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Institut pour une triarticulation sociale
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Traduction française F. G. v.2 au 8/12/2015

Economie de la fraternité...
... à partir d'une fréquentation de revenu, maison et sol conforme à leur essence


Du vendredi 20 au dimanche 22 Novembre 2015 au Goetheanum


Un congrès  financier en coopération de :
Champs de travail  anthroposophiques dans la région de Zurich - Société anthroposophique en Suisse - La Communauté des chrétiens en Suisse - CoOpera / Fondation pour la propriété d'usage  Ittigen - Banque Commautaire Libre Bâle - Initiative cycle financier  Suisse - Fondation Jugendhof Wetzikon - Association des consommateurs Suisse - Fondation NWO Belcampo - Écoles Rudolf Steiner Berner Oberland, Soleure, Wetzikon et Zurich - Section pour les sciences sociales au Goetheanum - Fondation Edith Maryon Bâle - Fondation TRIGON Arlesheim - Association pour pédagogie curative et thérapie sociale anthroposophique


Préoccupations
Le congrès est destinée à tous - responsables financiers, employés, professionnels, profanes, propriétaires et locataires - qui, au vu de la situation économique mondiale,  remuent la question des possibilités concrètes de changement dans leur comportement financier et cherchent des  idées éthiques-pratiques pour cela.

Une réponse de l'être humain aux nécessités sociales...
Au plus tard depuis la crise économique de 2007, aussi en Europe centrale, nous sommes sensibilisés à un possible effondrement de l'économie mondiale. Nous prenons avec inquiétude les messages de la dette publique et des plans de sauvetage, de crises financières et accumulations de capital, de besoins sociaux et d'évolution haussière des prix, tout comme d'actes de guerre imminents ou existants. Étant donné les dimensions globales, l'individu aimerait se sentir lié aux circonstances, insignifiant et impuissant. Pourtant, il devra admettre que c'est toujours l'individu qui, avec ses actions, crée des conditions dont le cumul avec d'autres détermine les formes sociales de l'avenir. Ainsi, le coup d'œil sur la nécessité de façonner socialement les flux financiers de manière bénéfique, inclut aussi la question de quelles forces et avec quelles perspectives l' individus encourage le changement salutaire dans son comportement financier.

...à la recherche de vrais concepts...
Regardant vers les causes de la Première Guerre mondiale, Rudolf Steiner, à partir de 1919, a essayé d'éveiller de la compréhension pour le rétablissement de l'organisme social, pour une vie de l'esprit indépendante de l'Etat et de la vie de l'économie, pour une  vie de droit qui peut se développer librement des intérêts économiques et idéologiques, et pour une vie de l'économie fraternelle indépendante de l'Etat. Pour motivation pour une manière de pratiquer fraternellement l'économie, il a fait valoir, dans des écrits et des conférences correspondantes, des impulsions ni égoïstes ni idéalistes, ni sociales, ni religieuses ou morales. Pour cela, il a catégoriquement indiqué la nécessité de développer une pensée  à la mesure de la réalité, dont le véritable contenu est en mesure de saisir la teneur d'esprit des facteurs  et rapports économiques. Visiblement, il voulait mettre le renouvellement social sur la base d'une essence spirituelle de la connaissance des individus et avec cela encourager les gens à développer un comportement financier fraternel à partir de l'aspiration à la formation et au déploiement de concepts véritables.

 

... Étape par étape sortir de l'individualité ...
L'appel à "des concepts réels" implique que l'économie d'aujourd'hui est basée sur des "concepts faux". En fait, dans notre quête d'indépendance individuelle, la sécurité pour l'avenir et la croissance économique, nous avons fait du travail, de l'argent et du sol des marchandises, des entreprises, des maisons et du système de crédit, des objets de rente et aussi les nécessités de l'existence, les besoins de la vie et les convoituses, objets d'investissement - ce qu'ils ne sont pas du tout par essence. Si maintenant devrait être recherchée la «vérité»  dans ces contextes économiques, ainsi cela peut seulement se produire si l'efforts personnel de l'individu s'oriente là-dessus. D'après cela, les chemins peuvent donc être seulement ceux que l'individu peut aller à la mesure du changement progressif et volontaire de ses raisons et forces de volonté. Là dedans pourrait reposer la raison de l'échec d'impulsions de tri-articulation qui ont été mis en place institutionnellement.

