triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
(version française du site allemand)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch English Dutch Skandinavisk Français Italiano Español Português (Brasileiro) Russisch
Recherche
 Contact   BLOG  Impressum 

ga 023 -Les points germinatifs de la question sociale



V. APPENDICE
Au peuple allemand et au monde de la culture !
V. ANHANG
An das deutsche Volle und an die Kulturwelt!


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes : 023 157-162 (1961) 28/04/1919
(Notes ajoutées, mises en évidence et paragraphes numérotés selon l'édition des 41.-80.000 de 1920)

Original




Traducteur:  FG  v.01 10/06/2019     Ancienne traduction Editeur: SITE

Sûrement que le peuple allemand croyait sa construction d'empire, commencée il y a un demi siècle, décidée pour des temps non limités. En août 1914 il pensa que la catastrophe guerrière, au début de laquelle il se voyait placé, établirait cette construction comme invincible. Aujourd'hui on peut seulement jeter un coup d'œil sur les ruines de cette dernière. La connaissance de soi doit pénétrer après de tels événements. Car cet événement a manifesté l'opinion d'un demi-siècle, en particulier les pensées régnantes des années de guerre, comme une erreur agissant tragiquement. Où reposent les raisons de cette erreur fatale ? Cette question doit propulser de la connaissance de soi dans les âmes des membres du peuple allemand. Si maintenant la force pour une telle connaissance de soi est disponible, de cela dépend la possibilité de vie du peuple allemand. Cet avenir dépend de s'il parvient à se poser la question de manière sérieuse : comment suis-je tombé dans mon erreur? –S’il se pose cette  question aujourd'hui, alors l'éclairera la connaissance qu'il a fondé un empire voici un demi siècle, cependant omit de placer cet empire sur la tache jaillissant du contenu de l'essence/l’être de la peuplitude/condition de peuple allemande. - L'empire fut fondé. Dans les premiers temps de son existence on s'efforçait d'amener en ordre ses possibilités de vie intérieures d’après les exigences qui se montraient d’années en année par les vieilles traditions et les nouveaux besoins.
Plus tard on passa à fortifier/consolider et agrandir les positions extérieures de pouvoir qui se fondaient dans des forces matérielles. Avec cela on relia des mesures en rapport aux exigences sociales nées des temps nouveaux, qui d'ailleurs portaient maintes additions, de ce que le temps indiquait comme nécessitées, mais auxquelles cependant manquait un grand but, comme cela aurait dû se donner d'une connaissance des forces d'évolution, auxquelles l'humanité récente doit se tourner. Ainsi l'empire était placé dans le pendant/contexte du monde sans objectif essentiel justifié. Le déroulement de la catastrophe guerrière a manifesté cela de triste manière. Jusque au déclenchement de celle-ci, le monde extra allemand n'avais rien pu voir dans l'attitude de l'Empire qui aurait pu lui éveiller l'opinion : les administrateurs de cet empire remplissent une mission d'histoire mondiale, qui n'a pas la permission d'être balayée. Le non-trouver cette mission pour ces administrateurs a nécessairement produit l'opinion dans le monde extra allemand qui, pour les vraiment sensés, est la plus profonde raison de l'effondrement allemand.


Pour le peuple allemand, incommensurablement beaucoup est maintenant dépendant de son jugement non prévenu de la situation. Dans le malheur devrait émerger la raison qui n'a pas voulu se montrer dans les dernières cinquante années. A la place de la petite pensée sur les exigences toutes proches du présent devrait maintenant entrer un grand train de façon de voir la vie, lequel aspire à connaître les forces d'évolution de l'humanité récente avec de fortes pensées, et se vouer à elles avec un courageux vouloir. Le mesquin besoin/la mesquine poussée devrait cesser qui rend inoffensif comme idéalistes non pratiques tous ceux qui oriente leur coup d'œil sur ces forces d'évolution. Devrait aussi cesser la prétention et l'arrogance de ceux qui se croient comme praticiens, et qui par leur sens étroit masqué comme praxis ont quand même introduit le malheur. Devrait être considéré ce que ceux décriés comme idéalistes, mais en vérité véritables praticiens, ont à dire sur les besoins d'évolution des temps nouveaux.

