(…). « Il se met à briller chez des humains particuliers, comme c’est insensé, quand de manière démocratique par exemple doit être jugé sur une question qui doit intéresser l’industrie. Dans les branches qui sont étatisées, il est jugé par l’administration centrale ou l’équivalent, cela signifie sous les circonstances d’une majorité d’humains, qui peuvent mettre en minorité chaque petite minorité, qui justement comprend quelque chose à la chose. De ce fait maints ont préconisés : donc oui, le parlement on doit l’avoir, l’état unitaire on doit l’avoir, donc pour la vie économique nous devons au moins avoir des comités industriels, des représentations des métiers au parlement. Oui, mais il s’agit de ce que les représentations professionnelles au parlement puissent du reste faire valoir pour elles – ce qui alors peut être décidé de groupement professionnel à groupement professionnel – ce qui est nécessaire ; pas qu’a nouveau qu’en tout soit de nouveau fait des câlins ensemble dans un parlement et peut être ce qui est à décider pour un cercle, soit décidé par les autres que cela ne concerne pas du tout.

(…) Justement celui qui prend la démocratie au sérieux, doit séparer la vie économique et la vie spirituelle – qui ne peuvent pas du tout reposer sur la démocratie, mais de ce qui ressort de la connaissance des choses et des connaissances professionnelles – de ce qu’est la vie juridique au sens large, qu’elle ne peut que se développer lorsque dans le parlement se tient face à face l’humain devenu majeur à l’autre humain devenu majeur comme un égal.
Et il à cause de cela il ne peut s’agir, que des comités professionnels se forment dans un parlement démocratique et qu’alors quand même des décisions seront obtenues par des décisions à la majorité, mais que des agissements directs de groupements professionnels se présente ce qui de l’essence de la vie économique se développe de soi-même.