Il a maintenant déjà été affirmé par moi-même en différents endroits, comment ce qui se place de manière totalement énergique sur un sol purement anthroposophique depuis le congrès de Noël a montré partout, que la confiance à l'originelle chose anthroposophique n'a pas diminuée ces derniers mois, mais est devenue essentiellement plus grande.
De sorte que nous pouvons partout regarder de plus près avec profonde satisfaction sur ce qui vit dans cette direction entre nous.

Je dois dire, je suis aujourd'hui allé avec un coeur extraordinairement attristé, lourdement soucieux, a faire la proposition, que je du vous soumettre, mes chers amis, après avoir pris connaissance de la situation du « Jour qui vient ». Et j'aurais absolument pu comprendre, si cette proposition avait reçu un refus dans un sens large.

Je dois quand même dire, c'est profondément émouvant et va droit au coeur que cela n'ai pas eu lieu, mais que nous pouvons regarder sur ce que déjà maintenant dans la première heure les amis se soient déclarés de laisser 20 700 parts d'actions aller le chemin de la donation au fond-Goetheanum. Je ne peux pas du tout vous dire combien je suis reconnaissant pour ce très beau résultat, que nous puissions regarder vers cet aboutissant, que le chiffre indiqué de 20 700 parts d'actions ai été mis à disposition, afin que nous puissions aller dans la direction d'un assainissement des entreprises spirituelles, aussi loin que c'est possible, et avec aussi partiellement à l'assainissement du « Jour qui vient ».

C'est pris fondamentalement un résultat émouvant extraordinaire et nous avons le droit de regarder en arrière vers le déroulement de cette assemblée avec en fond cette profonde émotion. Je remercie tous ceux qui ont pu donner, vraiment à partir d'un coeur profondément remué pour ce qui vient de vous, qui non seulement pour le « Jour qui vient », mais justement pour notre mouvement anthroposophique signifie un acte extraordinairement significatif. Car, si cette volonté de sacrifice se montre maintenant une fois malgré les manques de résultats des dernières années, ainsi pourrons nous cependant faire dans les prochains temps sur nos chemins principaux, ce qui doit être fait. Et fait doit être ce qui, par anthroposophie en rapport spirituel pour l'humanité et pour la civilisation moderne peut être fait.

Quand nous n'aurions pas dans nos entreprises matérielles le résultat souhaité, quand pour ainsi dire, tout ce qui, tout ce qui est sorti du mouvement pour la triarticulation, pris fondamentalement et aujourd'hui tombé à l'eau, ainsi avons-nous quand même — et cela seul par l'illimitée confiance, que nos anthroposophes ont vis-à-vis de l'anthroposophie — la possibilité, de continuer à avancer en fait sur le champ spirituel. (NDT : à « plan » généralement utiliser, le traducteur préfère « champ » qui est la traduction littérale et ancre encore plus les choses sur terre).

Cela met aussi l'obligation sur moi, de la manière, dont j'essaye jusqu'à présent de rendre fructueux le congrès de Noël, en ce que toujours l'ésotérique et le faire ésotérique de la chose anthroposophique, soit conduit de manière la plus factuellement forte. (s'agirait-il plutôt de faire exotérique et ésotérique ?) Justement à partir de ce que les amis on fait aujourd'hui, je sens, combien est fort le devoir, d'avancer de la manière la plus énergique dans cette direction.
Si nous nous tenons ensemble de cette sorte, que chacun fasse, ce qu'il peut faire, nous arriverons plus loin sur les chemins correspondants.

Voyez-vous, mes chers amis, il se présente encore ceci : la triarticulation a été fondée ici voici des années. Des entreprises isolées en sont sorties. Cette partie du mouvement pour la triarticulation, qui aurait du être conduit de manière purement pratique, pour lequel aurait été nécessaire la coopération pratique, n'a pour l'instant pas fait ses preuves. Par contre, se montre loin par dessus les frontières d'Europe, notamment aussi en Amérique, un vif intérêt pour ces impulsions.

Laissez-moi utiliser ce mot, sur ce qui a tant été injurié : ce sont justement des réalités de la triarticulation. Il se montre que ces impulsions seront toujours plus et plus quand même saisies par une certaine compréhension.
Et peut être sera justement bien pour ces impulsions, si on ne cherche pas à les transposer hâtivement dans une pratique inappropriée, mais quand on suit, ce qui au début de la fondation de notre revue « Anthroposophie » j'ai si souvent dit : la triarticulation ne peut commencer à oeuvrer, que lorsqu'elle entrée dans autant de têtes que possible.

Nous avons vu l'échec de la mise en oeuvre de la triarticulation sur la pratique de vie extérieure des humains, mais elle fera comme quelque chose, qui se tient donc sur sol anthroposophique, son chemin dans le monde.
Tous les signes montrent que notre force sur le champ antroposophique-spirituel doit être mis en oeuvre là.
Et dans ce sens je voudrais vous dire, que je ressens comme un devoir de la gratitude, de mettre en oeuvre, ce qui est approprié, pour faire avancer le caractère ésotérique-spirituel de notre mouvement anthroposophique toujours plus loin et loin.

Si ça réussi, et ça doit réussir, parce que le spirituel ne trouve pas des oppositions dans la même mesure que le matériel extérieur, alors les amis, qui ont montré cette docilité au sacrifice, pourront se sentir de manière renouvelée encore intimement liés avec notre vie dans le mouvement anthroposophique.