Roman Boos : le présent soir devrait servir à
cela de renforcer la conscience et clarifier les
représentations des présents sur ce qui d'effets
concrets des répercussions qui sont a attendre du
voulu au Goetheanum en temps proches et plus
lointains. La tache devrait être ainsi que le cours
devrait donner quelque chose aux participants afin que
chacun ait la possibilité de dire ou de savoir où il
peut aider, où il peut prendre part activement au
travail commun.
Ce qui tout d'abord se tient en débat
est l'idée que dans les tout prochains temps avec la
plus grande intensité doit être détachée la vie
spirituelle de l'intrication dans les pouvoirs
étatiques. Les états politiques sont à l'ouest comme à
l'est plus une fois en mesure de maintenir
économiquement les droits usurpés de supervision de
l'école. Les écoles sont à édifier sur les secteurs
qui ne seraient pas tirés dans l'effondrement
économique et veulent sortir de l'effondrement
spirituel. L'idée de l'association scolaire mondiale
sur base internationale a donc été exprimée et
propagée il y a donc quelques semaines en Hollande
dans un grand nombre de rassemblements. Et ainsi a été
aujourd'hui par des amis hollandais placés en vue de
communiquer encore sur cette association scolaire
mondiale. Et aussi d'après ce côté je voudrais
démontré que des rassemblés ici peut être espéré de
donné réalisation à l'impulsion de l'association
scolaire mondiale.
Aussi les entreprises
fondées sous Futurum SA et Kommende Tag SA ont été
constituées pour croître en des étendues pour
l'instant non limitées. Ce qui par exemple croît par
dessus comme un groupe à la Stinnes
s'est lié avec les plus pénibles existences ;
quand un tel crédit international monstre était
obtenu, ce serait au détriment d'un sain
développement. Il est pour cela nécessaire de
prendre pied dans la vie économique, d'appeler
soi-même à la vie des associations économiques, qui
satisferont à l'internationalité ; il est
nécessaire de chercher soi-même le chemin dans des
pourparlers internationaux. Pour dire quelque chose
de significatif internationalement, sera par dessus
les fossés qui ont été créés par les conditions de
change, devra être parler de Futurum et du Kommenden
Tag.
On sera donc apostrophé de
tous côtés. Et cela est une exigence absolue pour la
poursuite du travail en Suisse et hors de Suisse, que
nous recevions la possibilité ici du Goetheanum de
laisser paraître régulièrement un magazine, au moins
un hebdomadaire dans lequel ne devrait pas seulement
perpétuellement être polémiser et discuté – ce sera
toutefois parfois nécessaire -, mais dans lequel
perpétuellement pourrait être exposés à la manière
d'ébauches esquissées, de sur quoi il s'agit en fait
ici, et dans lequel tout de suite l'idée
internationale d'une unification économique mondiale
toujours à nouveau devrait être exprimée.
D'une certaine manière on a justement ici en Suisse
donc encore un sol sous soi duquel on peut parler de
manière plus claire et de façon satisfaisante qu'autre
part. Le Goetheanum devrait sinon rester muet quand il
ne pourrait se faire connaître de cette manière. À ce
cours sont donc en fait vraiment venu peu d'humains.
Le Goetheanum lui-même comme œuvre d'art, comme
édifice, comme réalité physique, qui se tient là,
n'est pas encore traversé d'intensité suffisante. Il
devient déjà nécessaire d'aussi porter hors ce qui
devrait être fourni par le Goetheanum pour le monde
entier.
Tous ceux qui ont la possibilité de nous
aider à trouver la base économique pour un tel journal
seront de tout cœur invités à cela. Nous devons
compter 50 000 francs pour un an ; avant nous ne
pouvons commencer. Nous ne pouvons pas commencer
avant, car sinon nous devrons sous un quelque temps de
nouveau arrêter la chose sous circonstances. Quand est
quelqu'un parmi vous qui pourrait aider à cela que le
journal peut paraître celui-là se ferait ainsi si
émérite comme cela serait à peine possible d'une autre
manière dans les circonstances actuelles.
Elisabeth Vreede : je voudrais
encore dire quelque chose sur « l'association
scolaire mondiale ». Il s'agit en fait plus d'un
appel que déjà d'une fondation concrète. Les premiers
pas vers la fondation d'une association scolaire
mondiale ont donc été faits en Hollande pour recevoir
une réponse du monde sur ce qui aurait maintenant à se
passer, et cela est : la vie de l'esprit, en
particulier de libérer le système d'enseignement, de
le poser sur lui-même. La plus particulière espérance
a été exprimée, de pouvoir faire cela en Hollande. Le
27 février le Dr Steiner a à La Haye tenu une
conférence ravissante sur « Questions pratiques
d'éducation, d'enseignement et de vie pratique du
point de vue de la science de l'esprit
anthroposophique » et rendu attentif sur la
nécessité d'une libre vie de l'esprit et d'un
détachement de l'école du pouvoir d'état – sous de
forts applaudissements du public.