Les « praticiens » de toutes les directions voyaient d'ailleurs la montée de toutes nouvelles exigences de l'humanité depuis longtemps. Mais ils voulaient satisfaire à ces exigences à l'intérieur du cadre d'habitudes de pensées et d’institutions délivrées anciennement. La vie de l'économie des temps récents a produit les exigences. Leur satisfaction sur les chemins de l'initiative privée semblait impossible. Le transfert du travailler privé dans le sociétal s'imposait comme nécessaire sur des domaines particuliers à une classe d'humains; et elle fut réalisée là où cela semblait fructueux à cette classe d'humains d'après sa façon de voir la vie. Le transfert radical de tout travail particulier/individuel dans le sociétal était le but d'une autre classe, qui par l'évolution de la nouvelle vie de l'économie n'a pas d'intérêt au maintien des buts privés transmis.

A tous les efforts, qui jusqu'à présent sont apparus en considération des récentes exigences de l'humanité, repose un commun à la base. Ils pressent à une sociétalisation du privé et comptent en cela sur la prise de contrôle des dernières par les communautés (état, communes), qui proviennent de conditions préalables qui n'ont rien à faire avec les nouvelles exigences. Mais aussi, on compte avec de récentes communautés (par ex. des coopératives), qui ne sont pas apparues pleinement de ces nouvelles exigences, mais qui sont formées d'après les vieilles formes à partir d'habitudes de penser transmises.

La vérité est, qu'aucune communauté formée au sens de ces vieilles habitudes de penser ne peut accueillir ce qu'on veut savoir accueilli par elles. Les forces du temps pressent vers la connaissance d'une structure sociale de l'humanité, qui saisi tout autre chose des yeux, que ce qui sera saisi couramment des yeux aujourd'hui. Les communautés sociales se sont formées, jusqu'à présent pour grande partie, des instincts sociaux de l'humanité. Pénétrer avec une pleine conscience leurs forces sera la tâche du temps.

L'organisme social est articulé/membré comme le naturel. Et comme l'organisme naturel doit soigner la pensée par la tête et non par les poumons, ainsi est nécessaire dans l'organisme social, l'articulation/le membrement en systèmes, dont aucun ne peut assumer la tâche de l'autre, chacun doit œuvrer avec l'autre, mais sous préservation de son indépendance.

 La vie économique peut seulement prospérer, quand elle se forme comme membre autonome de l'organisme social d'après ses propres forces et lois, et quand cela n'apporte pas de désarroi dans sa structure qu’elle se laisse aspirer/sucer par un autre membre de l'organisme social, l'actif politiquement. Ce membre actif politiquement doit beaucoup plus exister à côté de l'économique en pleine autonomie/indépendance, comme dans l'organisme naturel le système respiratoire près du système-tête.
Leur collaboration salutaire ne peut être atteinte par ce que les deux membres seront soignés à partir d’un seul organe législatif et administratif, mais que chacun a sa propre législation et administration, qui collaborent de manière vivante. Car le système politique doit détruire l'économie, quand il veut s’en charger ; et le système économique perd ses forces de vie, quand il veut devenir politique.

 A ces deux membres de l'organisme social doit en pleine indépendance et à partir de ses propre possibilités de vie se présenter un troisième : que la production spirituelle, à laquelle appartient aussi la part spirituelle des deux autres domaines, qui devra leur être délivré avec une régulation propre et une administration à la mesure des lois du troisième membre, mais qui ne pourra être administré par eux et influencé autrement que s'influencent mutuellement des organismes-membres existant les uns à côté des autres.

  On peut déjà fonder et construire aujourd'hui ici, pleinement scientifiquement, sur les nécessités de l'organisme social dans toutes ses particularités. Dans ces explications pourront seulement être présentées les lignes directrices, pour tous ceux qui veulent suivre ces nécessités.

