Dans la question du pain est fichée une question des bases naturelles. Mais elle est disponible pour chaque être ayant besoin de nourriture. En rapport à elle ne peut pas du tout être parlé de « pensée sociale ». Cela commence d’abord aux accomplissements que l’humain soumet aux bases naturelles par sa pensée. Par sa pensée il maitrise les forces naturelles, par sa pensée il se met en un contexte de travail avec d’autres humains, qui tisse dans la vie sociale le « pain » arraché à la nature. Pour cette vie la question du pain est une question de pensée.
Il ne peut que s’agir de répondre à la question : quelles sont les pensées fructueuses, qui, amenées à la réalisation, laissent ressortir du travail humain la satisfaction des besoins humains ?

On peut donner droit à chaque, qui maintenant, après qu’il ait entendu la même explication, dit : cela est donc une sagesse primitive : pourquoi énonce-t-on d’abord telle évidence ?
Oh, on délaisserait bien volontiers cet énoncé, si ces humains qui trouvent que l’énoncé est superflu, n’étaient les mêmes qui au dommage de la saine pensée sociale le battaient dans le vent avec leur sagesse, que « donc les pensées ne peuvent produire de pain ».

Et ainsi, cela se tient aussi avec l’autre sagesse, par laquelle on voudrait se fermer au sérieux de la question sociale : il s’agit avant tout de ce que les gens travaillent de nouveau. L’humain travaille, quand dans son âme germe la pensée, qui le propulse au travail. Doit-il travailler dans le contexte de la vie sociale, ainsi il ressent son existence (Dasein) seulement comme humainement digne, quand dans cette vie règnent des pensées qui lui laissent apparaître ses collaborateurs dans la lumière de cette dignité.
Certains cercles, aussi orientés socialistes, voudraient remplacer cette motivation au travail par la contrainte au travail. C’est justement une manière de se fermer à la révélation de la nécessité d’idées sociales fructueuses.