Ensuite, notre membre, Monsieur de Haan a adressé un
appel aux présents. Là-dessus s'est passé maint ;
des noms de bonne résonance se sont intéressés pour
cela, pour œuvrer pour des écoles libres. Des
représentants de Suisse, d'Allemagne et d'Angleterre
s'exprimèrent convaincus de la nécessité une
association scolaire mondiale et promirent d’œuvrer
pour la chose en leur pays. Un semblable se joua le
jour suivant à Amsterdam. Mais à cette époque-là,
l'association scolaire mondiale n'était pas encore
fondée, car une telle fondation n'a une valeur que
quand elle apparaît pour ainsi dire d'elle-même. Mais
sur cela on n'a pas le droit de tirer la conclusion
que rien ne devrait se passer, mais qu'est nécessaire
un travail intensif afin qu'une fondation concrète
puisse de dérouler.
Le premier avec lequel maintenant on
s'occupe est d'aller en prospect à tous les cultivés –
ceux-là sont donc fondamentalement intéressés à une
libre vie de l'esprit - ; Dr Steiner a donné pour
cela les lignes directrices. Un appel doit être dirigé
à tous les cultivés de se rassembler avec nous, pour
procurer à notre mouvement ce dont il a absolument
besoin en sol nourricier, en air de vie afin qu'il
puisse continuer à prospérer. De ce que toute la chose
a maintenant commencé de Hollande, j'aimerais rendre
attentif à l'adresse de Monsieur de Haan,
Utrecht ; il est prêt de donner des
renseignements. Des événements des dernières années
suffisamment est ressorti, pour montrer combien
important, combien significatif c'est, mais aussi,
combien de travail sera nécessaire, quand quelque
chose de tel devra être entrepris. Un appel doit donc
être adressé qui pour ainsi dire devrait trouver un
écho dans tout le monde cultivé.
(applaudissements)
Joseph van Leer : mes très chers
présents, il y a quelques semaines a été parlé à La
Haye et à Amsterdam pour la première fois
d'association scolaire mondiale. Mais il ne vient rien
de cela quand pas aussitôt sera marché à l'action.
Nous avions d'ailleurs à La Haye le soir quelque 150
noms ; mais avec purement des noms, on ne fait
rien. Les amis en Hollande ont d'ailleurs de la bonne
volonté, mais ils sont trop faibles. Il y a environ
dix ans étaient à Berlin de semblables discutions
comme Baron von Walleen parla de son expérience en
voyage de conférence en Scandinavie et en Angleterre
et dit qu'il était difficile de représenter là les
idées du Dr Steiner ; ce qui aujourd'hui est
société anthroposophique est parti de ces discussions.
Quand aujourd'hui en Angleterre vous
parlez sur la libre vie de l'esprit, chacun
dira : nous n'en avons pas besoin, nous en avons
une. - C'est naturellement une abstraction, mais c'est
ainsi ; aussi loin que les gens en Angleterre
appartiennent à la bourgeoisie, peuvent s'élever leurs
enfants comme ils veulent, ils n'ont pas besoin de
professeur diplômé. Quand on a à propager
l'association scolaire mondiale en Angleterre on a là
à faire avec tout autre chose qu'en Allemagne ou en
Hollande ou en Suisse. Je crois, la Scandinavie, la
Hollande, l'Angleterre – quand ce n'est aussi pas
neutre, mais cela ne joue pas de rôle -, tous ces pays
qui n'appartiennent pas aux états centraux devraient
se rassembler. En Hollande on a richement reçu de la
confiance, mais les 25 noms clinquants n'aident pas
beaucoup. Dr Steiner a tenu environ dix conférences en
Hollande ; mais sous ces milliers qui étaient
là : pas trois voix, qui vraiment se sont
pratiquement vraiment investit pour cela et ce sera
difficile de seulement obtenir ces trois.