... dans trois champs d'action
Avec un coup d'œil sur comment l'individu peut commencer efficacement et durablement avec un changement dans son attitude financière, se donnent les questionnements suivants :


-En réalité, nous veillons avec notre travail à la satisfaction des besoins des autres, tandis  que nous obtenons des autres notre revenu pour couvrir nos besoins. Comment pourrait se développer d'une telle compréhension une distribution solidaire de revenu dans laquelle travail et revenu sont découplés l'un de l'autre?

-Une maison est une marchandise, comme des chaussures et des vêtements, seulement, en règle générale, ses coûts de construction dépassent habituellement la force financière à court terme de l'individu. Comment une interaction financière entre l'individu et une communauté pourra être établie et gérer le nécessaire besoin d'habiter libre de rente et de gains ?


-Le sol est par sa nature confié comme base de subsistance pour la même part par les puissances créatrices à tous les êtres humains, exactement comme l'eau, l'air et la lumière. Comment peut être garanti à chaque être humain son droit au sol et en même temps régler l'utilisation du sol relativement aux besoins ?


Conférenciers et intervenants
Jean-Marc Decressonnière, direction de la Banque Communautaire Libre, Marc Desaules, comité de direction de la Société anthroposophique en Suisse, Tobias Eckinger, prêtre de la Communauté chrétienne de Bâle, Jonas von der Gathen, Jugendhof Eichholz, Bernhard Hummel, Miethäusersyndikat Allemagne, Sivan Karnieli, eurythmiste, Sharon Karnieli, eurythmiste, Jonathan Keller, école Rudolf Steiner de Zurich, Witiko Keller, lycée  Glattbrugg, Pie Kobler, gérant Sport Components AG, Dr. Ulrich Kriese, vice-président exécutif Fondation Edith Maryon, Peter Kunz, sélection de céréales  Peter Kunz, Cristóbal Ortín, prêtres de la Communauté des chrétiens Zurich, Ursula Ostermai, art de la parole, Benno Otter, chef du jardin au Goetheanum, Niklaus Schär, conseil de fondation CoOpera Sammelstiftung, Prof. Dr. Albert Schmelzer, professeur de l'enseignement général à l'Académie de l'éducation Waldorf Mannheim, Prof. Dr. med. Peter Selg, chef Ita Wegman Institut, Jörg-Martin Steinmetz, prêtre de la communauté des chrétiens de Saint-Gall, Rahel Wepfer, Jugendhof Eichholz, Matthias Wiesmann, conseil de fondation CoOpera Sammelstiftung, Hans-Christian Zehnter, Goetheanum

 

Extraits d'un manuscrit
En traitant de ces questions est né un manuscrit, sous la forme d'une histoire possible qui à tout moment, n'importe où, pourrait donc se dérouler similaire. Bien qu'elle se déploie comme «aléatoire» , elle est clairement construite dans sa structure selon des conceptions de mise en œuvre réalisables qui pourraient conduire à partir des principes économiques  valant actuellement à une fréquentation fraternelle entre les êtres humains : une sorte de manuel pour "changement de roue dans la voiture en mouvement".


A chaque être humain sa part de sol sur la base d'un droit du sol d'intérêt commun
...Herr Decker sait maintenant qu'il a traitée le sol, par l'achat de son terrain, comme une marchandise produite, ce qu'il n'est pas en réalité. Il lui est également devenu conscient qu'à l'égard de l'utilisation du sol, il s'est amené, avec son pouvoir d'achat, dans une position favorisée envers d'autres. Il veut changer progressivement les deux à la fois. Alors il différencie maintenant sa propriété du sol et de la maison. Il veut traiter la maison comme une marchandise, traiter le sol comme nature. Dans l'utilisation de la nature comme une base de vie pour les êtres humains, il se sent l'obligé des pouvoirs créateurs spirituels. Dans le cercle de lecture, lui est devenu clair que l'être humain, en ce qu'il s'active connaissant, réveille l'esprit mort dans la nature à une  vie nouvelle  et le "rend" ainsi aux puissances créatrices. Sur la base de cette idée, il a trouvé la mesure d'une nouvelle appréciation de la valeur du sol :
La nature obtient sa valeur à mesure que l'être humain acquiert sur sa base une connaissance de lui-même et du monde à la mesure de l'esprit.
Implicitement, cela est possible chez tout ce que l'être humain traverse connaissant sur la terre. Mais explicitement cela est le cas là où la personne voue sa perspicacité à une aspiration à l'esprit indépendante d'une production (éducation, art, religion, etc.). Cette détermination de la valeur idéelle du sol pourrait être convertie en formule dans la mesure suivante :
La valeur du sol correspond à la part de bénéfice gagné de l'utilisation du sol qui pourrait être dédiée à la vie de l'esprit indépendante d'une production.

