disponible en librairie
(éd. Triades, EAR, Novalis, et autres)
Rudolf Steiner
Les forces
spirituelles de base dans l'art de l'éducation
Les valeurs spirituelles dans l'éducation et la vie
sociale.
Douze conférences données à Oxford, du 16 au 29 août
1922,
avec une conférence spéciale, Oxford 20 août 1922, deux
discours sur les représentations d'eurythmie et une
conclusion.
Version française en deux volumes :
- Les bases spirituelles de l'éducation (9 conf. + 2
alloc. Oxford, 16 au 25.08.22) (Triades, 2006)
- L'être humain dans l'ordre
social (3 conf. Oxford, 26 au 29.08.22)
(Triades, 2006)
Table analytique
Première conférence, Oxford, 16 août 1922
19
Le fondement spirituel de l'éducation (I)
Les étapes de l'enfance. L'enfant, organe des sens.
L'imitation.
Le changement de dentition. La crise des 9 ans.
L'autorité et l'exemple. La puberté. L'éveil du
jugement personnel.
Deuxième conférence, 17 août 1922 23
Le fondement spirituel de l'éducation (II)
L'esprit, l'âme et l'intellect. L'esprit, principe
créateur, perceptible dans l'enfant qui se développe.
L'intellect et son caractère de reflet. L'évolution
historique de l'expérience de l'esprit. Le yoga et
l'expérience de l'esprit à travers la respiration. Le
rapport entre le penser et le respirer. Le chemin
moderne : l'expérience du vide des seules pensées.
L'expérience vécue avec la nature. La plongée dans les
choses de la nature extérieure mène à des Imaginations
réelles.
Troisième conférence, 18 août 1922 35
Le fondement spirituel de l'éducation (III)
Un autre chemin vers la connaissance de l'esprit :
l'ascèse. Sa métamorphose dans la science moderne de
l'esprit.
La genèse de la notion de tripartition de l'organisme
humain.
Le penser, le ressentir et le vouloir, en relation
avec le système nerveux, le système rythmique et le
système du métabolisme et des membres.
Quatrième conférence, 19 août 1922
L'éducation du petit enfant et l'attitude
fondamentale de l'éducateur 52
Les différences de rythmes des trois systèmes. La
prépondérance du système nerveux chez le petit enfant.
L'enfant, organe sensoriel. L'imitation. L'action de
l'état d'âme de l'éducateur. Le changement de
dentition. La confrontation avec l'hérédité.
La prépondérance du système rythmique après le
changement de dentition. L'enseignement comme un art.
L'éducation morale.
Les trois règles d'or de l'éducation.
Cinquième conférence, 20 août 1922 69
L'investigation des mondes suprasensibles
La connaissance intellectuelle et la connaissance
spirituelle. La méditation. L'Imagination,
l'Inspiration, l'Intuition.
Exercices pour développer ces modes de connaissance
supérieure.
Sixième conférence, 21 août 1922 89
L'éducation des jeunes enfants.
Le maître, un éducateur et un artiste (I)
Écrire et lire à partir de la volonté et de l'image.
La liberté du maître. L'enfant de 9 ans. Préparation
et économie de l'enseignement. La botanique. La
zoologie. Surcharge de la mémoire et disposition à la
maladie.
L'enseignement du calcul et son lien avec la moralité.
Septième conférence, 22 août 1922 105
L'éducation des jeunes enfants.
Le maître, un éducateur et un artiste (II)
La 12e année. L'enseignement de la minéralogie et de
la physique. La causalité en histoire. Le maître, un
artiste en éducation. L'humour. Saisir
individuellement chaque enfant. Les quatre
tempéraments chez l' enfant.
Un exemple d'action artistique : l'enfant qui garde
tout bloqué dans sa tête et celui qui ne retient rien.
Leur traitement par la peinture et la gymnastique.
Huitième conférence, 23 août 1922 119
L'école Waldorf, un organisme
La différence entre organisation et organisme. L'école
Waldorf, une école unitaire. Les compromis nécessaires
entre l'idéal et les exigences de l'époque. La réunion
des professeurs. Les enfants « vauriens ».
L'enseignement par périodes. L'enseignement des
langues étrangères. L'emploi du temps.
