Ainsi, on a donc d'abord à faire dans
les associations avec des gens qui s'informent sur les
besoins à l'intérieur d'un certain territoire et qui
alors engagent des négociations, ne font pas des lois
sur la production nécessaire.
Vous voyez donc, on peut caractériser la
chose quelque peu autrement, alors elle fera,
j'aimerais dire, un effet quelque peu plus profane.
Mais finalement pour illustration peut aussi être dit
cela : on aura d'abord dans les associations besoin
d'agences, d'agents plus objectifs, qui justement ne
devront pas s'intéresser purement que celui pour
lequel ils sont agent vende le plus possible, mais
lesquels se demandent : quels besoins sont
là ? - et ceux qui alors sont experts à cela
comment doit-on produire, afin que ces besoins soient
satisfaits.
Par cela on a, je voudrais dire, l'un des membres des
associations.
Le deuxième membre est alors pris du
rang de ceux qui ont à se soucier de la circulation,
ceux donc, quand n'importe où un produit sera fabriqué
ont à le fréter, respectivement on a engager les
négociations pour qu'il soit affrété pour venir à
l'endroit où on en a besoin. Ainsi que nous trouvons
dans une certaine mesure des experts de la
consommation, des experts du commerce et comme
troisième des experts de la production.
Mais ceux-ci sont pris de la libre vie de l'esprit,
car celle-ci englobe tout, ce qui à partir du
spirituel fluent dans la vie productive par les
facultés. La première que j'ai nommée, l'expertise,
elle flue par conseil à partir de la libre vie de
l'esprit.
Voyez-vous, dans les associations de la
vie économique seront des représentants de tous les
trois membres de l'organisme social ; seulement
les associations elles-même appartiendront justement
seulement au membre économique et auront à faire
seulement avec des affaires économiques : avec
consommation de marchandises, circulation de
marchandises et production de marchandises et de la
formation de prix en ressortant. Pour cela il s'agit
chez l'organisme social tri-articulé que des
corporations soient là qui ont pure compétence à
l'intérieur d'un des membres concerné. Dans les
associations économiques ne sera rien négocier que sur
questions économiques ; mais dans les
associations siègent naturellement les gens qui ont
leurs capacités et compétences aux négociations à
partir de la libre vie de l'esprit et de
l'étatique-juridique. Il s'agit donc pas du tout de
cela qu'on place extérieurement l'un à côté des autres
les trois membres de l'organisme social, mais que des
administrations, des corporations avec la compétence
dans les choses particulières soit là. C'est de cela
dont il s'agit.
Dans le particulier cela vous va
clairement à partir des « points
germinatifs ». D'abord, il s'agit de cela que
toujours sera appelé à la vie de l'esprit en rapport
au capital, en ce qu'on dit : celui qui à
rassemblé le moyen de production par ses capacités,
reste aussi longtemps à cela que ces capacités sont
disponibles. Déterminer cela est affaire de la vie de
l'esprit. Alors, elle lui attribue encore autant de
jugement qu'il peut déterminer son successeur. Cela
appartient aussi à la vie libre de l'esprit.
Et quand il ne veut ou ne peut pas cela
lui-même, ainsi décide la libre corporation de la
libre vie de l'esprit. Vous voyez, tout ce qui est
fonction du capitalisme abstrait passe dans l'activité
de la libre vie de l'esprit à l'intérieur de la vie
économique.
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