La question a été posée : comment
propagez-vous ? Pour chaque pays c'est nécessaire
de travailler autrement. Nos amis à Stuttgart le
savent le mieux ce qui est à faire parce qu'ils se
tiennent dans le travail. Je voudrais de cela proposer
que nous rassemblions des gens de différents pays –
Amérique, Angleterre, France, Suisse, Italie -,
environ 25 humains et ce soir disions encore :
nous le faisons ainsi et ainsi ! Je voudrais bien
le proposer maintenant sur place. Qui de tous les pays
qui sont représentés ici est prêt à participer ?
Commençons-nous par l'Amérique : Monsieur
Monges ? Monsieur Wheeler d'Angleterre ?
Melle Wilson d'Angleterre ? Norvège, Suède :
Madame Ljungquist ? Danemark : Monsieur
Hohlenberg ? Finlande : Monsieur
Donner ? Russie, De Hollande : Monsieur
Ledebour, Monsieur Zagwijn, Monsieur Devender ?
De France : Mademoiselle Rihouët ?
Italie : Melle Schwarz Tchécoslovaquie et
Pologne ? Je voudrais donc proposer que les
différents humains s'assoient ensemble et
réfléchissent ce qui est correct pour leur pays,
comment on doit le faire, a quels humains on doit
s'adresser, à quels humains on peut donner quel
matériel. Il est possible que la représentation d'un
quelque pays ne soit pas en mesure d'atteindre le
correct, mais alors on pourra peut-être ensemble
trouver quelque chose de meilleur.
Je voudrais placer à discussion si ce
que j'ai suggéré serait le point de départ correct.
Roman Boos : Ce pourrait donc être
très valable, ce soir alors d'encore parler en plus
petits cercles pour chaque secteur. Mais je voudrais
seulement bien de tout cœur prier de ne pas regarder
la chose au choix de personnalités comme au parlement
ou à d'autres associations similaires : comme
mission à travailler comme une commission. Ce ne doit
pas être décidé sur la soirée ce qui après devrait
être travaillé : dans chaque groupe particulier,
porter en avant l'idée d'association scolaire mondiale
comme telle. On doit justement essayer comment se
laisse s'exprimer dans les autres États, ce qui est à
dire du propre côté.
Johannes Hohlenberg : je voudrais
informer sur le travail au Danemark en rapport à
l'association scolaire mondiale. Vu du résultat ce
n'est d'ailleurs pas beaucoup, malheureusement, mais
cela peut peut-être servir d'expérience à d'autres.
Dans le dernier cursus d'automne a été
particulièrement fortement prononcé que chacun qui
retourne dans son pays devrait parler avec le plus
d'humains possible et répandre l'idée d'association
scolaire mondiale. Tous ceux qui étaient là ont bien
fait ce qui reposait en leurs forces.
Maintenant de mon expérience
personnelle : j'ai tenu différentes conférences à
Copenhague, mais le moment a été malheureusement très
mauvais, là il y a quelques années l’État a repris
presque toutes les écoles des communautés. Cela est un
fait nouveau, vieux de deux, trois ans, pas encore
partout pleinement accompli. Les enseignants sont dans
l'ensemble contents, parce que leur situation
économique, financière est devenue bien meilleure et
comme fonctionnaire d’État on a une vue sur une
pension. Le corps enseignant est pour cela très peu
disposé à entreprendre un quelque changement à ces
conditions. Mais de l'autre côté est une très grande
insatisfaction des parents avec le système scolaire
qui existe aujourd'hui au Danemark ; les parents
seraient prêts d'essayer quelque chose de nouveau.
Mais la difficulté principale est de sorte financière.
On n'a pas le droit d'oublier : les écoles
d’État, elles sont entièrement gratuites ;
enseignement scolaire, matériel, livres sont gratuits.
L'unique chemin possible pour la
fondation d'écoles indépendantes de l’État serait
comme à Stuttgart, à savoir une grande entreprise de
fabrique qui prend tout cela en main. Au Danemark
c'est justement essentiellement une question
financière, très simple ! Si on pouvait trouver
un chemin pour l'institution de telles écoles, qui ne
seraient pas plus chères que les publiques, alors les
enfants viendraient bien décidés et les parent
seraient très contents. J'ai collectionné une liste de
noms – leur nombre dépasse peut être à peine 200, ce
n'est encore rien -, et je suis convaincu que quand on
fait vraiment de la propagande on peut aussi trouver
de la compréhension.
