Le mode de contemplation purement issu des sciences de la nature, lequel contemple les phénomènes purement d’après la loi de cause à effet, est au fond applicable autant à l’organisme sain que malade.

Vous pouvez contempler physiologiquement l’organisme sain, et vous pouvez, si vous voulez rester planté à ce que les sciences de la nature moderne aiment particulièrement, constater partout le rapport entre cause et effet.
Mais vous pouvez tout aussi bien, si vous en restez à cette abstraction – rapport entre cause et effet – contempler pathologiquement l’organisme malade.

Dans l’organisme malade aussi tout se tient ensemble par cause à effet.

Et pose t’on unilatéralement, abstraitement comme base une succession d’évènements d’après cause et effet, alors reste nécessairement absente l’impulsion, que l’on doit décrire d’un côté comme saine, de l’autre comme malade. Il sort du mode de contemplation.
C’est pour le mode de contemplation des sciences naturelles en rapport avec les tâches, lesquelles les sciences de la nature cherchent pour le moment dans les temps récents, pas si grave. Mais cela devient grave, si l’on veut appliquer le même mode de pensée sur les processus sociaux, car là ne se laissent pas exclure simplement la différence entre sain et pathologique du processus de devenir de l’humanité.
Cela ne se laisse pas faire. Et c’est ce qui doit dans l’immédiat essentiellement être souligné, que tout comme les humains se tiennent devant des questions sociales devenues si brulantes par la réalité, leur manque justement absolument la possibilité, de gagner un jugement, si quelque chose est un processus sain ou pathologique, si quelque chose doit être promût ou guérit.
À cause de cela, on pourrait dire, réside une telle tragédie sur l’humanité moderne, parce que tout de suite, cette différence que j’ai justement caractérisée approximativement, manque.