Les travaux manuels. Les couleurs et la peinture.
Neuvième conférence, 24 août 1922 135
De l'éducation physique et morale
L'éducation physique et ses fondements. Le jeu
enfantin. Exemples de traitement de mélancolie et de
sanguinité pathologiques. Les troubles de la santé à
l'adolescence.
Les notes et les bulletins. La classe de soutien.
L'éducation morale. L'éducation religieuse. L'école
Waldorf n'est pas l'école d'une conception du monde,
mais celle d'une méthode.
A propos de l'eurythmie.
Dixième conférence, 25 août 1922 153
L'éducation à l'âge de la puberté, ce que la vie
exige de l'éducateur.
Les transformations du corps, de l'âme et de l'esprit
chez les filles et chez les garçons. Le maître doit
faire preuve de mobilité intérieure. L'aspect
physiologique de l'intellectualité : processus
d'excrétion. Les causes des difficultés de la puberté.
Conclusion : l'anthroposophie refuse le fanatisme ;
elle cherche l'universalité. Nous avons besoin d'un
changement d'orientation.
LA QUESTION SOCIALE
DIXIÈME CONFÉRENCE, 26 août 1922 183
Le développement de la vie sociale dans l'humanité
L'insuffisance de la réflexion par rapport à la
complexité de la vie sociale du présent ; la nécessité
d'étudier les travaux du passé du passé et les germes
de l'avenir dans le présent. L'évolution sociale de
l'humanité : le courant des théocraties orientales ;
la régulation uniforme par l'inspiration divine. Le
courant de la vie juridique de l'État (Rome) ;
émergence du commerce, de l'industrie, du travail ;
pensée dialectique-logique ; Jurisprudence et
théologie. Développement de la pensée scientifique
moderne. Émergence et développement du marxisme.
Impact sur la Russie. - Le troisième, le courant
occidental de l'industriel et la machine.
ONZIEME CONFÉRENCE, 28 août 1922 202
Impulsions sociales au présent
La genèse du livre "Les points clés de la question
sociale". -
Diversité de l'interaction de la vie intellectuelle,
gouvernementale et économique en Europe centrale et
occidentale. - Le jugement social par la formation
d'associations.
Théocratie : "Dieu l'a voulu" ; Etat industriel : "Les
hommes doivent
pour la régler entre eux" ; l'ère de
l'industrialisation : la libération de l'homme
l'homme de tous les liens ; être placé sur sa propre
humanité.
Être placé. - L'abstraction des "praticiens" sociaux.
La nécessité d'acquérir un nouveau contenu spirituel
pour l'homme par la liberté. Détachement de toutes les
idées professionnelles et statutaires du courant
juridique. Combler les fossés entre les hommes par une
spiritualité unifiée et vivante. L'asocial dans le
traditionalisme. - Les "Points essentiels" (Core
Points)
comme un livre de volonté et de cœur.
DOUZIÈME CONFÉRENCE, 29 août 1922 223
L'homme dans l'ordre social : Individualité et
communauté
La période transitoire actuelle : détachement de tout
lien pour être
simplement pour être un être humain libre. La
nécessité d'une vision mondiale de la liberté.
Conscience et intuition morale individuelle. Éducation
à la confiance en l'individu ; amour de l'homme ;
jugement du monde. La nécessité d'apprendre à penser
"en cercles" plutôt que de façon linéaire. pour
apprendre à penser "en rond". L'incompréhension des
"points essentiels" comme une doctrine de vieille
classe. Non pas une division des hommes, mais une
division de l'organisme social par de telles
institutions que l'action des hommes puisse intervenir
et continuer à avoir un effet sur l'ensemble de la
société. Les trois membres de l'organisme social.
Exemples pour une réflexion approfondie et vivante de
leur développement : capitalisme ; travail ; argent.
Retour à la vie. - Remerciements.
ANNEXE
ALLOCUTION, 18 août 1922 245
sur une performance d'eurythmie : Sur le langage
formel artistique de l'eurythmie
ALLOCUTION, 19 août 1922 251
Sur un spectacle d'eurythmie, avec des représentations
d'enfants :
L'élément pédagogique de l'eurythmie.
