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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 01 - Questions fondamentales.
La polarité entre jugement individuel et jugement collectif Die Polarität zwischen individuellem Urteil und Kollektivurteil

 

 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes : 297a 034-036 (1998) 24/02/1921
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

Ainsi que la vie libre de l'esprit peut seulement être construite sur compétence de choses et de faits, non de ce qui vient en avant par majorité, justement ainsi la vie de l'économie peut seulement se former guérissante/salutaire pour l'humanité quand elle sera démembrée de tout système de majorité, de tout cela, où les humains jugent simplement à partir de leur humanité, pas à partir de connaissance des choses ou des matières. Dans la vie de l'économie, nous avons besoin d'associations, où des humains se rassemblent qui appartiennent à la consommation, des humains qui appartiennent à la production, et des humains qui appartiennent au commerce. J'ai montré dans mes écrits, que ces associations auront une certaine grandeur par leur propre nature. De telles associations peuvent vraiment livrer dans la vie de l'économie, ce que j'aimerais nommer un jugement collectif, comme [de l'autre côté] est vrai, que dans la vie de l'esprit tant doit venir de la personnalité humaine. Car par la naissance nous apportons du monde spirituel nos dispositions. Chaque fois quand un humain sera mis au monde, une annonce vient du monde spirituel en bas dans le monde physique sensoriel. Nous avons à la saisir, nous avons a regarder vers l'individualité humaine ; le professeur sur l'individualité de l'enfant, toute l'organisation sociale sur la vie libre de l'esprit, dans laquelle le professeur se tient ainsi qu'il peut pleinement vivre au bout son individualité. Ce qui dans cette libre vie de d'esprit peut percuter pour le salut de l'humanité, cela percuterait pour le malheur dans la vie de l'économie.[]


C'est pourquoi on ne devrait s'adonner à aucunes illusions. Ainsi tant dans la vie de l'esprit nous devons aspirer à un jugement englobant et harmonieux par notre individualité, ainsi nous le pouvons peu dans la vie de l'économie. Là nous sommes unique et seul en état de former un jugement ensemble avec les autres humains, former un jugement dedans les associations. On s'y connaît, en ce qu'on a travaillé, sur un certain domaine, mais ce qu'on sait, c'est unilatéral sous toutes les circonstances. Un jugement vient seulement en état, en ce que pas purement théorique, on s'explique avec les autres, mais en ce qu'on doit livrer à l'autre une marchandise déterminée, doit satisfaire pour l'autre certains besoins, conclure des contrats. Quand les intérêts réels se font face en des contrats, alors se formeront les jugements réels, comprenant les choses. Et aussi ce qui pris au fond, est la chose principale dans la vie de l'économie, se forme à partir de ce qui œuvre à l'intérieur des associations : la situation correcte de prix.[]

Depuis que nous avons l'économie de monde (1) dans la vie de l'économie à la place des anciennes économies nationales, depuis cela c'est devenu nécessaire, que l'articulation de la vie de l'économie provienne de libres points de vue économiques, que la vie de l'économie se vive en associations, qui simplement s'occupent d'affaires économiques, mais ainsi qu'aucunes majorités, mais partout compétences de chose et de matière soit décisif. Là se donnent les articulations. Là se tiendra à la place correcte, celui qui a l'expérience, ou un autre par d'autres raisons. Cela se donnera entièrement de soi-même dans les associations, parce qu'on n'a pas à faire avec des déterminations abstraites, mais avec une activité de contrats. Ainsi devra par exemple être veillé, quand un article sera trop abondamment fabriqué sur un territoire, qu'on occupe les [] humains d'une autre manière : car là où c'est le cas, l'article devint trop bon marché, et celui qui sera trop peu fabriqué trop cher. Le prix se laisse seulement fixé, quand par des associations, un nombre correct d'êtres humains est occupé sur un territoire. Là il s'agit, quand ainsi quelque chose devrait devenir réel, d'un intérêt intensif à la vie d'ensemble de l'économie de l'humanité. Là il s'agit de ce que sera développé cela, pas purement comme phrase extérieure qu'on nomme fraternité humaine, mais que cette fraternisation en associations vienne en l'état réellement dans les rapports économiques.