Elisabeth Vreede : on doit faire
cela correctement. Il s'agit, comme le Dr Steiner l'a
développé en Hollande, pas en premier lieu pour cela
de fondé des écoles uniques, qui à nouveau peuvent
ainsi exister les unes à côté des autres, qui ne
peuvent que s'arroger leur droit à exister ; il
s'agit de quelque chose de beaucoup plus grand :
de réaliser aussi vraiment la libre vie de
l'esprit ! Nous avons donc aujourd'hui une vie de
l'esprit qui avant toute chose a besoin d'air frais et
qui sans cet air frais dépérit. À partir de cette
ambiance doit se former l'exigence dans la vie
publique : la vie de l'esprit doit être
libérée !
Il ne devrait évidemment pas être dit
avec cela que des écoles particulières ne seraient pas
à fonder ; mais on ne devrait pas ici ou là
amener dedans une école ou un institut, car elles ont
toutes seulement une existence (NDT Dasein)
préoccupante en rapport de droit, elles ont en fait
toujours une épée pendant sur leur tête, si elles sont
maintenant autorisées ou non ; de telles écoles
qui seulement existent par la grâce de l’État ne
devraient pas être érigées.
Notre Goetheanum est aussi une école,
une université libre. La possibilité serait en
première ligne à créer qu'une association scolaire
mondiale serait là qui le besoin remplirait
puissamment assez, de soutenir ou à maintenir en vie
de telles organisations (NDT ou installations)
comme l'école Waldorf et le Goetheanum. Il est
nécessaire qu'un concret soit déjà là pour cela. Il y
a donc aussi des associations de professeurs, des
associations d'artistes ; pour elles ce serait un
but positif d’œuvrer à cela que nous avons besoin
d'une libre vie de l'esprit. Le but doit être planté
plus haut que purement ériger des écoles
particulières ; tout doit être planté en plus
grand style ainsi qu'on voit aussi le plus grand
contexte.
Nous avons entendu qu'au Danemark les
professeurs sont très contents parce ce qu'ils sont
devenus de « professeurs d’État », parce
qu'ils sont mieux payés. Nous ne pouvons pas nous
tourner au corps professoral en général ceux qui se
tiennent dans la chose sont souvent le plus souvent
desséchés et n'ont pas la grande vue. À partir d'une
grande étendue comme l'est le corps professoral, comme
elle peut l'être, doit naître cette opinion et
ambiance publique. Alors, les différenciations
nationales ne prendront pas trop de poids, comme cela
serait sinon, car cela œuvrerait comme un groupe
unifiant. Les points de vue doivent être pris du grand
ainsi qu'on englobe tout ça, ce qu'on peut vivre comme
humain dans notre vie de l'esprit et le relève sur un
autre plan ; sinon nous restons donc trop plantés
dans le particulier.
Roman Boos : ce serait bien, quand
dans la discussion on prenait encore position sur la
récente affirmation représentée qu'en Suisse une libre
vie de l'esprit pourrait bien se développer. Tout
d'abord, Mademoiselle Rihouët a la parole.
Simone Rihouët : je voudrais
seulement exprimer un souhait pour la France, qu'ici
au Goetheanum ce but international vienne entièrement
à l'expression et qu'a nouveau pas le national vainque
à nouveau sur l'international. Il est frappant de voir
que nous en France, en ce qui concerne l'école, avons
entièrement la même situation qu'en Allemagne. Mais
par exemple les professeurs suisses qui sentent si peu
la contrainte de l’État, ils sont par leurs rapports
dans leurs confédérations pas dans la même situation
que les professeurs en France et en Allemagne où la
tendance de l’État est si forte, que déjà maintenant
dans le corps professoral un grand besoin à
libération, à l'autonomie réside en leur métier. En
France ce sera particulièrement le corps estudiantin
dont vient la compréhension pour les libres impulsions
de l'esprit qui ont été données ici. Et ainsi je
voudrais, en ce qui concerne la France – pour
l'Allemagne je ne peux pas parler -, ainsi je voudrais
exprimer le souhait, que de France un corps
estudiantin s'écoule qui avec ses collègues des autres
pays puisse créer une union, une union de la
fraternité.
Roman Boos : ces mots de France
nous sont d'autant plus bienvenus au cœur que du côté
de l'opposition s'est donc déjà d'une certaine manière
intensive montré une fraternisation. A peu prêt en
même temps qu'en Allemagne a été écrit de la
« trahison de la patrie » par Rudolf Steiner
et les anthroposophes, alla par les journaux français
une affirmation semblable à savoir que dans les
cercles du Dr Steiner serait recherché une guerre de
revanche qui durerait trois ans. Et vis-à-vis de cette
« Société des Nations » de la smala
opposante il sera déjà nécessaire qu'une association
d'humains, qui appartiennent aux différents peuples se
forme ici et puisse œuvrer du Goetheanum vers
l’extérieur.
