Voyez-vous, un concept devra dans le futur
complètement disparaître, le concept de la
personnalité juridique, aussi la personnalité
juridique-économique. Ce qui en fait sera à payer
comme impôts sera à payer par des humains particuliers
parce que dans l’État, dans l’État démocratique, sur
le sol sur lequel doit vivre le droit, l'humain
individuel fait face à l'humain individuel. Les
humains ne peuvent alors être égaux quand un humain se
tient vis-à-vis des autres comme individu. Sur le sol
de la vie économique et sur le sol de la vie de
l'esprit, il doit y avoir des corporations. Sur le sol
de l’État il ne peut seulement y avoir du droit, qui
est pour tous les humains le même, cela chaque humain
majeur peut le voir clairement. Mais de cela est
l'équivalent que chaque personne privée, que chaque
individu est seulement le porteur d'impôt.
Cela peut être aménagé proportionnellement ainsi que
jamais ne survienne d'injustice, mais cette
proportionnalité ne sera pas nécessaire, quand
vraiment une compensation entre les humains est là. La
question fiscale sera alors quelque chose de tout
autre. Pour cela valent les choses dont il s'agit et
qui peuvent être questionnées aujourd'hui, plus pour
le stade de transition. Là on doit souvent donc faire
des choses, qui ne restent pas. Là il s'agit
naturellement de ce qu'on crée les chemins vers
l'imposition de l'humain individuel, pas vers
l'imposition de complexes [...]
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