LE POUVOIR VOILÉ DE L'ARGENT
Alexander
Caspar, Kilchberg, Suisse
16.02.2018
trad F. Germani v. 01
au 27/08/2018, original allemand
Compte
tenu des problèmes économiques et donc aussi sociaux
actuels, cette
revue a déjà souligné à plusieurs reprises l'urgence
d'aborder
d'abord l'idée de la tri-articulation de l'organisme
social
(aujourd'hui remplacé par l'État unitaire) au sein du
grand public
afin d'initier sa mise en œuvre. Jusqu'à présent, les
forces qui
défendent par tous les moyens le système économique et
social au
pouvoir ont réussi à ignorer largement la pensée de
tri-articulation rendue publique par Rudolf Steiner en
1917 et à
diffamer Rudolf Steiner, en tant que porteur de pensées,
au moyen de
l'étiquetage conventionnel. Dans le même temps, a réussi
d’éviter
la critique du système social actuel aux deux points de
départ
décisifs, parce que mutuellement déterminants, à savoir le
problème de la création d'argent et la question de la
valeur
économique de la prestation de travail respectivement la
question
après cette/sa création de valeur. C’est en premier la
compréhension de ce que l'on entend sous valeur économique
des
prestations qui permet de remplacer l'État unitaire dans
sa fonction
de collecteur et de distributeur d'impôts par un
financement
raisonnablement transparent (NDT :
plus précisément : transparent conformément à la
raison
synthétique-Vernunft) des
différents secteurs sociaux.
Le
fait qu’une critique au système actuel devrait commencer
en
première ligne à l'argent devrait éclairer chacun qui se
penche
plus sérieusement sur les raisons du déclin de notre
société, et
pas en dernier comme conséquence du système monétaire
existant
(NDT
Geldsystem).
Maintenant, la base de la création de l'argent doit être
prise en
considération lors de l'examen de l'argent. Parce que la
fonctionnalité, le rôle de l'argent en circulation en est
dérivé.
Cet aspect a été négligé par les critiques précédents du
système actuel, bien qu'il s'agisse de « l'essence du
caniche », et toutes les propositions de changement
qui ne
visent pas la création de l'argent sont totalement
inoffensives,
insignifiantes, pour le système actuel, sauf qu'elles
conduisent à
des conditions sociales toujours plus brutales et
aristocratiques, à
toujours plus de lois, de réglementations, de contrôles,
de
surveillance, etc. Ce n'est que lorsque le levier sera
enclenché à
la base de la création monétaire que cela devient critique
pour le
système établi. De quoi s'agit-il ?
L'argent
dans la fonction de modèle d’échange et de transfert de
valeur.
Il
s'agit du fait que la création de monnaie aujourd'hui n'a
aucun
pendant interne avec la création de valeurs économiques
sous la
forme de biens de consommation. Celles-ci sont des valeurs
parce que,
d'un côté, le besoin du consommateur et, de l'autre côté,
leur
fabricant, pour la couverture de ses besoins, leur accorde
une
valeur. Dans une autosuffisance économique, comme la
représente
l'économie naturelle d'origine, la valeur des besoins et
la valeur
de la production coïncident et se couvrent. Ce n'est
qu'avec la
division du travail qu'elles s'éloignent l'une de l'autre,
et
l'argent, l'économie de l’argent, surgit. Ainsi,
l'économie de
l’argent remplace l'économie naturelle, qui reposait sur
le simple
échange de biens de consommation. L'argent, qui peut
initialement
possédait sous conditions encore lui-même une valeur de
matière,
devient un représentant, un moyen d'échange et de
transfert de
valeur pour la valeur de bien de la consommation. En fait,
il le
devrait devenir purement fonctionnellement, dans ce rôle
où il
représente des rapports de chiffres, où les chiffres
seront fixés
sur un support qui peut circuler ou permet un transfert
comptable de
propriété. Mais aujourd'hui il circule à cause de sa
création,
qui est dépourvue de pendant à la valeur des prestations,
mais
comme un chiffre quand même lié à un « quelque
chose »,
à partir d'une manipulation matérielle instinctive comme
une
marchandise à côté d'autres marchandises. Dans ses
fonctions
actuelles c'est un moyen d’échange universel, donc le
temps de son
existence universellement déductible et acceptable, mais
aussi de la
préservation de la valeur qui perdure, qui subsiste en
circulation
contrairement aux biens de consommation. Ce dernier
fonctionnement de
l'argent actuel a également s’est aussi transféré à ce qui
sera
aujourd'hui décrit comme capital en argent/monétaire sous
forme de
la thésaurisation. Dans celle-ci se reflète toujours
encore
l'autosuffisance prédominante de la pensée économique
existante,
dont les contenus sont justement marqués par une époque de
culture
dépassée.
