Ce que Hartmann amène comme raisons pour le pessimisme, cela signifie pour la vue, que rien ne peut nous contenter pleinement dans le monde,  que constamment l’ennui l’emporte sur le plaisir, cela j’aimerais tout de suite le décrire comme le bonheur de l’humanité.
Ce qu’il présente, ne sont pour moi que des preuves qu’il est vain, d’aspirer à un bonheur.
Nous devons justement abandonner une telle aspiration et chercher notre vocation purement là-dedans, de remplir désintéressé chaque tâche idéale, que notre raison nous détermine. Qu’est-ce que cela signifie d’autre, que nous devrions chercher notre bonheur seulement dans l’accomplir, dans l’activité sans relâche ?

Seul l’actif et d’ailleurs l’actif désintéressé, qui avec son activité n’aspire à aucun salaire, remplit sa vocation. C’est stupide de vouloir être rétribué pour son activité ; il n’y a pas de vrai salaire. Ici Hartmann devrait continuer à construire. Il devrait montrer, ce qui donc sous de telles conditions pourrait être le seul mobile de tous nos actes.
Il peut, quand la vue d’un but aspiré tombe, seulement être là l’ardeur désintéressée à l’objet, auquel on dédie son activité, ce peut être que l’amour. Seul un acte à partir de l’amour peut en être un moral. L’idée doit être dans la science, l’amour être dans l’acte de notre guide (NDT « Leitstern » = « étoile directrice »). Et avec cela nous sommes de nouveau arrivés à Goethe. «  À l’humain actif, il s’agit de ce dont il fasse le juste, que le juste arrive, ne doit pas le concerner. » « Tout notre exploit réside là dedans que nous abandonnions notre existence, pour exister. »