CONCLUSION, 28 août 1922 255
à l'occasion d'une réunion fondatrice d'une
association qui souhaitait travailler en Angleterre
dans l'esprit de ces conférences. L'Angleterre dans
l'esprit de ces conférences
Programme de la conférence 257
Notes
À propos de ce numéro 260
Notes sur le texte 261
Rectificatifs à la 3ème édition 267
Ajouts au texte 267
Index des noms 269
Aperçu de l'édition complète de Rudolf Steiner 27
Allocution, 18 août 1922 169
Allocution, 19 août 1922 175
Notes 183 |
Rudolf Steiner
Die geistig-seelischen
Grundkräfte der Erziehungskunst
Spirituelle Werte in Erziehung und sozialem Leben
Zwölf Vorträge, gehalten in Oxford vom 16. bis 29.
August 1922,
mit einem Sondervortrag, Oxford 20. August 1922, zwei
Ansprachen zu Eurythmieaufführungen und einem
Schlußwort.
1991 - RUDOLF STEINER VERLAG - DORNACH / SCHWEIZ
Nach vom Vortragenden teilweise durchgesehenen
stenografischen Mitschriften herausgegeben von der
Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung
Die Herausgabe besorgte Hans Rudolf Niederhäuser
Die Durchsicht der 3. Auflage besorgte Walter Kugler
1. Auflage Dornach 1956
2. Auflage, erweitert um die Vorträge vom 26., 28. und
29. August 1922, Gesamtausgabe Dornach 1979
3. Auflage, neu durchgesehen und ergänzt
Gesamtausgabe Dornach 1991
Nachweis früherer Veröffentlichungen S. 26
INHALT
ERSTER VORTRAG, Oxford, 16. August 1922 11
Die spirituelle Grundlage der Erziehung (I)
Einleitung. Charakter der Waldorfschul-Pädagogik: sie
geht hervor
aus spiritueller Erkenntnis und spirituellem Tun. Die
kindlichen Lebensepochen. Das Kind als Sinnesorgan.
Nachahmung. Zahnwechsel. Krise ums neunte Jahr.
Autorität und Nachfolge. Die Geschlechtsreife. Das
Erwachen des eigenen Urteils. Das Bildhafte als
Voraussetzung für den Unterricht im urteilsfähigen
Alter.
ZWEITER VORTRAG, 17. August
1922 26
Die spirituelle Grundlage der Erziehung (II)
Charakterisierung von Geist, Seele und Intellekt.
Geist, das schaffende Prinzip, anschaubar im
heranwachsenden Kind. Der Spiegelbildcharakter des
Intellekts. Geschichtliche Wege der Geist-Erfahrung.
Der Jogaweg: das Erleben des schöpferischen Geistes im
Atmen. Innige Verbindung zwischen Denken und Atmen.
Der moderne Erkenntnisweg: das Erlebnis
der Leere, des bloßen Gedankenbildes. Das Mitleben mit
der Natur, das Untertauchen in die Dinge der Außenwelt
führt zu realen Imaginationen.
DRITTER VORTRAG, 18. August 1922 39
Die spirituelle Grundlage der Erziehung (III)
Ein weiterer Weg zur spirituellen Erkenntnis: die
Askese. Ihre Metamorphose in der modernen
Geisteswissenschaft. Biographisches zur Idee der
Dreigliederung des menschlichen Organismus. Denken,
Fühlen und Wollen in ihrer Beziehung zu Nervensystem,
rhythmischem und Stoffwechsel-Gliedmaßensystem.
VIERTER VORTRAG, 19. August
1922 56
Die Erziehung des kleinen Kindes und die Grundstimmung
des Erziehers Verschiedenheit der Rhythmen der drei
Systeme. Vorherrschen des Nerven-Sinnessystems beim
Kleinkind. Das Kind als Sinnesorgan Nachahmung.
Gewöhnung. Wirkung der Gesinnung des Erziehers.
Zahnwechsel. Die Auseinandersetzung mit der
Vererbung.Vorherrschen des rhythmischen Systems nach
dem Zahnwechsel. Künstlerische Gestaltung des
Unterrichts. Moralische Erziehung durch Vorbild.
