La vie de l'esprit doit être posée sur son propre sol. Elle doit être posée sur son propre sol si fortement que ceux qui par exemple enseignent, du plus bas niveau jusqu'au plus haut niveau de l'enseignement sont en même temps les administrateurs du système d'éducation et d'enseignement, que l'administration du système d'éducation et d'enseignement soit en rapport avec l'entière vie de l'esprit caractérisée n'importe comment par un organisme social allant avec.
Seulement quand -je voudrais parler concrètement – celui-là qui se tient dans l'école et enseigne, ne fait en même temps autant à sa tâche que lui reste de temps d'être à côté administrateur du système d'enseignement du niveau le plus inférieur jusqu'au niveau le plus supérieur, alors seulement, quand on réussit de telles institutions que celui qui a à œuvrer dans la vie de l'esprit, en particulier enseigne et éduque, n'a rien à faire d'autre qu'a nouveau avec enseigner et éduquer quand l'organisme spirituel entier est construit sur lui-même, est une unité autonome, toutes les forces qui sont disposées dans l'humanité, pourront vraiment être déliées dans le domaine de la vie spirituelle, alors la vie de l'esprit peut se développer dans sa pleine fécondité.
Cela semble cependant bien, d'abord au moins dans une forme abstraite, attirer l'attention sur la nécessité que la vie de l'esprit, qui sur ses propres principes, sur ses propres impulsions doit être construite, doit être démembrée de tout cela qui se passe dans le démocratique.

Mais tout autant, comme la vie de l'esprit doit être démembrée de la pure vie d’État, doit être démembré de cela de l'autre côté la vie de l'économie.
Là on pénètre de toute manière un domaine, où on trouve aujourd'hui moins d'opposants qu'a la vie de l'esprit. À la vie de l'esprit, en particulier au système scolaire, il est devenu usuel dans les trois à quatre derniers siècles, de regarder comme une tête éclairée seul celui qui regarde le pouvoir de l’État sur le système scolaire comme le juste, qui ne peut pas du tout se penser, qu'on puisse retourner à nouveau à l'autonomie de la vie de l'esprit sans tomber sous l'emprise du cléricalisme ou équivalent.