L’économie
de division du travail signifie apporter les prestations
(résultats
du travail) à l'échange, ce qui se trouve sa retombée dans
le prix
comme le résultat de - appelons-le - l'offre d’argent
contre
l'offre de marchandises ou la demande de marchandises
contre la
demande d’argent ou la demande de marchandises contre
l'offre de
marchandises. Maintenant, si à la place de viser un gain
en capital
dans la compréhension actuelle, on voit le sens de
l'activité
économique - d'où nous partons ici – dans la satisfaction
des
besoins par la fourniture de prestation, le prix devrait
en fait être
un moyen de connaissances pour ce que les prestations
gagnées par la
division du travail accordent réciproquement les unes aux
autres une
valeur telle dans le prix que chaque fournisseur de
prestation puisse
couvrir ses besoins à partir du produit de la prestation
des autres
dans le temps dont il a besoin pour la production d'une
prestation
identique ou équivalente. Cette valeur doit se laisser
saisir comme
une masse chiffrable (d’argent). En tant que
chiffre/nombre, il
exprime un rapport : cela des bénéfices des prestations
individuelles produites les unes par rapport aux autres
sur la base
de la division du travail par la communauté humaine, tout
comme le
bénéfice individuel de la prestation par rapport au revenu
individuel. Aux besoins, se tiennent en vis-à-vis les
prestations
élaborées selon la division du travail pour leur
couverture et il
est exigé que les revenus et les prix pour les prestations
payement-libératoire-d’argent tombent juste entre eux, que
la
valeur des prestations, malgré les changements en cours
par la
formation de capital (mais maintenant compris dans un sens
fidèle à
la réalité, encore à expliquer) et les revenus en tant que
porteurs de besoin se correspondent. Une telle valeur
postulée dans
une telle mesure et représentée au moyen de l'argent, des
prestations et des revenus pourra seulement être saisie à
son
origine en pendant avec l'origine réelle (NDT
« dinglich »,
adj., dérivé de « Ding » :
chose, machin) des
prestations et ceci à nouveau seulement dans ce moment
d’origine
où se couvrent/coïncident la valeur qui leur est attribuée
par le
besoin et la valeur exigée par la production. Par
conséquent, cette
valeur, qui se défini ainsi de telle sorte que la demande
liée aux
besoins et la production de prestation se compensent de
manière
continue et radiante sous la forme de revenus et de
bénéfices de
prestation, seulement réalisée au moyen de l’identité de
choses
(biens de consommation, marchandises) et nominale (masse
d’argent),
c'est-à-dire lorsque la formation de la valeur des
marchandises et
la création de la monnaie sont pendantes. Quand la
marchandise et
l'argent ne seront plus pensés côte à côte, mais : là est
la
valeur (sous la forme de la marchandise) et elle a deux
côtés : un
matériel et un numérique/à la mesure de chiffres. C'est la
valeur
respectivement le concept de valeur qui repose à la base
ce que
Rudolf Steiner a appelé la « cellule économique
primordiale »
et ce qui a été décrit par moi dans mes écrits comme le
« quotient social ». La façon dont il apparaît
comme un
facteur d'équilibre entre le besoin et la valeur des
prestations et
comment il reste un critère de mesure malgré l'évolution
des
besoins tout comme des productions de prestations sera
expliquée
plus exactement plus bas dans le texte.