Fertige Moralgebote und Bildung moralischer
Kraft. Ehrfurcht vor dem Kind, Dankbarkeit und Liebe
zum Kind und Erzieherberuf als Grundstimmung des
Erziehers: die drei goldenen Regeln.
SONDERVORTRAG, 20. August
1922 76
Die Erforschung der übersinnlichen Welten
Intellektuelle Erkenntnis und spirituelle Erkenntnis.
Wesen der Meditation. Imagination, Inspiration und
Intuition. Übungen zur Ausbildung dieser höheren
Erkenntnisstufen.
FüNFTER VORTRAG, 21. August 1922 96
Die Erziehung der jüngeren Kinder
Der Lehrer als Erziehungskünstler (I)
Schreiben und Lesen aus dem Element des Willensmäßigen
und Bildhaften. Freiheit des Lehrers. Das Kind im
neunten Jahr. Rudolf Steiner als Erzieher.
Vorbereitung und Ökonomie des Unterrichtes.
Pflanzenkunde. Tierkunde. Gedächtnisüberlastung und
Krankheitsdisposition. Im anschaulichen Unterricht
nimmt das Kind soviel auf, als es ertragen kann; auch
bei großen Klassen. Rechenunterricht. Sein
Zusammenhang mit dem Moralischen.
SECHSTER VORTRAG, 22. August 1922 113
Die Erziehung der jüngeren Kinder
Der Lehrer als Erziehungskünstler (II)
Das zwölfte Lebensjahr. Mineralogischer und
physikalischer Unterricht. Kausalität in der
Geschichte. Der Lehrer als Erziehungskünstler. Humor.
Das künstlerisch individuelle Erfassen des Kindes. Das
melancholische, phlegmatische, sanguinische und
cholerische Kind. Die klassenmäßige Behandlung.
Beispiel einer künstlerischen Behandlung; Kinder mit
stockenden, Kinder mit durchsickernden Vorstellungen.
Ihre Behandlung im Mal- und Turnunterricht.
SIEBENTER VORTRAG, 23. August 1922 128
Die Waldorfschule als Organismus
Unterschied zwischen Organisation und Organismus. Die
Waldorfschule als Einheitsschule. Notwendiger
Kompromiß zwischen Erziehungsidee und den Forderungen
der Gegenwart. Wesen und Aufgabe der Lehrerkonferenz.
Über nichtsnutzige Kinder. Epochenunterricht. Ökonomie
als Ausgleich des Vergessens. Fremdsprachunterricht.
Gestaltung des Stundenplanes. Handfertigkeits- und
Handarbeitsunterricht. Über Farbenerleben und
Malunterricht.
ACHTER VORTRAG, 24. August 1922 146
Über physische und moralische Erziehung
Grundzüge der physischen Erziehung. Kindliches Spiel;
sein Zusammenhang mit der Gesundheit. Beispiel einer
Behandlung von pathologischer Melancholie und
Sanguinik. Gesundheitsstörungen im Pubertätsalter; ihr
Zusammenhang und ihre Behandlung. Über Zeugnisse und
Merksprüche. Hilfsklasse. Grundzüge der moralischen
Erziehung. Die religiöse Erziehung. Die Waldorfschule
ist keine Weltanschauungs-, sondern eine
Methodenschule. Über Eurythmie und die
Eurythmiefiguren.
NEUNTER VORTRAG, 25. August 1922 164
Die Erziehung des Menschen im Reifealter und die
Lebensbedingungen des Lehrers
Der leibliche, seelische und geistige Umschwung bei
Mädchen und
Knaben. Unbefangenheit des Lehrers gegenüber dem
Wandel der
Menschennatur. Der Lehrer muß Weltmensch werden.
Physiologischer Aspekt des intellektuellen Denkens;
Absonderungsvorgang.
Übernahme fertiger Urteile oder lebendige
Urteilsbildung; ihre Bedeutung bis ins Physiologische.
Ursachen der Pubertätsschwierigkeiten.
Schlußwort. Wahre Erziehung und Unterricht fließen aus
einer umfassenden Weltanschauung. Nicht Fanatismus,
Universalität strebt
Anthroposophie an. Gesinnungsatmosphäre als
Erziehungshintergrund.
