Cela sera aussi méconnu des pensants socialistes
aujourd'hui. Les pensants socialistes se représentent
une quelque figure que devrait adopter la vie
économique, afin que disparaissent certains dommages
de nature sociale dans le futur de l'humanité. On a vu
et c'est donc facile à voir que par l'ordre économique
de capitalisme privé du siècle dernier certains
dommages sont survenus. Ces dommages sont évidents.
Comment juge-t-on ? On se dit : l'ordre
économique capitaliste privé est survenu ; il a
apporté les dommages. Les dommages disparaîtront quand
nous abolirons l'ordre économique capitaliste privé,
quand nous laisserons avancer l'économie commune (NDT
Gemeinwirtschaft) à la place de l'ordre
économique capitaliste privé. Ce qui comme dommages
s'est levé et venu par là que des propriétaires
particuliers ont personnellement les moyens de
production pour propriété. Quand maintenant des
propriétaires particuliers n'auront plus les moyens de
production pour leur propriété, mais que la communauté
administrera les moyens de production, alors
disparaîtront les dommages.
Maintenant on peut dire : des
connaissances particulières , les pensants socialistes
se les sont aussi déjà remportées, et il est
intéressant comme ces connaissances particulières sont
déjà absolument agissantes dans des cercles
socialistes. On dit aujourd'hui déjà : oui, les
moyens de production ou le capital, lequel est donc le
représentant des moyens de production, devraient être
administrés communautairement. Mais on a vu à quoi a
conduit par exemple l'étatisation de certains moyens
de production, l'étatisation de la poste et des
chemins de fer et ainsi de suite et on ne peut
absolument pas dire que les dommages auraient été
écartés par ce que l’État est maintenant devenu
capitaliste. Donc on ne peut pas étatiser. On ne peut
pas non plus communaliser. On ne peut aussi pas
atteindre quelque chose apportant des fruits par ce
qu'on fonde des coopératives de consommation dans
lesquelles les gens qui ont besoin de consommation
d'un quelque article se mettent ensemble. C'est gens
là qui règlent cette consommation et par là veulent
aussi régler la production des biens à consommer,
ceux-là deviendront comme consommateurs, aussi de
l'avis de penseurs socialistes, des tyrans de la
production. Et ainsi la connaissance est déjà
parcourue qu'aussi bien l'étatisation comme la
communalisation, comme aussi l'administration par des
coopératives de consommation devient tyrannie de ceux
qui consomment. Ainsi, maints pensent alors que
peuvent être fondé, associations productives de
travailleurs, coopératives productives de travailleurs
comme une sorte d'administration communautaire ; là
les travailleurs se mettraient d'accord ensemble,
produiraient pour eux-mêmes d'après leurs opinions,
d'après leurs principes fondamentaux.
À nouveau des penseurs socialistes ont
reconnus que par là on n'atteindrait rien d'autre qu'à
la place d'un capitaliste particulier on laisserai
devenir des capitalistes un nombre de travailleurs
produisant pendant qu'on ne serait aussi pas en mesure
de faire autre chose que le capitaliste particulier.
Donc on repousse aussi les coopératives productives de
travailleurs.
Mais avec cela on n'est donc pas encore
satisfait, reconnaissant que ces communautés
particulières ne pourraient conduire à rien de portant
des fruits dans le futur. Qu'on se pense maintenant
que la société d'ensemble d'un quelque état, d'un
quelque domaine économique fermé pourrait dans une
certaine mesure devenir quand même une grosse
coopérative, une grosse coopérative, dans laquelle
tous sont participants en même temps producteurs et
consommateurs, ainsi que l'humain individuel ne
développe pas immédiatement l'initiative de lui-même,
de produire cela ou ceci pour la communauté, mais que
la communauté délivre comment devrait être produit,
comme ce qui est à produire devrait être réparti et
ainsi de suite. Oui, une telle grosse coopérative
donc, qui englobe consommation et production, on veut
la mettre à la place de l'administration économique
privée de notre vie de l'économie moderne.
Qui maintenant regarde plus exactement
dans la réalité, celui-là sait que pris
fondamentalement cette escalade à la façon de voir sur
cette grosse coopérative provient seulement de ce que
chez elle l'erroné n'est pas si facile à embrasser
comme dans le particulier lors de l'étatisation, lors
de la communalisation, chez des coopératives
productives de travailleurs, chez des coopératives de
consommation. Aux dernières l'environnement de cela
qu'on a à embrasser est dans une certaine mesure plus
petit. On voit plus facilement l'erreur, qu'on fait en
ce qu'on aspire à de telles institutions, comme chez
la grosse coopérative, qui englobe tout un domaine de
société. Ici on se mêle de ce qu'on veut faire et
n'embrasse pas encore du regard que les mêmes erreurs
qu'on reconnaît très bien en petit doivent se montrer
et qu'en grand on ne le reconnaît seulement pas parce
qu'on n'est pas capable d'embrasser toute la chose.