Un étudiant allemand raconte du
sentiment de vie de jeunes humains aux universités et
de la possibilité de les gagner pour la chose
anthroposophique. Fritz Willschleger : je
voudrais comme Suisse parler simplement avec des
paroles très courtes. C'est chez nous en fait ainsi
qu'on peut soi-même en tant que professeur exercer une
assez grande liberté, par exemple sur le gouvernement,
le cantonal au moins ; mais aussi sur les
autorités on peut exercer une assez grande influence.
Quand vous voulez introduire des changements dans
votre école alors vous pouvez le demander et ce sera
le plus souvent satisfait.
Maintenant, je crois, ces cours
universitaires font une puissante impression vivante
en nous. Et sous cette puissante impression nous
pouvons maintenant justement essayer de nous
rapprocher tout d'abord une fois de nos collègues en
conférences et ainsi de suite et essayer d'éveiller
une compréhension pour la fécondation de l'école, au
moins faire le commencement avec cela, de façonner
libre la vie de l'esprit. J'ai au printemps entendu à
Bâle les conférences de Monsieur le Dr Steiner et – je
parle comme professeur – là j'ai eu maintenant
l'impression que c'est notre tache, de transformer au
possible notre enseignement de la manière comme
l'anthroposophie le demande. Cela signifie'-il
maintenant que nous devrions donc transférer dans
nos écoles l'ensemble de nos forces de travail ?
Non,nous devrions tout de suite orienter notre temps
et force et travail aussi vers l'extérieur. Nous
devons essayer d'informer les Suisses, peut-être avec
des exposés ; nous devons essayer de gagner les
journaux suisses de professeurs et avant tout les
journaux de professeurs cantonaux. Cela pourrait
peut-être être un début de provoquer quelque chose
dans cette direction.
Roman Boos : nous remercions
Monsieur Wullschleger pour ses exposés et je voudrais
me permettre d'ajouter seulement quelques mots à ce
qui a été dit. Les journaux d'enseignants en Suisse
ont donc imprimé dans les dernières années différents
articles et reportages de nos cercles, aussi les
excellents articles dans le cahier de l'éducation.
Mais dans la suite le travail ne fut pas si
intensif ; des enseignants suisses ne sont pas
venus beaucoup ici dans ces cours. Représentez-vous
une fois, il serait marqué là en dessous dans
l'invitation : « Direction cantonale de
l'éducation » - ne pensez-vous pas alors que la
salle ici serait devenue pleine ? Ce sont ainsi
les petits critères auxquels on voit si la vie de
l'esprit parmi les enseignants chez nous en Suisse est
vraiment déployée librement.
Il y a un an et demi environ, là furent
une fois invités de la Direction cantonale de
Bâle-ville et les exposés sur les questions
d'éducation furent accueillis tout simplement avec
enthousiasme ; une série de gens d'école se sont
exprimés là dessus très enthousiasmés. En rattachement
à cela un cours a été organisé par le Goetheanum – pas
par la Direction de l'éducation -, mais là étaient
déjà nettement moins de gens que lors de cette
invitation pour le cours organisé par la Direction de
l'éducation. Et cela qui aujourd'hui a poussé à partir
de ces cours est pour ainsi dire rien. Des enseignants
particuliers aimaient donc avoir emporté beaucoup de
grand et plein de valeur du cours ; mais en
rapport social ne s'est rien passé de mieux que rien.
Pourquoi ? Parce que rien ne peut se
passer ! Parce que partout les humains sont liés
par l’État. Comme le camarade d'étude dit :
chaque sol nous pouvons gagner, mais pas le sol de
l’État. Cela se montre plus ou moins clair aussi en
Suisse ; car si ce n'était ici pas le cas, ainsi
nous avancerions bien plus intensivement. Il y a
longtemps fut une fois un exposé à Saint-Gall ;
là vint alors aussi un tel enseignant suisse, qui
dit : chez nous en Suisse c'est tout
autrement ; nous n'avons pas cette soumission
vis-à-vis des autorités. Nous n'avons pas été habitués
à la censure et aux prescriptions officielles et ainsi
de suite. - Et comme on devait le rendre attentif, que
cela n'était pas tout à fait exact, alors le monsieur
pensa : oui, là est une grande différence, nous
l'avons en fait fait de plein gré !
Friedrich Husemann parle sur le système
de formation médicale en Allemagne.
