Un homme me rencontra à Berlin voici peut être dix huit, dix neuf ans qui déjà alors était extraordinairement prisé comme penseur en économie politique et organisateur. Il me rencontra cette fois là, je le connaissais, je me trouvais ici et là une fois avec lui, avait aussi entendu de sa renommée. Les gens racontaient déjà cette fois là à Berlin, que l'homme était si renommé, qu'il avait été, après que fut fondé un grand journal, embaucher à ce journal avec de gros appointements, et ce non pas pour des articles qu'il devrait écrire dans le journal, mais il était libre, quand il le voulait, décrire une fois l'an un article. Mais la seule chose qu'il devait fournir pour ce haut salaire était de ne pas écrire pour tous les autres journaux.

L'homme était si célèbre qu'un des plus grands entrepreneurs de presse de Berlin lui donnait un haut salaire pour que ne lui soit fait de concurrence par l'écriture de cet homme dans d'autres journaux, pendant qu'il le laissait libre, quand il le voulait, d'écrire dans son journal. Cet homme alla aussi toujours plus et plus déjà avec pour plan, en petit sur un certain terrain d'établir dans toutes sortes d'institutions,dans une certaine mesure de petites sociétés modèles ou états modèles, pourrait-on dire.

Il était tenu pour énormément subtil, comment il avait conçu ces petites communautés modèles.
Et quand il ne gagna en fait pas beaucoup plus de partisans et que les partisans, qu'il gagna, restèrent seulement dans le théorique, cela ne dépendis en rien de ce que les gens ne l'auraient pas tenu pour subtil, mais cela dépendit de ce que, les gens étaient trop confortables, pour reconnaître valable pour eux même ce qu'ils tenaient comme très pertinent et très générateur de bien-être pour l'humanité.

Donc il me rencontra et dit — je le voyais déjà arriver le visage rayonnant — : maintenant j'ai enfin trouvé l'homme d'argent, qui me met la somme d'argent à disposition, pour que je puisse une fois fonder une telle colonie coopérative. Maintenant nous voulons fonder la communauté de l'avenir. — Je ne dis rien sinon : fondez-la seulement, elle se brouillera avant peu de temps. —, Car de telles choses on ne les fonde dans les temps actuels seulement pour qu'elles se brouillent, naturellement.

Je vous raconte cette histoire pour la raison, que la croyance peu très facilement s'installer par une pensée peu énergique, par une pensée qui ne veut pas s'attacher aux grands problèmes de la vie, qu'on devrait dans le présent commencer avec toutes sortes de petites fondations ; avec des fondations non englobantes et justement avec de petites fondations devrait se montrer, si quelque chose pouvait aussi faire ses preuves en grand. Mais cela est une absurdité évidente, car vous fondez alors à l'intérieur d'un ordre social malade une quelconque chose, qui peut être entièrement un modèle, mais tout de suite, si elle est bonne et se différencie puissamment de tout ce en quoi elle est placée avant tout, aussi doit certainement échouer. Vous pouvez considérer comme impossible, ainsi que les choses se sont développées, où le monde montre en grand, comment elles se sont conduite dans l'absurde, aussi seulement en tentant d'y penser de loin, d'obtenir quoi que ce soit avec de petites parties quoi que ce soit ou à petite échelle faire quoi que ce soit. Seul peut avoir une quelconque signification, ce que saisit le global, quelque chose qui peut déployer ses rayons, je voudrai dire, vers tout ce qui est humain. Cela ne nuit pas, quand quelque chose pensé en grand échoue, car il restera une suggestion, et, il s'agit de cela. Il s'agit de l'impulsion.