La fondation allemande d'empire tomba en un temps, dans lequel ces nécessités s'approchèrent de la récente humanité. Son administration n'a pas compris placer une tâche à l'Empire par le coup d'œil sur cette nécessité. Ce coup d'œil n’aurait pas seulement donné la structure intérieure correcte ; il aurait aussi prêté une direction justifiée à sa politique extérieure. Avec une telle politique l'empire allemand aurait pu vivre ensemble avec les peuples extra-allemands.


Du malheur devrait murit maintenant la raison. On devrait développer la volonté pour l'organisme social possible. Ce n’est pas une Allemagne, qui n'est plus là, qui devrait aller à la rencontre du monde extérieur, mais un système spirituel, politique et économique en ses représentants devrait vouloir traiter comme délégations autonomes avec ceux par qui l'Allemagne est jetée à terre, qui par le désarroi des trois systèmes s'est fait une structure sociale impossible.

On entend en esprit les praticiens, lesquels se répandent sur la complexité de ce qui est dit ici, qui trouvent malcommode de penser aussi seulement sur la collaboration de trois collectivités, parce qu'ils n'aiment pas savoir des véritables exigences de la vie, mais veulent tout former d'après les exigences de leur pensée. A eux doit devenir clair : soit on se résoudra à se soumettre avec sa pensée aux exigences de la réalité, ou on n'aura rien appris des malheurs, mais multipliera le transmis par ce qui continuera à apparaître dans l'illimité.

 

Dr. Rudolf Steiner.

Sicher gefügt für unbegrenzte Zeiten glaubte das deutsche Volk seinen vor einem halben Jahrhundert aufgeführten Reichsbau. Im August 1914 meinte es, die kriegerische Katastrophe, an deren Beginn es sich gestellt sah, werde diesen Bau als unbesieglich erweisen. Heute kann es nur auf dessen Trümmer blicken. Selbstbesinnung muß nach solchem Erlebnis eintreten. Denn dieses Erlebnis hat die Meinung eines halben Jahrhunderts, hat insbesondere die herrschenden Gedanken der Kriegsjahre als einen tragisch wirkenden Irrtum erwiesen. Wo liegen die Gründe dieses verhängnisvollen Irrtums? Diese Frage muß Selbstbesinnung in die Seelen der Glieder des deutschen Volkes treiben. Ob jetzt die Kraft zu solcher Selbstbesinnung vorhanden ist, davon hängt die Lebensmöglichkeit des deutschen Volkes ab. Dessen Zukunft hängt davon ab, ob es sich die Frage in ernster Weise zu stellen vermag: wie bin ich in meinen Irrtum verfallen? Stellt es sich diese Frage heute, dann wird ihm die Erkenntnis aufleuchten, daß es vor einem halben Jahrhundert ein Reich gegründet, jedoch unterlassen hat, diesem Reich eine aus dem Wesensinhalt der deutschen Volkheit entspringende Aufgabe zu stellen. — Das Reich war gegründet. In den ersten Zeiten seines Bestandes war man bemüht, seine inneren Lebensmöglichkeiten nach den Anforderungen, die sich durch alte Traditionen und neue Bedürfnisse von Jahr zu Jahr zeigten, in Ordnung zu bringen.
Später ging man dazu über, die in materiellen Kräften begründete äußere Machtstellung zu festigen und zu vergrößern. Damit verband man Maßnahmen in bezug auf die von der neuen Zeit geborenen sozialen Anforderungen, die zwar manchem Rechnung trugen, was der Tag als Notwendigkeit erwies, denen aber doch ein großes Ziel fehlte, wie es sich hätte ergeben sollen aus einer Erkenntnis der Entwickelungskräffe, denen die neuere Menschheit sich zuwenden muß. So war das Reich in den Weltzusammenhang hineingestellt ohne wesenhafte, seinen Bestand rechtfertigende Zielsetzung. Der Verlauf der Kriegskatastrophe hat dieses in trauriger Weise geoffenbart. Bis zum Ausbruche derselben hatte die außerdeutsche Welt in dem Verhalten des Reiches nichts sehen können, was ihr die Meinung hätte erwecken können: die Verwalter dieses Reiches erfüllen eine weltgeschichtliche Sendung, die nicht hinweggefegt werden darf. Das Nichtfinden einer solchen Sendung durch diese Verwalter hat notwendig die Meinung in der außerdeutschen Welt erzeugt, die für den wirklich Einsichtigen der tiefere Grund des deutschen Niederbruches ist.