Conséquences
de l’actuelle économie monétaire
De
l’économie d'échange originelle, de l'échange de
marchandises
finies/terminée sous forme d'offre et de demande, se
dérive, dans
la pensée habituelle actuelle orientée vers l'économie de
marché,
l'équation normative du prix et de la valeur de la
marchandise.
Cette équation a été adoptée par l’économie de l’argent
existante en raison de l'incohérence (NDT :
lit :
l’absence de pendant) de
la création d’argent et de la création de la valeur réelle
des
marchandises. Il en résulte que donc le bénéfice du prix
des
marchandises et le revenu, qui sera donc payé à partir du
premier,
se déterminent l’un l’autre, se tiennent dans un rapport
de
dépendance ce qui peut conduire et conduit aussi à des
crises
conjoncturelles.
La
prétendue solution de l'évaluation mutuelle des
marchandises pour
l’équilibre/la compensation entre la consommation et la
production
sera transférée dans le système d'équilibre de l’économie
de
marché adopté aujourd'hui dans représentation que l'offre
et la
demande ont un mouvement pendulaire d'équilibrage selon
les prix. Si
dans le prix, l'offre et la demande étaient dans le fait
en
l’équilibre, elles devraient, selon une compréhension
logique de
l'identité, être les mêmes par rapport à une grandeur de
mesure
supérieure/sur-ordonnée, justement à la valeur économique
comme
mesure de valeur supérieure/sur-ordonnée pour des
prestations et
des revenus. Le prix serait alors grandeur économique de
comparaison
et sa concordance serait à ambitionner. Mais, la création
« incohérente/dépourvue de pendant » de l'argent
rend
cela impossible: le prix reste dans un indéterminé
vis-à-vis de la
valeur économique des prestations esquissée ci-dessus. Sur
la base
du droit romain, le propriétaire de la propriété du
produit
dispose du bénéfice généré économiquement à partir duquel
seront payés ceux lui fournissant avec leur travail.
L'excédent se
calcule en tant que capital ; c'est le rendement du
capital. Le
travail reçoit un prix comme facteur de coût, dont la
minimisation
conduit au chômage, mais c'est aussi l'occasion
d’atteindre des
revenus, dont dérive l'économie actuelle des échanges/des
circulations. La valeur de marchandise du travail se
dérive du
mélange d'aspects juridiques et économiques. Et avec cela,
dans le
système actuel, toute formation de prix est coincée dans
le conflit
entre le prix du travail et le gain en capital. La lutte
entre les
taux de profit et les taux de salaire, comme l'appelait
Marx, était
une lutte pour la masse d’argent aussi longtemps que
celle-ci, liée
à l'or, était limitée dans son augmentation. Depuis le
début des
années 1970, les banques centrales peuvent accroître la
masse
d’argent/monétaire sans tenir compte des réserves d'or. De
cette
façon, le capital en argent peut croître sans baisse du
revenu du
travail, mais la croissance du produit social devient
impérative
pour la réalisation de gains de capital en argent.