C'est de cela qu’il s'agit. Et on doit
reconnaître ce sur quoi l'erreur de fond de toute
cette pensée repose en fait, qui fait voile dans une
grosse coopérative, laquelle devrait se jeter là
dessus d'administrer d'elle-même l'ensemble de la
consommation et l'ensemble de la production.
Comment pense-t-on en fait quand on
veut réaliser quelque chose de tel ? Maintenant,
comment on pense à cela, de nombreux programmes de
partis le montrent qui tout de suite se présentent
dans notre présent. Comment se présentent-ils, ces
programmes de partis ? On se dit :
maintenant oui, là sont certaines branches de
production qui devront être administrées en commun.
Alors, elles doivent à nouveau se rassembler à de plus
grandes branches, à de plus gros domaines
d'administration. Là doit à nouveau être ainsi une
quelque centrale d'administration, laquelle administre
le tout, et ainsi vers le haut jusqu'à la position
économique centrale qui administre le tout de la
consommation et de la production. Quelles pensées,
quelles représentations utilise-t-on en cela ? On
utilise en effet ce qu'on a à s'approprier dans la vie
politique, comme cela s'est développé vers le haut
dans la récente histoire de l'humanité. Les humains,
qui aujourd'hui parlent de programmes économiques, ont
pour la grande partie fait leur école dans la pure vie
politique. Ils ont pris part à tout ce qui s'est joué
lors des combats électoraux, qui se joue quand on est
élu et a alors à représenter dans une quelque
représentation du peuple ceux-là par qui on est élu.
Ils ont vécu dans quels rapports on entre alors dans
des positions administratives qui sont des positions
politiques, et ainsi de suite. Ils ont dans une
certaine mesure appris à connaître tout le modèle de
la représentation politique et ils veulent basculer ce
modèle de la représentation politique sur tout le
cycle de la vie de l'économie. Cela signifie que la
vie de l'économie devrait être politisée de part en
part d'après de tels programmes, car on a seulement
appris à connaître le politique de l'administration.
Ce qui fait aujourd'hui amèrement
nécessité est : reconnaître que tout ce modèle
quand on le bascule sur la vie de l'économie est
quelque chose de totalement étranger à la vie de
l'économie. Mais la plupart des gens, qui aujourd'hui
parlent de quelques réformes de la vie de l'économie
ou d'autant de révolution de la vie de l'économie sont
pris à la base de purs politiciens qui partent de la
superstition que ce qu'ils ont appris sur le champ
politique se laisserait appliquer dans
l'administration de la vie de l'économie. Mais une
guérison de notre cycle économique se présentera
seulement quand cette vie de l'économie sera regardée
et formée à partir de ses propres conditions.
Qu'exigent alors de tels réformateurs
économiques politisant ? Ils n’exigent rien de
moins que soit déterminé à l'avenir par cette
hiérarchie de la position centrale :
premièrement, ce qui devrait être produit et comment
devrait être produit. Deuxièmement, ils exigent que
toute la manière du processus de production devrait
être déterminée à partir de la position
d'administration. Troisièmement, ils exigent que ces
humains-là qui devraient prendre part au processus de
production seront choisis et déterminés et mis à leur
place par cette centrale. Quatrièmement, ils exigent
que ces centrales fassent la répartition des matières
brutes aux entreprises particulières. Donc l'ensemble
de la production devrait être placé sous une
hiérarchie d'administration politique. C'est donc cela
sur quoi la plupart des idées réformatrices
économiques courent dehors dans le présent. Seulement,
on ne reconnaît pas qu'avec une telle réforme on
resterait debout au sol qu'on a déjà aussi aujourd'hui
et ne mettrait pas de côté ses dommages, mais au
contraire les agrandirait dans la démesure. On
reconnaît comme cela ne va pas avec l'étatisation,
avec la communalisation, avec les coopératives de
consommation, avec les coopératives de production de
travailleurs ; mais on ne reconnaît pas comment
on transférerait seulement sur l'administration
commune des moyens de production ce qu'on blâme si
lourdement au système capitaliste privé.
C'est cela qui devra être reconnu
aujourd'hui avant toutes choses : que par une
telle mesure, par de telles institutions vraiment
partout là où elles seront rencontrées, devrait
pénétrer ce qui aujourd'hui déjà se montre très
clairement dans l'est de l'Europe. Dans cet est de
l’Europe des personnes particulières était en mesure
d'exécuter de telles idées réformatrices économiques,
les transposer dans la réalité. Les humains qui
veulent apprendre des faits, ceux-là peuvent voir au
destin au-devant duquel va l'est, comme ces mesures se
conduisent elles-mêmes ad absurdum. Et si les humains
ne s'obstinaient pas à leurs dogmes, mais voudraient
vraiment apprendre des faits, alors on ne dirait pas
aujourd'hui que de telles ou telles raisons
subalternes la socialisation économique aurait échouée
en Hongrie, mais on étudierait pourquoi elle devait
échouer, et on reconnaîtrait que chacune de telles
socialisations peut seulement détruire, rien créer de
fructueux pour l'avenir.
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