En temps récent se fait valoir la tendance que la mise
en place de conseils d'entreprise envisagée par
l'union pour triarticulation de l'organisme social et
pour partie déjà exécutée devrait être reprise et
exécutée par les partis par rassemblement de
ceux-ci en un corps des conseils d'entreprises. Mais
par cela se présenterait tout de suite ce que l'Union
souhaite empêcher sous toutes circonstances si
l'idée de triarticulation devait s'avérer apportant du
salut : une pure exécution partielle de la
triarticulation. Ce qui avec la triarticulation est
voulu comme un tout, devrait si une partie de cela
devait être garrotté pour des buts particuliers par un
parti, créer seulement nouveau malheur et destruction.
L'Union se voit amenée à mettre en garde devant
un tel garrottage par les partis. Elle se tourne
de nouveau au public avec les explications se trouvant
en bas et proteste contre l'emploi abusif de l'idée de
triarticulation pour des expériences de parti créant
destruction.
Explications
L'Union pour triarticulation de l'organisme social à
pris son départ de l'appel du Dr. Steiner « Au
peuple allemand et au monde de la culture » et
représente la façon de voir qui est écrite dans le
livre « les points fondamentaux de la question
sociale ». Il envisage comme seul sauvetage hors
de la présente situation caractérisée par les accords
de paix l'immédiate mise en œuvre de ses exigences
qu'il résume encore une fois comme suit :
1. Pleine autonomisation de la vie de l'esprit,
incluant système scolaire et éducatif.
2. Limitation de la vie d’État sur tous ces rapports
de vie pour lesquels tous les humains sont égaux.
3. Régulation des rapports remaniés de salaire et
propriété par l’État de droit, avec plein détachement
des même de la vie économique ainsi que celle-là n'ai
rien d'autre à faire qu'avec la fabrication de biens,
répartition de biens et utilisation de biens.
L'Union pour triarticulation de l'organisme social
voit l'atteinte de ses buts en cela que l’État laisse
sortir de son domaine de pouvoir d'un côté la vie de
l'esprit, de l'autre côté la vie de l'économie.
L'Union s'est, sur le domaine de la vie de l'économie,
prononcée pour les conseils d'entreprise, afin que
rassemblé en un corps des conseils d'entreprises ils
puissent entreprendre les premiers pas pratiques pour
une socialisation raisonnable. Parallèlement avec cela
devra être mis en œuvre immédiatement le
renouvellement de la vie de l'esprit par fondation
d'un conseil de culture.
L'Union doit de cela absolument retenir en cela que
pas un détachement unilatéral de la vie de l'économie
n'a le droit d'être ambitionné par l’État, mais en
même temps qu'avec ce détachement doit avoir lieu
l'établissement de la vie de l'esprit sur elle-même.
L'Union compte parmi ses membres des humains de tous
les métiers, cercles de vie et partis, et regarde les
idées exprimées en son nom comme un chemin à la
véritable unification de tous les humains lesquels
avec bonne volonté veulent conduire notre peuple de sa
profonde nécessité à un avenir de vie possible. Où
tous les programmes de parti ont échoués en ce temps
tragique, se seront nos revendications, qui en
politique intérieure et extérieure déterminent les
nouveaux chemins. Les porteurs de l'idée de
triarticulation refusent résolument cette idée d'être
placer sur un quelque sol de parti. Ils ne
s'identifieront jamais avec des programmes de parti
existants jusqu'à présent. Leur but est de parler à
des humains et jamais à des membres de parti comme
tels.
Pour chaque mouvement, de quelque côté aussi elle
aimerait venir, lequel se place en dehors de cette
triarticulation avec ses moyens ou buts, l'Union ne
peut porté aucune responsabilité ; en particulier
il considère dans une action unilatérale sur le
domaine de l'économie ou de la politique sans le but
de triarticulation seulement la source de reproduction
illimitée du malheur.
En dernière heure nous attendons des cercles appelés
la prise en compte de nos efforts, avant qu'il ne soit
trop tard.
Union pour triarticulation de l'organisme social.
Stuttgart, 17 rue de Champigny.
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