Roman Boos : pour donner à tout le
mouvement spirituel le nécessaire soubassement
économique les deux sociétés par actions à Dornach et
à Stuttgart, « Futurum SA » et
« Kommende Tag SA » ont été fondées. Il
reposait l'intention ce soir aussi d'exposer plus loin
sur ces deux entreprises et donner l'occasion à pose
de question. Mais je pense, cela devient maintenant
volontiers trop tard pour encore aborder cela. Des
prospectus de Futurum sont posés en langue allemande,
française et anglaise afin que vous ayez toute
possibilité par souscription d'actions de soutenir les
choses de cette manière, comme cela a été évoqué. On
peut aussi se présenter à la Futurum SA chez Monsieur
Ith qui peut encore vous donner personnellement tous
les éclaircissements nécessaires. Il est justement
absolument nécessaire dans les temps actuels que nous
soutenions ces entreprises économiques avec toutes les
forces qui se tiennent à notre disposition pour les
amener en avant.
L'heure est déjà très dépassée ainsi que
sur les autres questions qui sont encore là, plus
beaucoup ne pourra être débattu. Peut-être quelqu'un
a-t'il encore quelque chose d'essentiel à
contribuer ? J'aimerai donner la parole
maintenant à Monsieur le Dr Steiner pour les
considérations finales.
Rudolf Steiner : je n'aimerais plus
vous entretenir longtemps, mais seulement faire une
paire de remarques, tout d'abord en relation à ce que
notre ami van Leer a proposé ici, qui certainement est
à reconnaître sera respectivement quand cela conduira
au but promis. Je voudrais seulement remarquer que ce
serait une base préoccupante si la chose était
construite sur les mêmes bases que
« l'Union », sur laquelle a été rendu
attentif [par Monsieur van Leer]. Cette fois-là a en
effet été toutefois travaillé avec un certain zèle
ainsi que Monsieur van Leer l'a à peu près
esquissé : on s'est assis ensemble en petits
comités, a conseillé tout le possible, ce qu'on
devrait faire et ainsi de suite – mais alors tomba une
phrase chez Monsieur van Leer, qui évidemment d'abord
est une petite erreur, mais qui, si elle continuait
d'agir, pourrait produire une grosse erreur.
Il a en effet été dit, de ce travail qui cette
fois-là, en cette nuit-là a été si inlassablement
commis, la société anthroposophique en serait
ressortie. - Non, de cela il ne peut pas du tout être
question : de cette nuit-là et de cette fondation
d'Union n'est en fait rien du tout ressorti !
Devant ce destin j'aimerais donc savoir préservé cet
« inlassable travail de cette nuit »
[aujourd'hui] considérée. Il a été d'ailleurs cette
fois là beaucoup parlé, ce qui serait à faire, mais
n'est rien devenu du tout de cela. Et l'erreur qui
pourrait apparaître repose là dessus qu'on pourrait
penser, il devrait maintenant être fait quelque chose
dans la direction comme cela que ce qui a été indiqué
avec cette « Union ». Cela qui cette fois-là
a été fait, a été, que ceux qui déjà se tenaient dans
notre travail anthroposophique, qui donc étaient déjà
chez nous, que ceux-là – tout à fais isoler de cette
fondation d'Union – on fondé cette société
anthroposophique qui s'est donc développée plus loin,
pendant que l'« Union » est passée, disons,
progressivement d'un doux sommeil dans la mort
sociale. Donc, ce serait une petite erreur ! Et
cela doit déjà absolument être écarté afin que les
erreurs de ce comité nocturne par sa deuxième édition
ne soient pas quelque peu répétées. C'est l'une.
L'autre, sur quoi je voudrais attirer
l'attention et que donc a dit Mademoiselle Vreede, est
que cela qui à peu près devrait être ambitionné avec
l'association scolaire mondiale devrait maintenant
être placé vraiment sur une large base et être attaqué
du devant avec un regard englobant. Il a été
entièrement correctement souligné par notre ami van
Leer que cela qui en rapport à la libre vie de
l'esprit est à représenter en rapport avec la
triarticulation de l'organisme social, que cela doit
être traité pour les différents domaines de
différentes manières. Seul, cela doit alors aussi
vraiment se passer ainsi que les façons de faire pour
les territoires concernés aillent bien à ces
territoires. Moi même rendrais toujours attentif là
dessus que par exemple pour l'Angleterre il sera
nécessaire de présenter les choses de la manière qui
justement tout de suite corresponde aux conditions de
civilisation anglaise.