Par cette raison M. Decker est soulagé, car il remarque qu'il n'a pas été entièrement inactif à cet égard jusqu'à présent. Il peut reconnaitre  aussi bien la proportion de ses impôts qui ont été utilisés pour la culture, le système éducatif, ainsi que ses contributions à l'école libre de ses enfants, les arts et le club de sport, et tous ses dons libres à la recherche spirituelle et à sa communauté religieuse comme contrepartie de son utilisation de sol.
Mais avec cela M. Decker n'est pas encore satisfait. Il a notamment constaté qu'en Suisse - réparti équitablement - environ 200 m2 de terrain constructible reviennent à chaque humain. quand donc, il utilise seul sa parcelle de 1 200m2 et par cela il dispose lui-même librement de la contribution à la vie spirituelle gagnée de l'utilisation tandis qu' à cinq autres personnes expire leur droit au sol et leur possibilité a dédier leurs recettes du sol. Ici aussi, il ne veut pas demander trop à l'idéalisme et y va à petits pas. Comme premier, il déclare cinq amis intimes à la  « copropriété » de son terrain. Ils consultent ensemble, quelle rétribution  devrait fournir M. Decker comme paiement pour l'utilisation de l'ensemble de la surface de construction, et tiennent compte en cela qu'il paye donc seul le sol et avait des dettes avec cela. En ce qui concerne la répartition de la redevance d'utilisation des terres à la vie libre de l'esprit, chacun d'eux obtient le droit de disposer lui-même de sa part d'un sixième. La fréquentation de ce droit est individuelle. L'un n'a pas le temps de s'occuper avec cela et a transféré son droit aux autres, quatre tentent de trouver un consensus et un détermine souvent seul sa part ...

A chaque être humain sa copropriété de maison sur la base d'une contributions d'habitat pour d'autres
.. .Au cercle de lecture auquel M. Decker prend part une nouvelle participante est venue : Mme Anderson. Elle est mariée, a trois enfants et vit dans un appartement de quatre pièces. Quand elle se représente, raconte-t-elle, que l'appartement est beaucoup trop cher pour leurs moyens et note en passant qu'il s'agit juste d'un objet de spéculation. M. Decker tend l'oreille, et se demande s'il ne serait pas aussi un spéculateur avec ses locations de logements de plein pied. Il a donc construit les appartements  supplémentaires ni pour son besoin ni de l'approbation des autres. Il avait pensé beaucoup plus au départ au revenu supplémentaire bienvenu qu'il aurait aussitôt que les coûts de construction sont amortis.
En fait, l'appartement rapportera dans le long terme trois fois les coûts de construction, à côté de la rénovation en cours et des frais accessoires. Avec cela il aurait - pense-t-il maintenant avec un coup d'œil sur des "concepts réels" - fait objet d'investissement les besoins de logement des locataires et l'appartement moyen de production pour une génération d'argent à laquelle un autre doit travailler pour lui. Maintenant, il aimerait immédiatement traiter les deux  comme cela correspond à la réalité : l'appartement uniquement comme une marchandise, et la nécessité d'habiter comme le besoin de l'un, pour lequel les autres travaillent. Mais ici aussi, M. Decker veut procéder avec soin et pas à pas. Pour le moment, il laisse les conditions de propriété comme elles sont, il considère cependant l'appartement amortis entre temps comme un objet dont la création est payée par ses revenus excédentaire et peut maintenant être mis à disposition gratuitement au locataire pour son besoins d'habitat. Dans le même temps, il trouve aussi absolument correct, que le locataire génère à son tour pour d'autres une contributions de logement à partir de son revenu actuel. Ainsi M. Decker décide de transmettre les revenus locatifs de son appartement indépendant de plein pied qui restent après déduction des travaux de rénovation et les coûts accessoires à Mme Anderson comme compensation des exigences spéculatives de son propriétaire.
Pour M. Decker est vite évident que ceci est seulement une demi-solution. Bien qu'il ait adapté son propre comportement au "concepts réels", par les exigences inappropriées du propriétaire de Mme Anderson s'écoulent toujours des fonds du besoin d'habitat pour des buts étrangers au besoin d'habitat. Après des discussions avec quelques êtres humains qui on développé un sens pour  son affaire , ils vont ensemble un pas suivant.