Unermeßlich vieles hängt nun für das deutsche Volk an seiner unbefangenen Beurteilung dieser Sachlage. Im Unglück müßte die Einsicht auftauchen, welche sich in den letzten fünfzig Jahren nicht hat zeigen wollen. An die Stelle des kleinen Denkens über die allernächsten Forderungen der Gegenwart müßte jetzt ein großer Zug der Lebensanschauung treten, welcher die Entwickelungskräffe der neueren Menschheit mit starken Gedanken zu erkennen strebt, und der, mit mutigem Wollen sich ihnen widmet. Aufhören müßte der kleinliche Drang, der alle diejenigen als unpraktische Idealisten unschädlich macht, die ihren Blick auf diese Entwickelungskräfte richten. Aufhören müßte die Anmaßung und der Hochmut derer, die sich als Praktiker dünken, und die doch durch ihren als Praxis maskierten engen Sinn das Unglück herbeigeführt haben. Berücksichtigt müßte werden, was die als Idealisten verschrieenen, aber in Wahrheit wirklichen Praktiker über die Entwickelungsbedürfnisse der neuen Zeit zu sagen haben.

Die «Praktiker» aller Richtungen sahen zwar das Heraufkommen ganz neuer Menschheitsforderungen seit langer Zeit. Aber sie wollten diesen Forderungen innerhalb des Rahmens altüberlieferter Denkgewohnheiten und Einrichtungen gerecht werden. Das Wirtschaftsleben der neueren Zeit hat die Forderungen hervorgebracht. Ihre Befriedigung auf dem Wege privater Initiative schien unmöglich. Überleitung des privaten Arbeitens in gesellschaftliches drängte sich der einen Menschenklasse auf einzelnen Gebieten als notwendig auf; und sie wurde verwirklicht da, wo es dieser Menschenklasse nach ihrer Lebensanschauung als ersprießlich erschien. Radikale Überführung aller Einzelarbeit in gesellschaftliche wurde das Ziel einer anderen Klasse, die durch die Entwickelung des neuen Wirtschaftslebens an der Erhaltung der überkommenen Privatziele kein Interesse hat.

Allen Bestrebungen, die bisher in Anbetracht der neueren Menschheitsforderungen hervorgetreten ' sind, liegt ein Gemeinsames zugrunde. Sie drängen nach Vergesellschaftung des Privaten und rechnen dabei auf die Übernahme des letzteren durch die Gemeinschaften (Staat, Kommune), die aus Voraussetzungen stammen, welche nichts mit den neuen Forderungen zu tun haben. Oder auch, man rechnet mit neueren Gemeinschaften (zum Beispiel Genossenschaften), die nicht voll im Sinne dieser neuen Forderungen entstanden sind, sondern die aus überlieferten Denkgewohnheiten heraus den alten Formen nachgebildet sind.

Die Wahrheit ist, daß keine im Sinne dieser alten Denkgewohnheiten gebildete Gemeinschaft aufnehmen kann, was man von ihr aufgenommen wissen will. Die Kräfte der Zeit drängen nach der Erkenntnis einer sozialen Struktur der Menschheit, die ganz anderes ins Auge faßt, als was heute gemeiniglich ins Auge gefaßt wird. Die sozialen Gemeinschaften haben sich bisher zum größten Teil aus den sozialen Instinkten der Menschheit gebildet. Ihre Kräfte mit vollem Bewußtsein zu durchdringen, wird Aufgabe der Zeit.