Seul, on n'a pas le droit de ne pas voir qu'on doit
fondamentalement déceler ce qu'est prétention
vis-à-vis des grandes questions d'humanité dans le
présent et ce qui est réalité. On n'a pas le droit
donc de représenter quelque peu la chose ainsi qu'on
suscite la croyance que la vie de l'esprit anglaise
serait plus libre que l'autre. Et vous verrez, quand
vous parcourez vraiment « Les points
fondamentaux » que là donc moins de valeur sur le
moment négatif – libération de la vie de l'esprit de
l’État -, que bien moins de valeur sera là-dessus que
sur la fondation d'une libre vie de l'esprit
absolument.
Et là il restera toujours un bon mot : qu'il
s'agit de l'humain, qu'il s'agit vraiment de cela, de
quelles bases spirituelles l'humain est issu, quelles
bases spirituelles seront créées pour sa formation.
Pas tant s'agit-il qu'on souligne le moment négatif,
mais le moment positif est à souligner. Et j'ai donc
besoin de dire seulement cela : quand
formellement serait libérée la vie de l'esprit de la
contrainte d’État et tout resterait sinon à l'ancien
ainsi la libération de l’État ne pourrait servir
particulièrement beaucoup.
Il s'agit de ce que l'esprit positif,
ainsi qu'il voulait être représenté en cette semaine,
comme a été essayé de le représenté, que cet esprit
libre soit introduit dans la vie de l'esprit
internationale. Et alors se montreront les choses
comme elles devraient se montrer. Il s'agit vraiment à
l'exemple chez l'école Waldorf pas seulement de ce
cela qu'elle n'a pas une fois un directeur, mais que
le collège est une communauté vraiment représentative.
Il ne s'agit pas que toutes les mesures soient ainsi
atteintes que « rien d'autre » parle que
cela qui provient du collège des professeurs lui-même,
qu'on ait donc ici vraiment « une communauté
d'esprit indépendante », mais il s'agit aussi de
cela que dans tous les pays manque cette vie de
l'esprit de laquelle ici a été parlé toute la semaine.
Et quand on entend accentué en quelque lieu « que
oui la vie de l'esprit est libre dans le pays » -
je ne pense maintenant pas la Suisse, je parle de
l'Angleterre -, ainsi est cela justement l'autre
question.
Et ce positif est avant toutes choses ce dont il
s'agit. Là doit alors être mis en avant : que
nous ne le donnons naturellement seulement quand on
essaye en fait d'entrer sur les conditions concrètes
dans les pays et territoires particuliers.
Mais on doit avoir cœur et sens pour
cela que la vie de l'esprit non libre a finalement
fait dans notre temps. J'aimerai vous lire une phrase,
pas quelque chose pour arriver sur ce qui a été
présenté hier ici, mais pour montrer quelles fleurs la
façon de pensée humaine aussi volontiers en rapport
intellectuel comme moral comme tranquille (NDT
gemütlicher) notre actuelle vie de l'esprit promeut
aujourd'hui. Je n'aimerai pas vous entretenir
longtemps et pas de la façon de voir de laquelle hier
ici une méchante lutte contre l'anthroposophie et la
triarticulation a été expliquée, je veux de nouveau
parler ; mais j'aimerais donc de cette brochure
de laquelle devait être parlée hier, lire une phrase.
Monsieur le Général von Gleich écrit sur moi :
« Comme presque quarantenaire Monsieur Steiner
au tournant du siècle qui aussi forme une coupure dans
le monde suprasensible de l'anthroposophie, a été
conduit progressivement à la théosophie par les
exposés d'Hiver sur la mystique. » Maintenant
vous pouvez demander qui est-ce « Monsieur
Hiver », qu'ici le Monsieur von Gleich mentionne
comme celui par les exposés duquel j'aurais été
converti à l'anthroposophie à Berlin. On ne peut
qu'établir l'hypothèse suivante : il y a dans
l'avant-propos à chaque exposé que j'ai tenu à Berlin
l'hiver 1900/1901 une phrase dans laquelle je
dis : « Ce que j'expose dans cet écrit,
formait avant le contenu d'exposés que j'ai tenus dans
l'hiver écoulé dans la bibliothèque théosopique de
Berlin ». De cet « hiver » dans lequel
j'ai tenu mes exposés devint ce « Monsieur
Hiver » lequel en 1901/1902 n'aurait converti à
la théosophie. Voyez-vous, je ne veux pas utiliser
l'expression, qui est utilisable sur la constitution
intellectuelle d'un humain qui a maintenant été appelé
avec cela à la direction des opposants du mouvement
anthroposophique, je ne veux pas utiliser
l'expression ; mais vous pourrez donc volontiers
l'utiliser suffisamment. À de telles fleurs de
l'activité spirituelle humaine conduit [aujourd'hui]
la vie de l'esprit par laquelle on pouvait traverser
dans le présent jusqu’à ce niveau où on pourrait
devenir un général de division.
