Mais laissez seulement une fois passer par votre âme –
à la mesure du sentiment et sans prévention, non
influencés par cela qui est déjà là et continuellement
a été introduit dans la vie de l'esprit du côté de
l’État -, laissez passer par votre âme ce qu'est la
vie de l'esprit placée sur elle-même.
Maintenant, mes très chers présents, je pense en cela
vous pourrez en fait tous me comprendre
correctement : quand la vie de l'esprit est
d'abord libre, alors tout d'abord la capacité agira
dans dans la vie de l'esprit qui sera reconnue, sera
portée, par confiance ; cette capacité agira, et
elle agira dans la même mesure, dans laquelle cette
vie de l'esprit sera émancipée de l’État. Et à toutes
ces « couettes » qui ne veulent rien savoir
de notre conseil culturel, là on pourrait bien
remarquer – j'ai déjà rendu attentif à cela d'un autre
côté - : quand il devrait s'agir de capacité
portée par la confiance, pas de capacité estampillée
par l’État, alors ils ne siégeraient très bientôt pas
sur leurs sièges de magistrats romains (NDT ihren
kurulischen Stühlen). C'est cela qui de tous
côtés a laissé se barrer les gens de notre appel à un
conseil culturel, qu'encore – présenté de manière
imagée – fracs et basques ont volés loin, loin dans le
vent avec la rapidité avec laquelle ils ont détallés
lorsque nous les invitions à une libre vie de
l'esprit.
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