Maintenant savez-vous ce qui alors disparaît ?
Vous devez réfléchir cela mûrement : ce qui
disparaît c'est la concurrence. Quand on peut
déterminer les prix ainsi, quand on peut vraiment sur
le chemin de la mise en relation des branches
déterminer le prix, alors en effet s'arrête la
concurrence. Il est seulement nécessaire de soutenir
d'une certaine manière cette cessation de la
concurrence. Et on peut le soutenir par là [que les
différentes branches se rassemblent en associations].
Toutefois était donc aussi déjà toujours disponible un
besoin pour cela, que les gens de même branche se
rassemblent ; mais ce rassemblement des gens de
même branche, cela perd en fait sa valeur économique
parce que par là qu'on n'a pas besoin de concourir sur
le marché libre, on ne l'a plus nécessaire de sous
offrir le prix et semblable. Alors seront toutefois
menées à bien les associations, qui se fondent
essentiellement de branche à branche, celles-là seront
menées à bien par ces associations que nous pourrions
alors de nouveau nommer coopératives.
Mais celles-ci n'ont en fait plus besoin d'avoir une
signification économique, celles-ci tomberont plus de
la vie économique réelle. Quand ceux qui fabriquent un
même produit se relient, ainsi sera une bonne
occasion, quand plus d'intérêts spirituels se
déploient là, quand là de préférence les gens, qui
travaillent à partir de directions de pensée communes,
apprennent à se connaître, quand ils ont un certain
contexte moral.
Celui-là qui pense réel, celui-là peut voir, comme
vite se laisserait faire qu'on déchargerait les
groupements de mêmes branches du souci de la
détermination de prix, en ce que les prix seraient
juste déterminés par les groupements des branches non
identiques. Ce serait par cela – en cela, je voudrais
dire que le moral pénétrerait dans les groupements de
mêmes marchandises -, il se laisserait construire par
là au mieux les ponts vers l'organisation spirituelle
de l'organisme social tri-articulé. Mais de telles
relations, qui se sont constituées purement à partir
de l'ordre économique capitaliste comme les syndicats,
celles-ci doivent avant tout disparaître aussi vite
que possible.
J'ai été récemment questionné par un
humain qui a à faire avec la vie économique, sur ce
qui maintenant devrait se passer, car ce serait
vraiment très difficile d'inventer encore quelque
chose pour d'une quelque manière œuvrer dans un sens
valable dans la vie économique frénétiquement
déclinante. Je disais : oui, quand on continue à
faire ainsi aux positions étatiques correspondantes,
qui donc encore sont toujours donnant la mesure pour
la vie économique – et aujourd'hui tout de suite sont
bien donnant premièrement la mesure, alors cela va
déjà sûrement entièrement à la ruine. - Car qu'est-ce
qui serait nécessaire aujourd'hui ? Ce serait
nécessaire que ceux qui à partir de la citoyenneté
d’État de quelque manière devraient s'extraire
progressivement en porteurs des associations
économiques que ceux-là s'occuperaient moins dans la
direction, que par exemple on pouvait remarquer dans
le Wurtemberg, où était un ministère socialiste. Oui,
tout de suite dans le temps, pendant que nous étions
particulièrement actifs, ces gens ont donc parfois
promis, qu'ils voudraient venir. Ils ne sont pas
venus. Pourquoi ? Oui, ils se laissèrent toujours
excuser, car ils avaient des sessions de cabinet. Là
on pouvait toujours seulement dire à ces gens :
quand vous vous asseyez ensemble, là vous pourriez
brasser là dedans ce que vous voulez ; vous
n'aideriez en tout cas pas à mettre la vie sociale
debout. - Aussi ministre et tous ceux qui avaient
maintenant les places subordonnées, en bas du
ministre, ceux-là n'auraient pas été à leur place dans
les cabinets, mais partout dedans dans les assemblées
populaires pour trouver les masses de cette manière et
travailler parmi elles ; ceux qui avaient une
quelque chose à enseigner et à fournir, ceux-là
auraient à leur place chaque soir parmi les
travailleurs.
Par cela on aurait pu gagner les gens, que
progressivement d'une manière raisonnable les
syndicats auraient disparu. Et ils doivent
disparaître, car seulement par là, que les syndicats
disparaissent, sont les purs groupements de
travailleurs, pourrons avoir lieu les associations, et
c'est entièrement indifférent si un aujourd'hui tend
vers la direction du syndicat ou de l'association des
préposés/employés ou voir de l'association capitaliste
d'une certaine branche – ils appartiennent tous les
uns aux autres, ils ont leur place dans les
associations.
C'est cela dont il s'agit que nous œuvrions avant
toute chose à la mise de côté de ce qui arrache les
humains les uns des autres.
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