Il est parlé de l'école libre et de l'association
scolaire mondiale. Le Dr. Hahn et Mademoiselle von
Heidebrand en parlent.
Dr. Steiner(?) : une conscience de soi saine
pourrait venir à la société.
Louis Werbeck : la société devrait s'intéresser
pour l'école centrale.
Dr. Steiner : la difficulté que d'abord pour le
premier coup de pouce les gens qui vivent en un
quelque endroit n'ont pas un intérêt immédiat à cela,
de soutenir une école à Stuttgart, dans laquelle ils
ne peuvent pas envoyer leurs enfants, ainsi qu'ils
doivent se dire : nous soutenons une école, mais
le délice de l'école nous ne pouvons l'accorder à nos
enfants. Cela n'est pas à surmonter autrement que par
cela qu'on en fasse la chose pour l'affaire de
l'humanité en général. Qu'on promeut quelque chose qui
par moi a déjà souvent été accentué : de propager
l'idée des écoles libres dans la forme d'une
association scolaire mondiale. Alors, les gens
élargiraient leur jugement premier (NDT ou
primaire . En allemand : primär) et se
diraient : nous reconnaissons par cette méthode
les écoles peuvent devenir meilleures, une telle école
comme école modèle doit être là. - Alors on ne
construirait pas tant sur les l'efficacité de détail,
mais sur les grands concepts de l'école libre. Quelque
chose de tel devrait être rendu populaire, être amené
aux branches. Là devrait être conçu comme une affaire
générale anthroposophique que serait traitée la
pédagogie libre. Alors se laisserait vraiment
atteindre quelque chose.
Alors, on pourrait maintenir une école par
contributions et les autres écoles on les traiterait
ainsi qu'on dirait : vous pouvez les fonder si
vous avez l'argent de les maintenir de manière privée.
Mais une affaire de la société anthroposophique est
l'école modèle par laquelle devra simplement être
démontré le pratique de cette méthodologie. Il s'agit
pour toutes choses qu'on les place devant le monde
entier. Alors ça irait.
Mais la fondation de l'association scolaire mondiale a
été battue dans le vent. Je ne reconnais pas pourquoi
celle-ci n'aurait pu être promue.Je ne vois pas
pourquoi l'association scolaire mondiale n'aurait pas
dû naître. Mais quand il s'agit de cela de transposer
la génialité dans les faits, alors les forces
échouent.
À Hambourg la chose a été bâclée. Qu’était le point
de départ ? Pohlmann était venu et avait dit, il
voulait fonder une école. En cette chose il est seul
pleinement responsable. Aujourd'hui Pohlman devrait
être obligé d'honorer ses responsabilités : il
devrait fonder une école comme particulier. Je
pensais, cette communauté serait une bonne, car cette
communauté Pohlman et Kändler me semble bien aller
ensemble et cela aurait marché. Si seulement on ne
prenait pas toujours tout de suite et toujours de
travers quelque chose comme ça dans notre communauté
de membres ! Je ne sais pas pourquoi cette école
privée, que Pohlman veut avoir comme violon d'Ingres,
pourquoi on voulait avoir cette école comme une
affaire optionnelle. Cette école Monsieur Pohlmann l'a
engagée, donc il devrait aussi la mettre à exécution.
Il n'a pas été possible de fonder l'association
scolaire mondiale.Car la mauvaise habitude de
Stuttgart pénétra aussi au grand jour en dehors
d'Allemagne.
Une animation des amis étrangers ne s'est aussi pas
passée d'Allemagne. La difficulté est celle-là que les
gens se disent : nous ne pouvons envoyer nos
enfants à Stuttgart. De ce fait, on devait placer
cette affaire sur une autre carte.
Louis Werbeck : les gens le ressentent comme une
affaire mondiale.
Dr. Steiner : vous pouvez être sûr : si les
conditions étaient aujourd'hui les mêmes qu'avant
guerre – qu'en effet un grand nombre de gens pouvaient
fournir leurs enfants avec légèreté -, alors un grand
nombre de parents seraient dispersé à différents
endroits et les gens auraient bien plus de cœur pour
l'école waldorf de raisons primaires. On doit rendre
le but secondaire populaire : le concept de
l'école libre. Pour des idées pédagogiques, les
humains sont faciles à enthousiasmer. Mis à part des
mérites particuliers, ne règne pas dans notre société
ce qui devra être nommé enthousiasme. Comme souvent
j'ai ici en telle manière terminologique exprimé mon
désespoir : combien difficile est a amener un
trentième comité en élan ! Il règne là une
résistance comme en une pâte à strudel (NDT
sorte de tarte roulée aux fruits, la pâte doit se
tenir !)
Tout sera étranglé vers dehors. Tout au plus quand
peut être grondé, alors règne de l'élan. Dans les
choses idéales manque l'élan. Si cet élan pouvait
quand même rentrer là !
Génialité (NDT ou génie) est
là, mais élan et enthousiasme devraient entrer dans
cette génialité ! On ne juge pas assez strict,
quand on dit qu'enthousiasme et élan sont ici à
déplorer. Les gens portent le siège de notable romain
avec eux, aussi quand ils vont. Les choses seront si
intelligemment discutées sans limites. Cette
intelligence sans limites règne aussi dans le jugement
des autres.
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