Mes très chers participants, quand cela partirait que
nous serions plantés perpétuellement dans les
difficultés, dans lesquelles nous sommes plantés
aujourd'hui, où nous ne savons en fait pas comment
nous devrions conduire l'école Waldorf plus loin,
comment nous devrions fonder plus loin de telles
écoles et comment nous devrions conduire en fait à
terme ce Goetheanum, quand ne sera pas saisie la place
que les humains pourraient maintenant vraiment montrer
en compréhension pour de telles choses de tous les
côtés – alors, cela ne continuera pas. Nous avons
besoin de compréhension, mais pas une telle
compréhension que seul l'idéalisme voit, qui admire
les idées et place les mains fortement dans les
poches, parce que les idées sont trop grandes, trop
spirituelles qu'on ne veut pas laisser l'argent
poisseux approcher d'elles. L'argent, ça, on le
maintient dans la poche, et les idées, on les admire,
mais les idées, elles sont trop pures, on ne les
souille pas par cela qu'on donne de l'argent poisseux
pour elles. Je pense cela que j'ai dit, imagé, mais
ici il s'agit que nous apprenions à penser pratique et
qu'alors nous l'amenions aussi aux actes pratiques.
J'ai dit, lorsque l'école Waldorf a été fondée :
belle, l'école Waldorf est belle ; mais avec cela
que nous avons fondé l'école Waldorf n'est pas encore
fait assez sur ce domaine. Est fait au maximum un tout
premier début, même le début du début. L'école Waldorf
nous ne l'avons premièrement fondée quand nous aurons
posé dans le prochain trimestre jusqu'à dix de telles
écoles Waldorf. Alors seulement l'école Waldorf a un
sens. - Il n'y a simplement vis-à-vis de l'actuelle
situation de l'Europe aucun sens à fonder une
seule école Waldorf avec quatre ou cinq cents ou ma
foi aussi mille enfants.
Seulement quand la fondation d'écoles Waldorf trouve
succession, quand telle trouve succession partout,
cela a un sens – seul cela a un sens, ce qui jaillit à
partir d'une mentalité correctement pratique. Quand
ceux qui s'emballent pour les idées de l'école
Waldorf, pas une fois développent autant de
compréhension, qui donc appartient à cela, de faire de
la propagande contre la dépendance de l'école à
l’État, avec toutes forces s'engagent pour cela, que
l’État détache l'école, quand ils ne reçoivent pas
aussi le courage d'aspirer au détachement de l'école
de l’État, alors tout le mouvement d'école Waldorf est
pour des prunes, car il n'a seulement un sens si elle
croît dans une libre vie de l'esprit.
Pour tout cela nous avons besoin de ce que j'aimerai
nommer une aspiration internationale pour tel système
scolaire, mais une aspiration internationale qui ne va
pas purement autour du monde et diffuse des principes,
comment des écoles devraient être aménagées – cela se
passera déjà, quand avant tout les fonds sont procurés
pour de telles écoles. Ce dont nous avons besoin est
une association scolaire mondiale dans tous les pays
de la civilisation qu'aussi vite que possible, la plus
grande somme de moyens soit rassemblée. Alors sur la
base de ces moyens sera créer cela qui est le début
d'une libre vie de l'esprit.
De cela vous essayez que vous veniez quelque part dans
le monde pour agir pour cela, que ne soit pas purement
œuvré par toute sorte d'aspirations idéalistes, mais
que soit agit par une compréhension telle pour la
liberté de la vie de l'esprit que vraiment dans la
plus large circonférence serait procuré de l'argent
dans le monde pour la construction d'écoles et
d'université libres. Il doit pousser cela de la fumure
de l'ancienne culture qui pourra être floraison de
l'esprit du futur. Comme sur les champs cela pousse de
la fumure, ce qu'alors les humains doivent consommer
ainsi cela qui est mûr doit à partir de la vieille
culture devenir fumure, cela doit être collectionné
afin qu'une fois de cette fumure les fruits de
l'esprit, les fruits de l’État et les fruits de
l'économie de l'avenir puissent éclore.
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