Der soziale Organismus ist gegliedert wie der natürliche. Und wie der natürliche Organismus das Denken durch den Kopf und nicht durch die Lunge besorgen muß, so ist dem sozialen Organismus die Gliederung in Systeme notwendig, von denen keines die Aufgabe des anderen übernehmen kann, jedes aber unter Wahrung seiner Selbständigkeit mit den anderen zusammenwirken muß.

Das wirtschaftliche Leben kann nur gedeihen, wenn es als selbständiges Glied des sozialen Organismus nach seinen eigenen Kräften und Gesetzen sich ausbildet, und wenn es nicht dadurch Verwirrung in sein Gefüge bringt, daß es sich von einem anderen Gliede des sozialen Organismus, dem politisch wirksamen, aufsaugen läßt. Dieses politisch wirksame Glied muß vielmehr in voller Selbständigkeit neben dem wirtschaftlichen bestehen, wie im natürlichen Organismus das Atmungssystem neben dem Kopfsystem. Ihr heilsames Zusammenwirken kann nicht dadurch erreicht werden, daß beide Glieder von einem einzigen Gesetzgebungs- und Verwaltungsorgan aus versorgt werden, sondern daß jedes seine eigene Gesetzgebung und Verwaltung hat, die lebendig zusammenwirken. Denn das politische System muß die Wirtschaft vernichten, wenn es sie übernehmen will; und das wirtschaftliche System verliert seine Lebenskräfte, wenn es politisch werden will.

Zu diesen beiden Gliedern des sozialen Organismus muß in voller Selbständigkeit und aus seinen eigenen Lebensmöglichkeiten heraus gebildet ein drittes treten: das der geistigen Produktion, zu dem auch der geistige Anteil der beiden anderen Gebiete gehört, der ihnen von dem mit eigener gesetzmäßiger Regelung und Verwaltung ausgestatteten dritten Gliede überliefert werden muß, der aber nicht von ihnen verwaltet und anders beeinflußt werden kann, als die nebeneinander bestehenden Gliedorganismen eines natürlichen Gesamtorganismus sich gegenseitig beeinflussen.

Man kann schon heute das hier über die Notwendigkeiten des sozialen Organismus Gesagte in allen Einzelheiten vollwissenschaftlich begründen und ausbauen. In diesen Ausführungen können nur die Richtlinien hingestellt werden, für alle diejenigen, welche diesen Notwendigkeiten nachgehen wollen.

Die deutsche Reichsgründung fiel in eine Zeit, in der diese Notwendigkeiten an die neuere Menschheit herantraten. Seine Verwaltung hat nicht verstanden, dem Reich eine Aufgabe zu stellen durch den Blick auf diese Notwendigkeiten. Dieser Blick hätte ihm nicht nur das rechte innere Gefüge gegeben; er hätte seiner äußeren Politik auch eine berechtigte Richtung verliehen. Mit einer solchen Politik hätte das deutsche Volk mit den außerdeutschen Völkern zusammenleben können.

 Nun müßte aus dem Unglück die Einsicht reifen. Man müßte den Willen zum möglichen sozialen Organismus entwickeln. Nicht ein Deutschland, das nicht mehr da ist, müßte der Außenwelt gegenübertreten, sondern ein geistiges, politisches und wirtschafiliches System in ihren Vertretern müßten als selbständige Delegationen mit denen verhandeln wollen, von denen das Deutschland niedergeworfen worden ist, das sich durch die Verwirrung der drei Systeme zu einem unmöglichen sozialen Gebilde gemacht hat.

Man hört im Geiste die Praktiker, welche über die Kompliziertheit des hier Gesagten sich ergehen, die unbequem finden, über das Zusammenwirken dreier Körperschaften auch nur zu denken, weil sie nichts von den wirklichen Forderungen des Lebens wissen mögen, sondern alles nach den bequemen Forderungen ihres Denkens gestalten wollen. Ihnen muß klar werden: entweder man wird sich bequemen, mit seinem Denken den Anforderungen der Wirklichkeit sich zu fügen, oder man wird vom Unglücke nichts gelernt haben, sondern das herbeigeführte durch weiter entstehendes ins Unbegrenzte vermehren.

Dr. Rudolf Steiner.