L’économie
de l’argent/monétaire devient économie de crédit
L'industrialisé
s'est développée avec l'avènement de la science de la
nature et de
la technique. Avec elle, une représentation sur
l’apparition et le
gain de capital sous forme d'argent s'est
infiltrée/insinuée, qui
renvoie à l’économie agraire. Elle confond la rente
foncière au
sens du bénéfice/rendement du travail du sol, en tenant
compte de
la productivité, avec un gain de capital en
argent/monétaire comme
dans la compréhension actuelle du bénéfice excédentaire
provenant
de la vente de prestations industrielles. Dans le travail
du sol, a
toujours lieu une certaine formation de rente sans
laquelle
l'humanité ne pourrait pas du tout exister. Les enfants,
les mères,
les malades et les personnes âgées en vivent. Sur la base
de
l'augmentation des volumes et une plus grande
différenciation des
prestations industrielles produites rationnellement les
prix des
prestations produites dans l'agriculture devraient
baisser. Une
expansion permanente de la masse monétaire/d’argent par le
financement via le/à crédit d'altération/érosion
industrielle des
roches monétarise à la place de cela le gain de
rationalisation
dans l'industrie - gonfle les prix industriels - et
conduit là, par
cela, à des gains en capital-argent, tandis que l’économie
agraire sera ruinée selon les prix. La rationalisation
signifie donc
: produire plus de prestations avec autant de travail ou
la même
quantité de prestation avec moins de travail. Cela
signifie que
toujours plus de prestations industrielles,
« gonflées »
en termes de prix, pourront être vendues, sur la base de
plus
d’argent, avec un gain en capital-argent en ce que
toujours plus
d’êtres humains consomment autant par tête ou autant
d’êtres
humains « usent » par tête toujours plus. On ne
doit pas
le voir sur une entreprise particulière, mais plutôt pour
l'ensemble de l'industrie, que les gains proviennent de la
différence
entre les entrées provenant de bénéfices de prestations
gonflées
selon le prix et les coûts de leur production plus
rationnelle.
C'est
l'effet pas facile à embrasser du regard, en fait
l'« ingénieuse »
astuce de la création « incohérente/dépourvue de
pendant »
de l'argent, qu’elle conduit par monétisation de gains de
rationalisation, entre autres au moyen des crédits des
banques
commerciales, à des gains décisifs en capital via des
dettes
croissantes à des actifs/patrimoines croissants.
L'industrie peut
libérer des humains pour une production industrielle
supplémentaire
en raison des économies de main-d'œuvre et de la division
du
travail. Pour des raisons d'autosuffisance, l’agriculture
peut
seulement libérer pour des activités anti-agricoles. Elle
le fait
avec l'aide des prestations industrielles, qui sont dues
au capital
que l’agriculture forme en tant que contre-valeur du
travail
physique économisé en elle/chez elle.
Les
remarques précédentes et suivantes soulignent qu'un
repenser est
urgent et que les habitudes de pensée n’ont plus la
permission
d’être maintenues si l'on veut éviter des crises et des
conflits
économiques et sociaux de plus en plus graves.
Dans
la conception traditionnelle, le capital provient des
bénéfices des
entreprises, c'est-à-dire de la différence entre le
rendement/bénéfice de production et les coûts de
production, qui
constituent par force d’ensemble le coût pour le travail.
Le
capital en chose/nature et le travail sont des biens
vendables
d’après cette conception ; ils se conditionnent comme
tels.
Maintenant, avec le capital, sont associées deux qualités
contradictoires qui sont à ordonner à deux domaines qui
doivent
être séparés dans la vie sociale. D'un côté, le capital
est
dépendant, dans la gestion productive, des capacités et
des talents
qui constituent le domaine spirituel-culturel de la vie de
la
société, dans laquelle prévaut/règne la différence
individuelle,
l'« inégalité » des humains. L'économie et la
société
dépendent, dans leur viabilité, des capacités et des
talents
individuels ainsi que de la possibilité de leur
déploiement libre.
