Il est entièrement évident, qu'a chacun
d'innombrables doutes s'élèvent quand il veut se faire
des pensées là dessus, comment ci qui est évoqué ici
devrait être amené dans le particulier, de tels doutes
ne viendraient seulement en considération quand
l'existant serait pensé comme programme, à la
réalisation duquel un individu ou une société devrait
aller. Mais ainsi ce n'est pas penser, oui cela se
contredirait soi-même, si c'était pensé ainsi.
C'est pensé comme expression de ce que
feraient les peuples d'Europe du centre, quand on se
posera comme tâche du côté des gouvernements de
reconnaître et délier les forces des peuples. Ce qui
dans le détail se passerait, cela se montre à de
telles choses seulement, quand elles se rendent sur la
voie de la réalisation.
Car elles ne sont pas prescriptions sur quelque chose
qui a à se produire, mais prévisions de ce qui se
passera quand on laissera les choses aller sur les
voies exigées par leur propre réalité. Et cette
réalité propre, concernant toutes les affaires
spirituelles-culturelles et religieuses, auxquelles
aussi appartient le national, prescrit administration
par corporations, auxquelles la personne individuelle
se reconnaît d'une volonté libre, et qui dans leur
parlement seront administrées comme corporations,
ainsi que ce parlement n'ait à faire qu'avec les
corporations concernées, mais jamais avec les rapports
de ces corporations aux personnes individuelles.
Et jamais une corporation n'a le droit d'avoir à faire
à une personne appartenant sous le même point de vue à
une autre corporation. De telles corporations seront
accueillies dans le cercle du parlement, quand elles
auront unis un certain nombre de personnes. Jusque-là
elles restent choses privées, dans lesquelles aucune
autorité ou représentation n'a à s'ingérer. Pour qui
c'est une pomme acide qu'à partir de telles façons de
voir toutes les affaires culturelles spirituelles
doivent à l'avenir être privées de leur privilègiation
(NDT du fait de les privilégier), celui-là
devra justement mordre dans cette pomme acide pour la
guérison de l'existence des peuples (NDT
Volksdaseins).À l'accoutumance se poursuivant
toujours à cette privilègiation on reconnaîtra donc
difficilement dans beaucoup de cercles que sur le
chemin de la privilègiation, tout de suite des métiers
spirituels, ont doit retourner au bon vieux principe
originel de la libre formation de corporation. Et que
la corporation devrait d'ailleurs rendre un humain
capable dans son métier, mais qu'on ne privilégie pas
l'exercice de ce métier, mais doit le laisser à la
libre concurrence et libre choix humain. Cela sera
difficile à reconnaître par tous ceux qui volontiers
parlent de cela que les humains ne seraient donc pas
encore mûrs pour cela ou à cela. Dans la réalité cette
objection ne viendra donc pas en considération, parce
qu'à l'exception des métiers nécessairement libres la
corporation décidera sur le choix des pétitionnaires.
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