Chaque vie de l'esprit dépendante de l’État est
imposée (NDT ou obtenue) par des impulsions
lucifériennes. Jouent alors dedans la vie de l'esprit
des décisions majoritaires ou semblables, qui toujours
retouchent (NDT verretuschieren),
ce qui vient de l'individualité humaine, mais par cela
la pensée pointue, la volonté pointue, ce qui de
l'individualité humaine vient, alors disparaît. Mais
par toute disparition de cette acuité se constitue
justement tout de suite l'élément luciférien dans la
pensée humaine, dans la volonté humaine.
Ainsi que nous pouvons dire : toute vie de
l'esprit, qui est attachée avec la vie du droit, porte
le caractère luciférien. Et tout de suite pour
surmonter le caractère luciférien qui doit être
surmonté dans la vie spirituelle publique, cela
nécessite le détachement de la vie du droit. L'humain
individuel ne peut pas le surmonter, car des éléments
de rêve – j'ai rendu attentif là-dessus hier - doivent
toujours entrer en jeu dans sa vie de l'esprit. Mais
ceux-là seront rejetés par cela que l'humain est
dedans la vie de l'esprit sociale, mais cette vie de
l'esprit est séparée de l’État.
Tout comme cela, dans la vie économique, quand elle
est administrée par l’État, jouent des éléments
ahrimaniens. Ces éléments ahrimaniens, qui dans la vie
économique, dans l'administration de la vie
économique, entrent en jeu, ceux-là seront écartés
uniquement et seulement par cela que la vie économique
comme je l'ai ici souvent souligné serait édifiée sur
la vie de la fraternité en corporations, associations
et ainsi de suite.
Vous voyez, il s'agit de faire valoir vraiment de
grands principes à cette triarticulation. Au milieu
reste alors la véritable structure d’État, tout cela
seulement, qui se rapporte sur le droit public.
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