De l'autre côté, le capital se tient dans la propriété, un
rapport de droit entre les humains, qui exclut les tiers
de la
disposition de l'objet de la propriété, et en tant que tel
il a le
pouvoir sur le travail d’êtres humains, peut laisser
travailler
des humain selon ses intentions ou, en raison d'un manque
de retour
sur investissement dans la compréhension actuelle, aussi
ne pas
laisser les humains travailler, ce par quoi résultent
perte de
revenu, effondrement de conjoncture et chômage. Et pour
éviter ce
genre de choses, existe la contrainte à la croissance
économique,
parce que justement, dans l'entendement actuel, le capital
peut
seulement naître et croître sur la base de l'expansion
constante de
la production matérielle tout en augmentant la masse
monétaire/d’argent. Avec le capital en nature/factuel
(moyens
réducteurs/de réduction –NDT :
du travail nécessaire)
et le travail comme marchandise, le juridique sera mélangé
avec
l'économique, ce qui est rendu possible par la création
aujourd'hui
« dépourvue de pendant » de l'argent. Cependant,
les
rapports de travail entre les humains sont à réglementés
uniquement dans le cadre de la vie de droit de la société,
dans
laquelle le principe d'« égalité » s'applique
entre les
humains, de sorte que le travail est privé de son
caractère
marchand. Et le droit de propriété du capital est a lier
au temps
de fréquentation compétente de celui-ci, ce avec quoi le
transfert
à un propriétaire compétent subséquent deviendra un pur
acte de
droit.
L'industrialisation
et la division du travail qui sont apparues avec la
science de la
nature et la technique exigent inévitablement la formation
de
nouveaux concepts d'argent, de création
monétaire/d’argentet de capital, qui
devraient se
répercuter sans circonlocutions dans les réalités
économiques. Il
ne s'agit nullement de rejeter la multiplication du
capital, mais de
reconnaître que, dans sa conception actuelle, il ne peut
s'agir du
pouvoir sous lequel les branches de production de
l'économie sont
contraintes, mais plutôt de reconnaître comment il peut
conduire
d'une compréhension des réalités économiques réelles à un
façonnage de la vie économique qui tienne compte de tous
les
besoins physiques et spirituels des humains. Et à cette
fin, le
concept conventionnel de capital et la contrainte à la
croissance
qui en résulte doivent être surmontés à l'aide de la
reconnaissance du « deuxième » facteur de
création de
valeur expliqué ci-dessous, à savoir le contrôle
intelligent du
travail corporel à la base de nature et de sa transparente
radiante
épargne, qui définit le nouveau concept de capital : Le
capital est
la contre-valeur du résultat du travail corporel épargné
immédiatement au sol, la libération de l’humain du travail
à
fournir conditionné existentiellement au sol.
La
création monétaire/d’argent comme création de la mesure
de la
valeur pour les prix et les revenus
L'humain
en tant que porteur de besoins et producteur de
prestations est
coincé entre deux pôles de création de valeur, entre
matière dans
la manifestation de la nature, sa fertilité, et l'esprit,
dans la
manifestation de l'intelligence humaine, des talents
individuels et
des idées qui viennent. Les besoins viennent de l'esprit,
les biens
de la nature. Le travail est le médiateur. Il se relie à
la
matière, c’est l’un des pôles de la création de valeur. Le
travail n'a pas de valeur économique en soi ; il forme des
valeurs.
Il travaille sur la matière en étant guidé du côté
spirituel,
l'autre pôle de formation des valeurs, par les idées et
les talents
; c'est le pôle de l'« organisation intelligente du
travail »
d'où part la formation du capital et la différenciation
des
prestations. Parce que tout le travail qui peut être fait
dépend du
nombre de la population et que tout ce dont l'humain vit,
vient de la
nature, la création de valeur repose sur le résultat du
travail
corporel de la population sur les sufaces au sol dont elle
a besoin
existentiellement à se représenter comme pure économie
naturelle.
Quand ce résultat de travail, dans lequel, parce que le
minimum
d’existence, la valeur du besoin et la valeur de la
production
coïncident, sera lié avec un chiffre/nombre, de la
création
d'argent, chacun est impliqué avec le quotient lui
revenant (le
« quotient social »), le quotient de la division
de la
valeur totale des prestations par le nombre de la
population, au
quota de chaque autre en rapport au nombre de la
population. La
valeur du quotient social n'est maintenant pas quelque
chose de fixe
en termes de choses, il est à représenter en termes de
choses en
constant changement, mouvement, car il est soumis aux
fluctuations de
la fertilité de la nature tout comme à la formation
changeante du
capital par les talents des humains et des idées qui
viennent aux
humains ; en outre, il est soumis aux conditions de
travail fixées
par le droit. Au moyen du travail et des volumes de
production
convenus associativement, est atteint un équilibre entre
des besoins
fluctuants et la formation de valeur se transformant des
prestations
par orientation à des quotients sociaux fixés
monétairement à
générer économiquement. La théorie jusqu’à présent de la
création de monnaie par hasard du marché tombe avec cette
compensation.
