triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
(version française du site allemand)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch English Dutch Skandinavisk Français Italiano Español Português (Brasileiro) Russisch
Recherche
 Contact   BLOG  Impressum 
Collection: 03 - Vie spirituelle libre



Sujet: Corporations spirituelles plutôt que syndicats.

 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA337b 233-235 (1999) 12/10/1920





Traducteur: FG Editeur: SITE

Maintenant savez-vous ce qui alors disparaît ? Vous devez réfléchir cela mûrement : ce qui disparaît c'est la concurrence. Quand on peut déterminer les prix ainsi, quand on peut vraiment sur le chemin de la mise en relation des branches déterminer le prix, alors en effet s'arrête la concurrence. Il est seulement nécessaire de soutenir d'une certaine manière cette cessation de la concurrence. Et on peut le soutenir par là [que les différentes branches se rassemblent en associations].
Toutefois était donc aussi déjà toujours disponible un besoin pour cela, que les gens de même branche se rassemblent ; mais ce rassemblement des gens de même branche, cela perd en fait sa valeur économique parce que par là qu'on n'a pas besoin de concourir sur le marché libre, on ne l'a plus nécessaire de sous offrir le prix et semblable. Alors seront toutefois menées à bien les associations, qui se fondent essentiellement de branche à branche, celles-là seront menées à bien par ces associations que nous pourrions alors de nouveau nommer coopératives.

Mais celles-ci n'ont en fait plus besoin d'avoir une signification économique, celles-ci tomberont plus de la vie économique réelle. Quand ceux qui fabriquent un même produit se relient, ainsi sera une bonne occasion, quand plus d'intérêts spirituels se déploient là, quand là de préférence les gens, qui travaillent à partir de directions de pensée communes, apprennent à se connaître, quand ils ont un certain contexte moral.
Celui-là qui pense réel, celui-là peut voir, comme vite se laisserait faire qu'on déchargerait les groupements de mêmes branches du souci de la détermination de prix, en ce que les prix seraient juste déterminés par les groupements des branches non identiques. Ce serait par cela – en cela, je voudrais dire que le moral pénétrerait dans les groupements de mêmes marchandises -, il se laisserait construire par là au mieux les ponts vers l'organisation spirituelle de l'organisme social tri-articulé. Mais de telles relations, qui se sont constituées purement à partir de l'ordre économique capitaliste comme les syndicats, celles-ci doivent avant tout disparaître aussi vite que possible.

J'ai été récemment questionné par un humain qui a à faire avec la vie économique, sur ce qui maintenant devrait se passer, car ce serait vraiment très difficile d'inventer encore quelque chose pour d'une quelque manière œuvrer dans un sens valable dans la vie économique frénétiquement déclinante. Je disais : oui, quand on continue à faire ainsi aux positions étatiques correspondantes, qui donc encore sont toujours donnant la mesure pour la vie économique – et aujourd'hui tout de suite sont bien donnant premièrement la mesure, alors cela va déjà sûrement entièrement à la ruine. - Car qu'est-ce qui serait nécessaire aujourd'hui ? Ce serait nécessaire que ceux qui à partir de la citoyenneté d’État de quelque manière devraient s'extraire progressivement en porteurs des associations économiques que ceux-là s'occuperaient moins dans la direction, que par exemple on pouvait remarquer dans le Wurtemberg, où était un ministère socialiste. Oui, tout de suite dans le temps, pendant que nous étions particulièrement actifs, ces gens ont donc parfois promis, qu'ils voudraient venir. Ils ne sont pas venus. Pourquoi ? Oui, ils se laissèrent toujours excuser, car ils avaient des sessions de cabinet. Là on pouvait toujours seulement dire à ces gens : quand vous vous asseyez ensemble, là vous pourriez brasser là dedans ce que vous voulez ; vous n'aideriez en tout cas pas à mettre la vie sociale debout. - Aussi ministre et tous ceux qui avaient maintenant les places subordonnées, en bas du ministre, ceux-là n'auraient pas été à leur place dans les cabinets, mais partout dedans dans les assemblées populaires pour trouver les masses de cette manière et travailler parmi elles ; ceux qui avaient une quelque chose à enseigner et à fournir, ceux-là auraient à leur place chaque soir parmi les travailleurs.
Par cela on aurait pu gagner les gens, que progressivement d'une manière raisonnable les syndicats auraient disparu. Et ils doivent disparaître, car seulement par là, que les syndicats disparaissent, sont les purs groupements de travailleurs, pourrons avoir lieu les associations, et c'est entièrement indifférent si un aujourd'hui tend vers la direction du syndicat ou de l'association des préposés/employés ou voir de l'association capitaliste d'une certaine branche – ils appartiennent tous les uns aux autres, ils ont leur place dans les associations.
C'est cela dont il s'agit que nous œuvrions avant toute chose à la mise de côté de ce qui arrache les humains les uns des autres.