DIE SOZIALE FRAGE
ZEHNTER VORTRAG, 26. August 1922 183
Die Entwickelung des sozialen Lebens in der
Menschheit.
Das Unzureichende der Gedanken inbezug auf die
Kompliziertheit des sozialen Lebens der Gegenwart; die
Notwendigkeit, das Wirken der Vergangenheit und die
Keime für Zukünftiges in der Gegenwart zu erkennen.
Die soziale Entwickelung der Menschheit: der Strom der
orientalischen Theokratien; einheitliche Regelung
durch göttliche Inspiration. Der Strom des juristisch
geprägten Staatslebens (Rom); Hervortreten von Handel,
Gewerbe, Arbeit; dialektisch-logisches Denken;
Jurisprudenz und Theologie. Entwickelung des modernen
naturwissenschaftlichen Denkens. Entstehung und
Entwickelung des Marxismus. Wirkung nach Rußland. -
Der dritte, westliche Strom des vom Industriellen und
der Maschine geprägten Wirtschaftslebens.
ELFTER VORTRAG, 28. August 1922 202
Soziale Impulse in der Gegenwart
Die Entstehung des Buches «Die Kernpunkte der sozialen
Frage». -
Verschiedenartigkeit des Zusammenwirkens von Geistes-,
Staatsund Wirtschaftsleben in Mittel- und Westeuropa.
- Soziale Urteilsfindung durch Bildung von
Assoziationen.
Theokratie: «Gott hat es gewollt»; Gewerbestaat:
«Menschen haben
es untereinander abzumachen»; Zeitalter des
Industrialismus: Lösung
des Menschen aus allen Bindungen; auf die eigene
Menschlichkeit
Gestelltsein. - Die Abstraktheit der sozialen
«Praktiker». Die Notwendigkeit, einen neuen, geistigen
Inhalt für den Menschen aus Freiheit zu erringen.
Loslösung aus allen Berufs- und Standesvorstellungen
des juristischen Stromes. Überbrückung der Abgründe
zwischen den Menschen durch eine einheitlich wirkende,
lebendige Geistigkeit. Das Unsoziale im
Traditionalismus. - Die «Kernpunkte»
als Willens- und Herzensbuch.
ZWöLFTER VORTRAG, 29. August 1922 223
Der Mensch in der sozialen Ordnung: Individualität und
Gemeinschaft
Die heutige Übergangszeit: Loslösung aus allen
Bindungen, um
lediglich freier Mensch zu sein. Die Notwendigkeit
einer Weltanschauung der Freiheit. Gewissen und
individuelle moralische Intuition. Erziehung zu
Vertrauen in den Einzelnen; Menschenliebe;Welturteil.
Die Notwendigkeit, statt gradlinig-programatisch, «im
Kreise» denken zu lernen. Mißverständnis der
«Kernpunkte» als alter Klassenlehre. Nicht Einteilung
der Menschen, sondern Gliederung des sozialen
Organismus durch solche Einrichtungen, daß das Handeln
der Menschen eingreifen und weiterwirken kann im
sozialen Ganzen. Die drei Glieder des sozialen
Organismus. Beispiele für ein lebendiges Weiterdenken
ihrer Entwickelung: Kapitalismus; Arbeit; Geldwesen.
Zurückführen des Denkens in das Leben. - Danksagungen.
ANHANG
ANSPRACHE, 18. August 1922 245
zu einer Eurythmie-Aufführung: Über die künstlerische
Formensprache der Eurythmie
ANSPRACHE, 19. August 1922 251
zu einer Eurythmie-Aufführung, mit Darbietungen von
Kindern:
Das pädagogische Element der Eurythmie
SCHLUSSWORT, 28. August 1922 255
anläßlich einer Gründungsversammlung einer
Vereinigung, die in
England im Sinne dieser Vorträge wirken wollte.
Tagungsprogramm 257
Hinweise
Zu dieser Ausgabe 260
Hinweise zum Text 261
Korrigenda zur 3. Auflage 267
Textergänzungen 267
Namenregister 269
Übersicht über die Rudolf Steiner Gesamtausgabe 27
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