De
la compréhension de l'interaction des deux pôles de
formation de la
valeur, il se donne que le plus de prestation par la
gestion
intelligente du travail est compensée avec la
contre-valeur d'un
moins en travail corporel, de sorte que la valeur globale
des
prestations reste dans l’ensemble la même pour le même
nombre de
population. La valeur densemble des prestations économique
dans
le sens décrit d'un espace économique et monétaire
prospectif,
représente donc une grandeur constante, liée à la
population, de
la valeur économique, pensé en masse d’argent, la mesure
de
grandeur pour les revenus et les prix des prestations. La
masse
d'argent se réalise/se défait donc la masse de
prestations, c'est
pourquoi l'argent pourra être décrit comme la comptabilité
des
prestations ; l'argent est une information sur des
marchandises
produites. Cet argent, en lien avec les prestations en
choses, rend
leur part à leur valeur totale à l'intérieur de l’espace
monétaire. Grâce au facteur de création de valeur
« organisation
intelligente du travail », toujours plus de
prestations sont
allouées à chaque quotient social dont la valeur
d’ensemble reste
la même, mais la valeur des prestations particulières
recule en
termes numériques/de chiffre, ce qui se répercute
indiscipline dans
une réduction du prix des prestations. Le gain en capital,
désormais
non plus compris comme une masse monétaire déterminable
individuellement de la différence entre le bénéfice du
prix des
marchandises et des coûts du travail, mais comme une
contre-valeur
au sol du travail corporel épargné grâce à une
organisation
intelligente – et dans le plus large aussi à des moyens
réducteurs/de réduction artificiels - passe à
l’utilisation/l’usage de la collectivité. Sur la base de
la
compréhension qui avec la création monétaire cohérente
avec la
production de biens et du capital cohérent avec
l'intelligence
humaine (la contre-valeur du travail corporel épargné au
sol), se
définit la monnaie comme la somme des moyens réducteurs/de
réduction en utilisation par lesquels le travail corporel
sera
fourni, ce sous quoi fond et sol (NDT :
le foncier) est
à comprendre en première ligne.
Sur
la base de la cohérence de l'argent et des biens dans le
futur
système décrit ici, l'argent est éliminé de la circulation
avec
la vente des biens et apparaît sur le compte de recettes
du
fabricant. Celui-ci deviendra au début de l'année
prochaine un
compte de dépenses, à partir duquel l'argent revient en
circulation
par le biais de les rémunérations des revenus. Les revenus
sont
basés sur la répartition contractuelle du
rendement/bénéfice de
la production et ne sont pas absolument égaux au quotient
social ;
n’est donc pas donné aussi loin de
nivellement/d’égalitarisme à
l'intérieur des revenus. La prospérité d’humains
travaillant
ensemble est d'autant plus grande que plus les quotients
sociaux de
ceux qui sont actifs dans la production matérielle
génèrent
économiquement en propre, tout d'abord dans le travail du
sol, et
d’autant plus de produits différenciés tombent sur les
quotas
sociaux.
