trouver, qu’avec cela est construit une base, où peut se calmer des questions aussi compliquées que la question autrichienne des langues au sein des États – et langue véhiculaire -  et la question coloniale allemande. Car avec ce qui est pensé ici est évité l’erreur que l’on a faite jusqu'à présent, notamment que l’on pensait à la solution d’une telle question, sans que l’on ait créé les fondements factuels (Tatsachen-Grundlagen), sur lesquels une solution se laisse d’abord construire. On partait jusqu’alors plutôt de construire un ouvrage de premier étage, sans penser au rez-de-chaussée.
Mais ce rez-de-chaussée est pour les États d’Europe centrale la reconnaissance de leurs structures nécessaires conforme à la nature en représentation et administration conservatrice-historique-politique séparée de l’organisation des éléments économique-opportunistes et spirituel-culturels. Se tient-on fortement sur ce sol, alors seulement peut sur cette base être parlé de parlementarisme, démocratisme et semblable.