Alors a été posée ici la question de l'association
scolaire mondiale. Ce que j'ai à dire ici sur cette
association scolaire mondiale en rapport sur ses
intentions, je l'ai, comme je crois, avec pleine
clarté, exprimé à la fin de notre dernier cours
universitaire ici en automne. J'ai alors à nouveau à
peu près de la même manière exprimé la nécessité de la
fondation d'une telle association scolaire mondiale
universelle à La Haye, Amsterdam, Utrecht, Rotterdam
et Hilversum : que la possibilité d’œuvrer dans
une association scolaire mondiale dépende de cela que
la conviction qu'un nouvel esprit devrait entrer dans
le système scolaire universel se répande dans un
nombre aussi grand que possible d'humains. J'ai rendu
attentif qu'il ne pourrait aujourd'hui pas du tout
s'agir de fonder ça ou là des écoles qui se
tiendraient là isolées et dans lesquelles on utilise
une méthode élargie dans tel ou tel point de vue, mais
qu’à partir des pensées de la vie de l'esprit se
portant elle-même, en soi libérée, le système scolaire
de la civilisation nouvelle devrait être pris en
mains, le système scolaire toutes catégories, toutes
matières.
Autant qu'il me soit devenu familier, les mots et
convocations que j'ai jusqu'à présent prononcés sont
la seule chose sur quoi j'ai au fond à informer. Ces
mots étaient comptés pour trouver un écho dans la
population civilisée du présent. Je n'ai pas à
informer d'un tel écho. Et je crois que le camarade
d'étude de Bonn a exprimé un mot juste en ce qu'il a
rendu attentif là dessus que finalement quand même
cette communauté d'étudiants (NDT Studentenschaft) à
partir du cœur de laquelle il a parlé ici est dans la
minorité. Je crois, elle est très, très dans la
minorité, en particulier en Allemagne. Mais aussi
sinon – je ne veux dire à personne des choses manquant
d'amabilité (NDT Unfreundlichkeiten) -,
sinon d'où nous ne sommes pas du tout si loin. Cela
montre la fréquentation de ce cours universitaire. Il
disait : la plus grande part de la communauté des
étudiants dort ! Oui, elle fulmine de temps à
autre aussi. Mais on peut aussi dormir fulminant en
rapport aux choses dont il s'agit là.
Et en rapport aux affaires, en rapport auxquelles
cette exigence après l'association scolaire mondiale a
été levée, tout dort aussi en de larges cercles d'un
doux sommeil. Et il doit quand même une fois être
dit : on ne s'est pas encore bien habitué à cela
comment il est nécessaire de porter dans la
civilisation moderne de l'œuvrer anthroposophique. -
On devrait s'habituer à cela, et je rêve le jour par
ici, auquel je peux informer plus riche sur la
question de l'association scolaire mondiale.
Aujourd'hui je ne pourrais toujours pas dire beaucoup
plus, que je ne vous ai dit ici l'automne dernier à la
fin du cours universitaire, bien que ce que j'avais
dit comptait sur qu'aujourd'hui pourrait être informé
tout autrement.
Mais cela va aussi ainsi avec d'autres choses et il
est très difficile, justement sur les points dont il
s'agit dans les temps actuels, d'amener le monde
actuel à la conscience.
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