La
coexistence de l’économie des biens et de l’économie de
l’argent a conduit au déroulement des difficultés
croissantes de
financement des institutions sociales telles que des
pensions de
vieillesse, des coûts de santé et d'éducation, à une
situation
où, et comme toujours possible, à presser hors de l'ordre
social
des débours/débits d’argent sans examiner le pendant entre
de
telles fixations et la valeur de la production matérielle
qui la
couvre et à examiner jusqu’où de tels financements
correspondent
à la génération de quotients sociaux. Les quotients
sociaux de
ceux actifs dans les professions enseignantes et dans le
secteur de
la santé, comme aussi des personnes âgées, des enfants,
des
malades et des mères, doivent être dégagés par ceux qui
restent
dans la production matérielle et être payés aux
bénéficiaires à
partir des susmentionnés comptes de dépenses des
producteurs. En
d'autres termes : les actifs spirituellement et les vieux,
les mères
et les enfants obtiennent leur moyen d'existence du
surplus de biens
de ceux qui travaillent dans la production matérielle, du
plus
produit, qui à son tour est basé sur le résultat du
travail des
spirituellement actifs. Les revenus des actifs spirituels,
des
personnes âgées, des mères et des enfants doivent donc
être
considérés en relation avec le facteur de création de
valeur
« organisation intelligente (direction) du
travail ». La
génération/formation de revenus - on pourrait aussi dire :
la mise
à part – d’un enseignant ou d’un médecin n'est pas
aussitôt
celle d'un agriculteur ou d'un actif à des moyens
réducteurs/de
réduction industriels. Le système actuel souffre
précisément du
fait que ceux qui, scientifiques de l’économie, ne
disposent
d’aucune mesure de valeur pour les prestations économiques
et les
revenus. A l'argent ne repose à la base aucune mesure pour
l'évaluation réciproque de prestations et de leur
cohérence avec
les quotients sociaux à défaut de lien à leur formation.
Articulation
de la société
Dans
la section sur la formation de valeur, les trois facteurs
de
production nature - travail - esprit humain se référaient
aux trois
domaines constitutifs de la société : la vie de
l’économie,
de la vie de droit et la vie spirituelle
par laquelle
aujourd'hui ce mélange des conditions économiques et
sociales sont
arrivées dans une impasse. L'État ne peut être ni agent
économique
ni gestionnaire/administrateur d'argent. L'imitateur de la
vie de
l’économie à gérer de manière indépendante est le besoin
qui
doit trouver sa satisfaction dans le cycle économique par
la
production de marchandises, la circulation de marchandises
et la
consommation de marchandises. Dans la vie de l’économie,
des
associations qui seront formées par les consommateurs et
les
producteurs ensemble auront à s’occuper de la
détermination des
besoins, de la détermination des prix dans lesquels
œuvrent
seulement des besoins, avec la valeur des marchandises,
avec la
prestation de travail qui se répercute dans la
marchandise. Le
travail en tant que tel sera dégagé de son caractère
marchand en
ce que la vie de droit décide de l'application de la force
de
travail. Une vie de l’esprit autogérée, en coordination
avec
l'organe directeur de l'économie, l'association,
distribuera les
humains selon leurs capacités, leurs talents et leurs
intérêts aux
endroits nécessaires dans l'économie et décidera en
conséquence
sur/de la disposition du capital.
Nous
avons besoin d'une vie de l’esprit qui englobe la science
et
l'éducation, qui soit capable de façonner/donner forme
d’une
façon raisonnable et digne des êtres humains, à la
fourniture
matérielle de prestation, et d’une fourniture matérielle
de
prestation, d’une vie de l’économie qui est capable de
donner
aux humains la liberté pour une vie libre de l’esprit,
dont les
jugements ne sont pas dépendants de la dépendance
salariale. Et à
partir d’une telle chose, les nouveaux concepts
interdépendants de
valeur économique, de capital, de création
d'argent, de revenu, de propriété
devraient être
repris par la conscience générale et réalisés, dans une
société
qui est, comme tremblante, divisée, avant qu'il ne soit
trop tard.
Alexander
Caspar, né en 1934, a été pendant de nombreuses années
membre de la direction d'une banque privée liée à
l'industrie à Zurich. Entre 1991 et 2000, consultant
indépendant. Auteur de divers articles en sciences sociales
et du livre : "Das neue Geld - Mittler zwischen Bedürfnis
und Wert der Leistung" ( Le nouvel argent, médiateur entre
besoin et valeur de la prestation).
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