Rudolf Steiner : « Maintenant nous pouvons
passer au traitement de la question de propagande et
la question de la position à l'association pour
l'école Waldorf. - Maintenant, en ce qui concerne la
question de propagande, celle-là vous l'avez amenée en
liaison avec l'Union pour une libre vie de
l'esprit : lutte contre la loi scolaire de base.
Ainsi que repose la chose, je pense que ce n'ai en
fait pas bon quand l'école Waldorf comme telle aux
questions habituelles comme elles seront le plus
souvent formulées en public dans la trivialité, prend
part pour ou contre. Nous avancerions bien plus
valablement quand nous travaillons énergiques à partir
de notre propre chose et positifs représentons ce que
nous avons à représenter de la pédagogie et didactique
waldorf et ne nous laissons pas aller sur des
formulations qui viennent de l'extérieur.
Cela avait souvent pour moi un petit goût amer quand
quelqu'un de nous a tenu une conférence sur la loi
scolaire de base. Car ainsi la question ne repose pas
du tout que nous devrions participer à ces choses.
Nous devons cela, que nous avons à représenter,
représenter à partir de nos propres choses. Ainsi nous
viendrons bien plus loin. Ainsi que les gens, qui
veulent s'informer là dessus, devraient se poser la
question, ceux-là sont-ils pour la loi scolaire de
base ? Nous sommes naturellement contre. Nous ne
devrions pas intervenir dans les négociations de
l'ordre du jour philistin.
Comment se représente le combat contre
la loi scolaire de base ? N'est-ce pas, ces
choses doivent à la mesure de la vie – je dis sinon à
la mesure de la réalité -, ces choses doivent être
traitée à la mesure de la vie . Le monde devrait avoir
l'impression, les gens de l'école Waldorf en rapport
avec les groupes humains restants à l'intérieur
desquels ils se tiennent, les gens de l'école Waldorf
traitent ces choses conformément à la vie.
N'est-ce pas quand vous prenez les
articles qui sont dans « Anthroposophie »
comme nouvelles de la semaine, ainsi ces articles sont
considérés ainsi comme s'ils étaient écrit sans
connaissance des rapports qui existent aujourd'hui
entre parlement et gouvernement et corps
d'administration et ainsi de suite. Il sont ressentis
comme non pratiques de gens qui ont un jugement , qui
se tiennent dedans la vie, comme si on se formait
simplement un jugement feuilletonnesque et alors on
accroche encore la chose de la libre vie de l'esprit
ou de la triarticulation à cela. Par cela nous nous
amenons toujours de nouveau du nouveau dans la honte
d'être un groupe d'humain non pratique. Cela doit
cesser vis-à-vis de ces choses. De gens qui sont des
opposants, je ne parle pas, je parle de gens pleins de
raison, qui se tiennent sur le sol de la
triarticulation.
Il s'agit de cela quand nous impliquons
l'Union pour la libre vie de l'esprit dans notre
chose-école Waldorf que nous ne tombons pas dans la
même erreur dans lequel tombe l'Union elle-même, en
une sorte de théorisation. La je pense il s'agira de
cela de placer de nouveau l'agitation et la propagande
sur de saines bases. Donc, certainement, ce peut être
une alliance avec l'Union pour la libre vie de
l'esprit, mais quand nous établissons quelque chose de
tel nous devons être conscient de cela c'est du début
non conforme à la vie quand nous amenons la pédagogie
Waldorf en contradiction contre la loi scolaire de
base. Plus largement la pédagogie waldorf s'étend
d'autant impossibles sont de telles lois
philistreuses. Nous n'avons pas besoin de nous placer
sur le sol de cette politique de bistrot ( NDT
lit.de bière). C'est une question de tact. Nous
ne devons en fait pas intervenir. Nous n'aurions
jamais du ! Cela a été la bêtise chez le
mouvement pour la triarticulation. Nous n'aurions
jamais dû intervenir dans les questions du jour
philistreuses.
J'ai pour cela traité ce domaine
isolément, parce que je mets une valeur particulière
que là nous grimpions vraiment sur un guet plus haut.
J'ai essayé cela déjà depuis des années que je voulais
provoquer la fondation d'une association scolaire
mondiale. Celle-ci aurait justement poursuivi le but
de ne pas faire les questions pédagogiques
philistreuses, mais publique d'un plus haut point de
vue. Cela aurait été la difficile tâche d'une telle
association scolaire mondiale ».
Une enseignante : Ne pourrions-nous
pas faire des soirées de discussion auxquelles on
inviterait des gens particuliers et aussi les
autorités ?
X : Il s'est établi qu'il y a parmi
les messieurs d'école dirigeants qui aimeraient bien
savoir quelque chose, mais craignent de faire le
premier pas.
Y : Aménager quelque chose de tel
dans l'école à quoi on amène avec soi un des messieurs
par relations personnelles.
Rudolf Steiner : « Du sens n'a
quelque chose comme cela seulement quand une telle
rencontre avec des se tenant en dehors survient en
forme d'annonce publique, dans laquelle on invite que
d'autres viennent ; quand alors du côté de
l'école Waldorf la chose sera engagée et alors les
demandes s'y rattachent. Sinon en sort un n'importe
quoi habituel.
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