La guerre doit conduire en Europe du centre à ce que, en rapport à ce qui dans la vie des peuples, des États et de l’économie l’existant devient visible.
Seul par cela on peut forcer l’Angleterre à ne pas se conduire plus longtemps avec les autres États sur le chemin d’une diplomatie réfléchie, mais à se laisser traiter d’égal à égal sur ce qui entre les sociétés humaines européennes est à traiter.

Sans que soit remplie cette condition toute poursuite du parlementarisme anglais en Europe du centre n’est rien d’autre qu’un moyen, de se jeter du sable dans les yeux. En Angleterre sinon, quelques personnes trouvent toujours moyens et chemins, de laisser exécuter leur politique de réalité par leur parlement, pendant donc qu’une action allemande et autrichienne ne deviendra pas déjà intelligente seulement parce qu’elle sera décidée par un rassemblement d’environ 500 élus à la place de quelques hommes d’État.
On peut à peine se penser (NDT : se représenter ?) quelque chose de plus malheureux que la superstition, que cela provoquerait un sortilège, si au reste, de ce que l’on a toléré de l’Angleterre, on ajoute encore maintenant, qu’on se laisse imposer le modèle (NDT : ou cliché) démocratique. Avec cela ne doit pas être dit, que l’Europe centrale ne doit pas faire l’expérience d’une évolution dans le sens d’une formation politique interne, seulement une telle n’a pas le droit d’être une imitation de la soi-disant démocratie Ouest Européenne, mais elle doit justement apporter ce que cette démocratie en Europe centrale devrait empêcher à cause de ces conditions particulières. Ce soi-disant démocratisme est notamment seulement approprié à ce que les humains d’Europe centrale soient faits une partie de la domination mondiale anglo-américaine, et se laisserait-on aller en plus aussi encore à la soi-disant organisation inter étatique des actuels internationalistes, alors on aurait la belle chance, comme Européen du centre d’être constamment en minorité au sein de cette organisation interétatique.

Ce dont il s’agit, c’est de montrer les impulsions, qui résident vraiment ici, et auxquelles les ennemis occidentaux, si elles sont démontrées, verront qu’ils devraient se saigner à une poursuite plus avant de la guerre. Contre des prétentions au pouvoir les ennemis peuvent mettre en œuvre leur pouvoir et le feront, aussi longtemps que cela reste prétentions. Contre de véritables forces de pouvoir, ils tendront les armes. Contre Wilson doivent être tenues des manifestations agissantes telles qui vraiment en Europe du centre pourrons être faites pour la libération de la vie des peuples, pendant que ses mots ne peuvent rien leur apporter que la domination mondiale anglo-américaine.

Le consensus avec la Russie ne nécessite pas d’être recherché par un programme centre européen de la réalité ; car celui-ci se montre de lui-même. Un tel programme centre européen n’a pas le droit de contenir, ce qui est seulement des affaires d’État internes, mais juste quelque chose qui a quelque chose à voir avec le rapport vers l’extérieur.

Mais évidemment, il doit être regardé dans cette direction correctement ; car si un humain peut bien penser, est certes une affaire de son organisation interne,  mais si donc par cette bonne pensée il agit vers l’extérieur dans telle ou telle direction, n’est pas une affaire interne.

C’est pourquoi, seul un programme centre européen peut battre le Wilsonisme, qui est réel, cela ne signifie pas qu’il met en valeur ceci ou cela de souhaitable, mais simplement est simplement une description de ce que l’Europe centrale peut faire, parce qu’elle a en elle les forces pour ce faire.

1. Que l’on considère : l’objet d’une représentation populaire ne peuvent être que le pur politique, les affaires militaires et policières. Celles-ci sont seulement possibles sur la base des soubassements formés historiquement. Sont-elles représentées pour elles-mêmes en une représentation populaire et administrées par une fonction publique responsable devant cette représentation, ainsi elles se développent nécessairement conservatrices.  Une preuve extérieure pour cela est que depuis que la guerre a éclaté la social-démocratie elle-même est devenue conservatrice. Et elle le deviendra encore plus, plus elle sera forcée, conformément au sens et aux faits de penser à cause de cela que dans la représentation populaire seul les affaires politiques, militaires et policières peuvent être l’objet. À l’intérieur d’une telle institution, l’individualisme allemand peut aussi se déployer avec son système d’État fédéral, qui n’est pas une chose fortuite, mais contenue dans le caractère populaire allemand.
2. Toutes les affaires économiques seront ordonnées dans un parlement économique particulier. Quand celui-là est déchargé de tout politique et militaire, alors il déploiera purement ses affaires comme cela leur est uniquement et seulement adapté, notamment opportunément. De la fonction administrative de ces affaires économiques, à l’intérieur de ce domaine où réside aussi l’ensemble des lois douanières, seul est responsable le parlement économique.
3. Toutes les affaires juridiques, pédagogiques et spirituelles sont données à la liberté des personnes. Sur ce domaine l’État a seulement le droit de police, pas l’initiative. Ce qui est pensé ici n’est qu’apparemment radical. En réalité ne peut buté sur ce qui est pensé ici, que celui qui ne veut pas étreindre les faits des yeux. L’État laisse aux corporations de branche, de profession, des peuples, d’ériger leurs tribunaux, leurs écoles, leurs églises et laisse à l’individu de fixer son école, son église, son juge. Naturellement, pas au cas par cas, mais pour une certaine durée.
   Au début ce devra volontiers être limité par les frontières territoriales, cependant cela porte en soi la possibilité, de compenser aussi les différences nationales par des voies pacifiques. Cela porte même la possibilité en soi, de créer quelque chose de réel à la place des vagues tribunaux d’État. Aux nationalistes et agitateurs supplémentaires seront par là prises entièrement leurs forces. Pas d’Italien à Trieste trouverait de partisan dans cette ville, si chacun pouvait déployer ses forces nationales en elle, malgré que par d’évidentes raisons économiques ses intérêts économiques seraient ordonnés à Vienne, et malgré que son gendarme serait payé de Vienne.

Les formations politiques d’Europe pourraient se développer ainsi sur des bases d’un sain conservatisme, qui jamais ne serait soumis à la fragmentation de l’Autriche, mais au plus à son extension.

Les formations économiques se développeraient de manière opportune ; car personne ne peut vouloir avoir Trieste dans une formation économique, où cela doit péricliter économiquement, quand la formation économique ne retient pas de faire ce qu’il veut concernant église, nationalité et ainsi de suite.

Les affaires culturelles seront libérées de la pression que les choses économiques et politiques exercent et elles arrêtent, d’exercer une pression sur celles-ci. Toutes ces affaires culturelles se maintiendront durablement dans un mouvement sain.