Pendant que la vie spirituelle s'est émancipée dans une certaine mesure, aussi loin qu'elle en soit une libre, la vie juridique s'est laissé constamment dissoudre les derniers siècles par les rapports de pouvoir économiques. On ne l'a pas du tout remarqué, mais les deux sont pleinement devenus un. Ce qu'étaient intérêts économiques et besoins, cela fut exprimer en droits publics.
On tient souvent ces droits publics pour droits de l'humanité.
Vus précisément ils sont seulement des intérêts et besoins économiques et étatiques transposés en un caractère juridique.