Cette construction se tient là, pour l'instant
inachevée. Ce n'est aujourd'hui pas à avoir à partir
des pays médians ce qui a été amené pour une grande
partie jusqu'à ce point en rapport avec ce qui nous
est venu des états neutres. Nous devons avoir des
aides financières des pays de l'ancienne Entente. Là
doit être développée de la compréhension pour cela qui
doit devenir une culture unitaire, qui contient esprit
et politique et économie. Car les humains doivent à
partir d'une disposition unilatérale et aussi suivre
ceux-là qui aussi comprennent quelque chose de
politique et économie, qui ne font pas seulement dans
la dialectique, mais décèlent aussi le spirituel et
s'embarquent sur des impulsions économiques, ne
veulent fonder des États, dans lesquels l’État déjà
pourrait lui-même faire l'économie (NDT
wirtschaften). Les peuples de l'Ouest devront
reconnaitre qu'à leurs particuliers talents d'avenir
dans le système d'association économique qu'ils ont
tout de suite fixés à mauvaise fin, à la psychologie,
ce vers quoi doit se développer à cela : une
pleine compréhension de l'élément politique-étatique,
lequel a d'autres sources que la vie économique, et à
gagner l'élément spirituel.
Mais au sol reposent les pays médians. On devra
considérer cela dans les secteurs occidentaux – en
orient ce n'est pas du tout à penser -, ce que cet
édifice veut ! De cela est nécessaire qu'on
réfléchisse là dessus, comment cela doit se passer,
que soit vraiment pris soin de cette culture qui
maintenant voudrait se montrer comme une culture qui
est appelée à pénétrer le système universitaire de
l'avenir et qui s'est montrée dans la fondation de
l'école Waldorf comme une telle qui peut éclairer le
système scolaire national. Mais nous avons besoin pour
cela du soutien le plus plein de compréhension des
plus larges cercles.
Pour cela nous avons avant tout besoin de moyens.
Pour tout ce qui s'appelle au sens le plus haut ou le
plus bas école, nous avons besoin de l'opinion que
j'ai déjà appuyée jadis alors que l'école Waldorf est
fondée à Stuttgart ; lors de la fondation je
disais : cette école unique, oui, c'est beau que
nous l'ayons, mais en elle-même elle n'est rien ;
elle sera premièrement quelque chose, quand dans le
prochain trimestre nous établissons dix de telles
écoles Waldorf et alors d'autres. Cela le monde ne l'a
pas compris, pour cela il n'a pas d'argent. Alors, il
se tient là sur le point de vue : oh les idéaux
sont trop hauts et trop purs pour que nous devions
amener à eux l'argent poisseux ; celui-là nous
préférons le garder dans la poche, là il est à la
place correcte, le sale argent. Les idéaux, oh, ils
sont bien trop purs, on n'a pas le droit de les
souiller avec l'argent ! Une telle incarnation
des idéaux ne se laisse toutefois pas atteindre avec
cette pureté à ceux à qui le sale argent n'est pas
apporté, et ainsi nous devons déjà penser à cela que
nous restons debout à une seule école Waldorf qui en
fait ne peut pas vraiment avancer, parce que nous nous
trouvions dans de gros soucis financiers en automne.
Ils sont pour l'instant aplanis ; à Pâques nous
serons de nouveau devant. Et ici, ici d'après les
conditions nous devrons sous peu nous demander :
devrions-nous arrêter ? Et nous devrons arrêter
si pas avant ne se trouve pas une compréhension
saisissant très fortement dans les poches.
Il s'agit de cela, éveiller de la compréhension dans
cette direction. Je ne crois pas, que beaucoup de
compréhension croîtra – cela s'est déjà montré à nous
– si nous parlions que nous voulions quelque chose
pour l'édifice à Dornach ou semblable. Mais – et pour
cela se trouve donc aujourd'hui encore de la
compréhension -, quand on veut fonder des sanatoriums
ou semblable, pour cela on reçoit de l'argent tant
qu'on veut ! Cela nous ne le voulons donc tout de
suite pas, nous ne voulons pas fonder tellement de
sanatoriums, sommes tout à fait d'accord avec leur
fondation, aussi loin qu'ils soient nécessaires, mais
ici il s'agit avant toute chose du soin de cette
culture d'esprit, laquelle volontiers se prouvera par
cela que voulait justement fournir ici ce cursus
universitaire. De cela j'essayais de stimuler ce que
j'ai résumé ici dans le mot : « association
scolaire mondiale ».
