Il est justement possible, l'homme se trouvant dans une telle triarticulation de l'organisme social que les états cessent, que se fasse une véritable démocratie. Cela est indiqué, aimerais-je dire, à chacun sans prévention, avec une nécessité interne par l'évolution des états modernes.

Ne voyons-nous donc pas, qu'ils doivent porter d'un côté la nécessaire impulsion de prise en compte de la démocratie, mais à nouveau laisser fausser la démocratie en ce qu'évidemment de la vie spirituelle le capable aura toujours plus de poids dans la vie démocratique de l'État que le moins capable ?
Pour les choses qui dépendent des capacités, cela est tout à fait justifié, par exemple dans le domaine spirituel.

Contre cela à vrai dire la chose publique démocratique doit être tenue libre et vierge de telles influences impérieuses de personnalités particulièrement capables, car il doit justement y avoir un domaine dans lequel ne se fait valoir d'après les aspirations fondamentales de l'humanité moderne que ce qui relève de la même manière de tous les humains devenus majeurs.
Le domaine économique montre dans une mesure particulière comment il est impossible de laisser s'ingérer ce que l'humain s'approprie comme facultés dans la vie économique par son genre particulier. Il s'approprie peut-être en cela un surpouvoir économique. Mais il n'a pas le droit de devenir un surpouvoir social. Il ne le devient seulement pas en ce qu'a ce qui est pouvoir économique, ce qui demeure à l'intérieur de la vie économique, soit impossible, de devenir un surpouvoir politique, juridique.
Tout ce qui a aujourd'hui mené les ainsi nommées questions sociales à la caricature, cela serait surmonté, si l'on voulait accepter que la vie économique soit posée sur son propre sol et que la vie d'état démocratique serait en cela en mesure de reposer à nouveau correctement sur son propre sol.