So wie das freie Geistesleben nur auf Sach- und Fachtüchtigkeit gebaut sein kann, nicht auf dasjenige, was durch Majorität zum Vorschein kommt, ebenso kann das Wirtschaftsleben sich nur für die Menschheit heilsam gestalten, wenn es von allem Majoritätenwesen abgegliedert wird, von alledem, wo die Menschen einfach aus ihrer Menschlichkeit heraus urteilen, nicht aus Sach- und Fachkenntnis heraus. Im Wirtschaftsleben brauchen wir Assoziationen, wo sich Menschen zusammenschließen, die der Konsumtion angehören, Menschen, die der Produktion angehören, und Menschen, die dem Handel angehören. Ich habe in meinen Schriften gezeigt, daß diese Assoziationen durch ihre eigene Natur eine bestimmte Größe haben werden. Solche Assoziationen können wirklich dasjenige im Wirtschaftsleben liefern, was ich nennen möchte ein Kollektivurteil, wie es [auf der anderen Seite] wahr ist, daß im Geistesleben alles aus der menschlichen Persönlichkeit kommen muß. Denn durch die Geburt bringen wir aus der geistigen Welt unsere Anlagen mit. Jedesmal, wenn ein Mensch geboren wird, kommt eine Botschaft aus der geistigen Welt in die physisch-sinnliche Welt herunter. Wir haben sie aufzufassen, wir haben hinzuschauen auf die menschliche Individualität; der Lehrer auf die menschliche Individualität im Kinde, die ganze soziale Einrichtung auf das freie Geistesleben, in dem der Lehrer so steht, daß er seine Individualität voll ausleben kann.
Was in diesem freien Geistesleben zum Segen der Menschheit ausschlagen kann, es würde zum Unheil ausschlagen im Wirtschaftsleben. []
Daher soll man sich keinen Illusionen hingeben. So sehr wir im Geistesleben ein umfassendes harmonisches Urteil durch unsere Individualität anstreben müssen, so wenig können wir das im Wirtschaftsleben. Da sind wir einzig und allein imstande, mit den anderen Menschen zusammen ein Urteil zu bilden, in Assoziationen drinnen ein Urteil zu bilden. Man weiß, indem man gearbeitet hat, auf einem gewissen Gebiet Bescheid, aber das, was man da weiß, das ist einseitig unter allen Umständen. Ein Urteil kommt erst zustande, indem man nicht bloß theoretisch sich mit den anderen auseinandersetzt, sondern indem man dem anderen eine gewisse Ware liefern muß, für den anderen gewisse Bedürfnisse befriedigen muß, Verträge schließen muß. Wenn sich die realen Interessen gegenüberstehen in Verträgen, dann werden sich die realen, sachverständigen Urteile bilden.
Und auch das, was im Grunde genommen im Wirtschaftsleben die Hauptsache ist, bildet sich aus dem, was innerhalb der Assoziationen wirkt, heraus: die richtige Preislage. [...]
Seit wir im Wirtschaftsleben die Weltwirtschaft anstelle der alten Nationalwirtschaften haben, seitdem ist es notwendig geworden, daß die Gliederung des Wirtschaftslebens von freien wirtschaftlichen Gesichtspunkten aus erfolgt, daß das Wirtschaftsleben sich in Assoziationen auslebt, die lediglich mit wirtschaftlichen Angelegenheiten sich befassen, aber so, daß nirgends Majoritäten, sondern überall Sach- und Fachtüchtigkeit ausschlaggebend sind. Da ergeben sich die Gliederungen. Da wird derjenige am richtigen Platze stehen, der die Erfahrung hat, oder ein anderer durch andere Gründe. Das wird sich in den Assoziationen ganz von selbst ergeben, weil man es nicht mit abstrakten Festsetzungen, sondern mit Vertragstätigkeit zu tun hat. So muß zum Beispiel gesorgt werden, wenn ein Artikel über ein Territorium hin zu reichlich fabriziert wird, daß man die [] Menschen in anderer Weise beschäftigt; denn wo das der Fall ist, wird der Artikel zu billig, und derjenige, der zu wenig fabriziert wird, wird zu teuer. Der Preis läßt sich nur festsetzen, wenn durch Assoziationen eine richtige Anzahl von Menschen über ein Territorium beschäftigt ist. Da handelt es sich, wenn so etwas real werden soll, um ein intensives Interesse an dem gesamten Wirtschaftsleben der Menschheit. Da handelt es sich darum, daß nicht bloß als äußere Phrase das entwickelt werde, was man menschliche Brüderlichkeit nennt, sondern daß diese menschliche Verbrüderung in Assoziationen real in den wirtschaftlichen Verhältnissen zustande komme.