Ceux qui sont les puissants économiques — cela sera seulement considéré de plus en plus clairement — sont en même temps par leur domination économique en possession du monopole de formation. Les faibles économiques restent les incultes. Un certain rapport s'est établi entre la vie économique et spirituelle, un rapport entre la vie spirituelle et la vie de l'État.

La vie spirituelle est toujours et toujours plus devenue quelque chose, qui ne se développe pas à partir de ses propres besoins, qui ne suit pas sa propre impulsion, mais ce qui — en particulier là, où elle est administrée publiquement, dans le système éducatif et scolaire — est façonné comme elle est utilisée par les puissances d'État.

L'humain ne peut plus du tout être regardé comment et pourquoi il est capable.
Il ne peut être développé, comme les aptitudes disponibles en lui l'exigent.
Mais la question est : de quoi a besoin l'état, de quelles forces a besoin la vie économique, de quels humains avec une certaine formation a t'elle besoin ?