L'exigence fondamentale pour l'activité de l’idée de triarticulation doit de ce fait être le souci, qu'aux plus d'humains possibles revienne la vue, comment seulement du fondamental pourrait présentement aider.
Beaucoup trop d’humains ont jusqu'à présent formé leur capacité de jugement sur les conditions publiques seulement à partir de cercles de vie les plus étroits. Ceux qui se tiennent dans les grosses entreprises de notre vie économique sont justement dans cette situation. Ils s’écrivent des possibilités de jugement sur des conditions englobantes ; et ne connaissent seulement que ce qui s’est donné de leurs cercles de vie étroits.

L’explication sur les rapports de la vie publique, qui sont aujourd’hui disponibles en des mesures si réduites, doit être exigée. L’idée de la triarticulation rencontrera d’autant moins d’opposition, si plus d’humains peuvent savoir comment les forces de la vie publique étaient actives jusque-là et comment elles devaient conduire à la catastrophe actuelle. Tout ce qui peut conduire à l’élargissement d’une présentation allant dans ce sens, prépare le sol pour l’action pratique de l’idée de triarticulation.

On devrait à cause de cela se promettre moins des confrontations avec les membres de tel ou tel parti, qui la plupart, tant qu’ils veulent rester dans le parti, aimeraient quand même réinterpréter dans leur sens chaque pensée d’un porteur de l’impulsion de triarticulation.
On devrait, aussitôt que l’on a considéré la fécondité de cette impulsion, prendre soin pour cette compréhension dans les plus larges cercles. Car rien ne se laisse commencer avec ceux qui ne veulent pas la triarticulation, mais seulement avec ceux, qui sont parcourus par elle. Avec eux seuls se laisse parler aussi sur les particularités de la vie publique. On doit donc se clarifier qu’avec Erzberger n’est pas à parler de guérison de la vie publique, aussi longtemps que Erzberger est Erzberger. (NDT : Matthias Erzberger, homme politique allemand et journaliste *1875 +1921)

Je couche cela sur le papier, parce que je vois, que dans cette direction, pas n’importe qui, qui tient quelque chose de l’idée de triarticulation, fait voile en eau juste. L’idée de la triarticulation est justement une telle, que l’on doit servir entièrement, quand on veut absolument la servir. Elle rend possible de se confronter avec chacun ; mais la confrontation ne doit rien lâcher de la radicalité de l’idée. On agira dans ce sens, lorsque l’on considère, quels sont les véritables fondements du déclin. De cette considération doit venir le courage de la radicalité. Car la perplexité régnante est donc seulement la conséquence de l’insuffisante vue.