Donc, on doit déjà saisir des yeux la
chose d'une quelque plus grande profondeur. Alors, on
recevra en premier un cœur et un sens pour cela qui
est nécessaire. Et seulement parce que justement la
vie de l'esprit avant toutes choses doit être saisie
du système scolaire, de ce fait ce serait si
souhaitable que cette association scolaire mondiale
pourrait être fondée, qui ne serait pas si
difficilement à fonder si la volonté pour elle est
disponible. Mais elle ne doit pas être un plus petit
ou plus grand comité, mais doit être ainsi fondée que
ses membres soient innombrables. Alors seulement elle
a une valeur. Elle n'a le droit – je ne veux pas
donner de conseil à cela, car cela que j'ai à dire
là-dessus, je l'ai dit suffisamment -, elle n'a
évidemment absolument pas à imposer un sacrifice
particulier à un individu. Elle doit être là pour
faire opinion pour cela pourquoi aujourd'hui si
pressemment opinion est nécessaire ! - Cela est
quelque chose de cela que je devais encore attacher à
cela qui est venu au jour aujourd'hui.
Pour finir je dois dire quelque chose
que je ne dirais de préférence pas, mais que je dois
justement quand même dire, car sinon ce n'a pas été du
tout évoqué ce soir et que peut être ce pourrait être
trop tard pour les prochains jours parce que viennent
là donc déjà vraisemblablement des douleurs de départ.
Je dois déjà moi-même rendre attentif à la chose. Il
s'agit de cela que c'est une pleine évidence que pour
tout ce qui a été parler aujourd'hui, serait œuvré.
Seul cet œuvrer a seulement un sens quand nous pouvons
maintenir et avant toute chose conduire à sa fin le
Goetheanum, comme il se tient ici.
Maintenant, quand cela va encore aussi bien avec
« Futurum SA et encore si bien avec le
« Jour qui vient » (NDT
« Kommenden Tag ») - quelque soutien
économique pour ce Goetheanum ce ne seront longtemps
pas encore, très certainement pas. Et le plus gros
souci – malgré tous les autres soucis, qui aujourd'hui
pèsent sur moi, autorisez que je parle une fois
personnel -, le plus gros souci est celui-là :
que dans un temps pas si éloigné que cela ce puisse
être le cas que nous ne pourrions plus avoir d'afflux
économique pour ce Goetheanum. Et pour cela il est
avant toutes choses aussi nécessaire d'accentuer que
tout un chacun œuvre, que tout un qui peut contribuer
quelque chose pour cela que cet édifice puisse trouver
son achèvement aimerait faire cela ! C'est cela
qui avant toute chose est nécessaire : que par la
joie à notre chose nous soyons transposés dans la
possibilité de pouvoir maintenir ce Goetheanum, avant
toutes choses finir de construire à son terme ce
Goetheanum. Et cela est, comme dit, mon gros souci. Je
dois l'exprimer ici, car finalement à quoi cela
aiderait-il quand nous pourrions encore faire tant de
propagande et que nous devions peut être d'aujourd'hui
à trois mois fermer ce Goetheanum ? Cela
appartient aussi aux soucis sociaux, qui déjà de mon
opinion sont en rapport avec la vie sociale générale
du présent. Et ce souci je devais l'accentuer parce
que les faits reposant vraiment ici à la base ne
devaient pas être oubliés ; seul cela rend
possible de renforcer le mouvement qui part de ce
Goetheanum.
Nous voyons donc, à partir de quels
fondements intellectuels combattent ceux là qui tout
de suite maintenant prennent leurs postes contre nous.
Ce sera un début. On doit être vigilant, très
vigilant, car ces gens sont des gens intelligents. Ils
savent s'organiser. Ce qui s'est passé à Stuttgart est
un début, est envisagé comme un début. Et seulement
alors on s'affirmera contre eux quand on déclenche un
tel idéalisme – j'aimerais cette fois-ci le dire à
nouveau -, qui ne dit pas : oh, les idéaux sont
si terriblement hauts, ils sont si sublimes, et ma
poche est quelque chose de si étroit, là je ne saisis
pas dedans quand il s'agit des idéaux grandioses.-
Cela doit donc être dit : l'idéalisme est d'abord
le vrai, celui qui une fois saisit dans la poche pour
l'idéal !
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