Question : X. : Il est apparu le vœu d'avoir un acte dominical particulier seulement pour les professeurs.

Dr. Steiner : quelque chose de semblable a déjà été discuté une fois. On devrait savoir si un besoin global est disponible.

Question : X. : Le vœu a été exprimé.

Dr. Steiner : naturellement, il peut en sortir quelque chose de très beau. Je peux bien me représenter qu'une lutte vers l'unité est possible. Le mode ne sera pas si facile à trouver. Qui devrait faire cela ? Supposez, ceux-là devraient être déterminés par vote et alors alterner. Ce sont des choses qui sont très difficiles. Là doit être disponible une très profonde volonté unitaire. Qui devrait le faire ?

Question : X. : à moi n'est jamais venu l'idée que cela pouvait donner un point litigieux. Nous ne devrions pas avoir là une ambition.

Dr. Steiner:quand chacun à une autre opinion là dessus, qui le fait bien, alors c'est difficile. Vous serez tous d'accord que celui-là le fait qui le fait bien ; cela est général. Mais alors vient l'histoire. C'est toujours encore comme avec Stockerau : à un Viennois fut demandé si c'est loin vers l'Amérique. Là-dessus, il a dit : À Stockerau s'êtes bientôt, mais après s'étend le chemin !

Question : X. : cela devrait-il être lié à une personne ?

Dr. Steiner : alors, la difficulté est chaque semaine qui le fait bien.

Question : X. propose Monsieur N.

Dr. Steiner : là on devrait faire un scrutin secret.

Question : X. : essentiel me semble seulement que nous le recevions.
Dr. Steiner : Certes. C'est une chose difficile, comme le vote du pape.

Question : X. : à moi, chaque autre me va.

Dr. Steiner : alors, on peut réfléchir sur le mode. Je ne le risquerais jamais, de désigner à partir de moi, celui qui doit le faire.

Question : X. : Un des trois messieurs qui le font chez les enfants.

Dr. Steiner : si les messieurs sont reconnus, sans sourcillement intérieur vaniteux. Un acte – soit, il est purement une chose de forme, alors vous pouvez le faire et l'initier communautairement ou c'est un acte rituel ; cela doit être sérieux plus profondément. Là on ne peut avoir de rancune.

Question : un professeur supplémentaire parle là dessus.

Dr. Steiner : maintenant j'arrête de comprendre la chose. Maintenant je ne comprends plus rien de cela.

Un culte est ésotérique. Un culte est le plus ésotérique qu'on peut se penser. - Ce que vous avez dit s'étend volontiers là dessus qu'on ne peut pas voter démocratiquement sur un rituel. Naturellement un rituel peut quand il est une fois là être soigné par un collège. Alors, le collège devrait être uni.

Question : X:j'étais de l'opinion, qu'aucune autorité n'avait le droit d'être appliquée vis-à-vis de l'individu.

Dr. Steiner : j'ai cela dans le sens. Tout de suite comme le rituel a été introduit pour les enfants.Ce ne serait pas du tout la tâche de l'école Waldorf.

C'est justement la question, si une telle chose, qui, n'est-ce pas, doit être dans un certain sens construite si soigneusement, n'est pas quelque chose qui du collège des professeurs en tant que tel peut très difficilement sortir et pourra très difficilement être soignée unitairement en tant que telle dans le collège.
Supposez, vous seriez maintenant tous d'accord. La prochaine fois on serait limité à cela d'admettre dans le collège seulement ceux qui transportent déjà l'accord à l'intérieur. On peut unifier ésotériquement des humains qui s'unifient sous les signes factuels de cet ésotérisme. Un acte cultuel est seulement possible dans des cercles ésotériques, quand il doit être quelque chose. Sinon on doit avoir quelque chose de la nature sacrificielle de la messe. Mais pour cela vous avez besoin tout de suite de nouveau pour ceux qui l'on comme non ésotérique, à ceux-là doit faire vis-à-vis l'ésotérique. Vous ne pouvez lire de messe sans prêtre. À l'ésotérique les humains devraient s'unifier dans les signes de contenu.