Nos amis allemands sont partis ; il ne s'agit
pas d'eux à cette association scolaire mondiale. Il
s'agit de ceux là qui comme amis pour la plus grande
part de toutes les contrées du monde non allemand qui
sont apparus ici et sont encore assis ici, qu'ils
comprennent ce mot « association scolaire
mondiale », car il est nécessaire que nous
fondions école sur école dans toutes les contrées du
monde à partir de l'esprit pédagogique didactique qui
règne dans l'école Waldorf. Il est nécessaire que nous
puissions étendre cette école jusqu'à ce que nous
trouvions le rattachement à cela que nous voulons ici
comme système universitaire. Mais à cela est
nécessaire que nous soyons en mesure de terminer cet
édifice, avec tout ce qui lui appartient et
perpétuellement pouvons entretenir ce qui est
nécessaire pour agir ici, pour créer, pour créer à la
plus large consolidation de chaque science
particulière à partir de l'esprit de la science de
l'esprit.
Quelques personnes demandent combien on a besoin
d'argent pour tout cela. On ne peut pas du tout dire
combien on a besoin, car vers le haut cela n'a
absolument jamais une frontière. Évidemment – une
association scolaire mondiale, nous ne la fonderons
pas par là que nous créions un comité de douze ou
quinze ou trente personnes, qui élabore de beaux
statuts, comment une telle association scolaire
mondiale devrait agir et travailler. Tout cela n'a pas
de raison d'être. Je ne donne pas des programmes, pas
des statuts, mais du travail aux humains vivants qui
œuvrent pleins de compréhension. On pourra une fois
fonder cette association scolaire mondiale,
maintenant, à Londres on ne pourra donc encore venir
longtemps ; mais à La Haye ou un tel endroit
quand par là un quelque soubassement est créer, et
encore par maintes autres choses, quand ces amis qui
vont maintenant en Norvège ou Suède ou Hollande ou en
quelque autre pays, en Angleterre, France, Amérique et
ainsi de suite, quand ces amis partout auprès de
chaque humain duquel ils peuvent s'approcher,
suscitent la conviction, la conviction la plus
fondée : il doit y avoir une association scolaire
mondiale !
Cela devrait aller de par le monde comme une traînée
de poudre : une association scolaire mondiale
doit se constituer pour la constitution des moyens
matériels pour la culture d'esprit qui est pensée ici.
- Peut-on donc sinon convaincre comme individu par
tout le possible des centaines et centaines d'humains
pourquoi ne devrait on donc pas dans un court temps –
car le déclin va si vite, que seulement peut de temps
se tient à notre disposition -, comme humain
individuel pouvoir œuvrer sur beaucoup, ainsi que,
quand alors après quelques semaines, on arrive à La
Haye, on verrait comment déjà est largement répandu le
jugement : la constitution d'une association
scolaire mondiale est nécessaire, seulement les moyens
manquent pour tout cela. Ce qu'on veut à partir de
Dornach est une nécessité historique. - Alors on
pourra parler sur l'inauguration de cette association
scolaire mondiale, quand l'opinion est déjà là sur
elle. Fonder des comités et décider l'association
scolaire mondiale, cela est utopique, cela n'a pas de
but du tout ; mais œuvrer d'humain à humain et
répandre l'opinion, l'opinion fondée en une rapidité,
qui justement est nécessaire, c'est cela qui doit
précéder la fondation. La science de l'esprit vit dans
des réalités. Pour cela elle ne s'embarque pas aussi à
déposer des conclusions sur des prévisions
programmatiques de fondation, mais elle indique sur
cela qui sous les réalités – les humains sont donc des
réalités -, a à se passer entre humains, afin qu'une
telle chose ait une chance.
Donc là-dessus il s'agit que nous apprenions enfin de
la science de l'esprit, à nous tenir dans la vie
réelle. Je ne m'embarquerais jamais sur une pure
fondation utopique de l'association scolaire mondiale,
mais je serais toujours de l'opinion :
l'association scolaire mondiale peut seulement se
constituer quand un nombre suffisamment grand
d'humains sont convaincus de sa nécessité. Et avec
cela ce qui est nécessaire à l'humanité – cela s'est
donc volontiers révélé de nos cours universitaires -,
pourrait se passer, pour cela doit doit être fonder
cette association scolaire mondiale. Donc on verrait
ce qui est pensé avec cette association scolaire, dans
le sens correct dans toute la vie
internationale ! Dans cette demande pressante,
j'aimerais laisser résonner au jour d'aujourd'hui cela
qui de toute autre manière à partir de tout notre
cursus a parlé à l'humanité tout de suite par ceux-là
qui ici ont été, et desquels nous avons l'espoir et le
souhait qu'ils aimeraient le porter dehors dans le
monde. L'association scolaire mondiale, elle peut être
la réponse du monde sur cela qui pourra être placé
comme une question devant le monde, mais une question
qui est saisie des véritables forces du devenir
humain, cela signifie à partir de l'histoire de
l'humanité. Donc, ce qui peut se passer pour
l'association scolaire mondiale d'après cette
conviction que vous avez pu gagner ici dans les trois
dernières semaines, cela se passera ! Là-dedans
résonne ce que j'ai encore voulu dire aujourd'hui.
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