Ils aimeraient permettre une propriété de maison  libre de rente à la famille Anderson. À cette fin, ils pensent à fonder  une coopérative  de propriétaires qui veulent l'organiser selon le principe de "la construction résidentielle de contribution pour les autres". Ils poursuivent deux préoccupations : d'une part, que l'utilisateur individuel comme propriétaire d'une maison ou une partie d'une maison-dispose de toutes les procurations d'agencement et d'utilisation, d'autre part, qu'a tous les propriétaires de la coopérative de propriétaires restera les droits à l'égard de la qualité marchande et de l'héritabilité des maisons. Ainsi, l'individu peut se tenir face à la coopérative  propriétaire de maison de deux côtés : comme membres de la coopérative donc comme co-propriétaire de toutes les maisons et comme propriétaire-utilisateur d'espaces individuels ...

A chacun son plein revenu sur la base d'une répartition des revenus indépendante de la prestation.
Au groupe de travail de M. Decker appartient aussi à M. Clairmont. A l'une des réunions, il a mentionné que  sa situation financière à la maison l'accablait:
Il est marié et a quatre enfants. En plus vivent avec eux dans la maison un beau père à la retraite et une nièce avec un handicap. Il travaille à 100%, son épouse à 50%, et le fils aîné effectue un stage dans lequel il gagne aussi quelque chose. La deuxième plus agée étudie, et les deux plus jeunes fréquentent une école publique en responsabilité privée. Comme communauté d'habitat et de vie ils mettent ensemble d'abord tous les revenus: les salaires, pensions AVS et l'AI et autres revenus annexes et payent avec tous les frais communs : le loyer de la maison avec les charges, les coûts de vie et de santé, les frais de scolarité, et les impôts. Les autres attentes, les questions communes et individuelles, ils en discutent tous les trois mois. La prochaine fois, la deuxième plus ancienne veut faire un plus grand voyage, le plus jeune a besoin d'un nouveau vélo, la nièce nécessite une thérapie complémentaire qui ne sera pas payés par l'IV, et la mère doit consulter le dentiste. Chez les autres ne tombent pas de coûts supplémentaires en dehors des frais de déplacement et de communication, tout comme de l'argent de poche respectif. Interrogé sur les raisons de cet fréquentation un peu particulière de l'argent, M. Clairmont donne les points de vue suivants :

1. Dans une famille, il serait donc évident que les besoins de l'individu seront satisfaits indépendamment de ses revenu. Par conséquent, ils diviseraient par approbation le revenu total des membres de la famille actifs professionnellement aux besoins actuels des individus.

2. Ils discutent et décident ensemble toutes ces opérations. Bien sûr, les intérêts des enfant sont représentés par les parents et le grand-père accepterait simplement ce que l'on lui attribue.

3. En tant que base pour des décisions conjointes vit parmi eux - aussi en ce qui concerne les réserves existantes - la transparence absolue.

Pour faire face à la situation individuelle de la famille Clairmont, le groupe de travail pense maintenant que serait uniquement nécessaire que les lignes de base d'une couverture des besoins indépendante de l'activité par approbation de l'un à l'autre soit étendus de la famille à un groupement de gains. Cette mesure pourrait être bénéfique non seulement pour le contexte de la famille individuelle, mais aussi pour le contexte global du monde. La pensée pour la conception des pas nécessaires partirait de l'idée d'une "famille mondiale", dans laquelle il ne peut pas être autrement que ce que la somme de toutes les prestations des producteurs est identique à la somme de tous les besoins des producteurs et non producteurs ensemble - sans gains et pertes ...


Le manuscrit complet "Ecogenèse à partir de l'individualité - un manuscrit pour une fréquentation salutaire du sol, de la maison et de l'argent" est disponible à partir de septembre 2015 et sera à la disposition du public également au congrès. Cependant, il peut déjà maintenant être commandé  à l'adresse suivante:
initiative-finanzkreislauf@bluewin.

Pré-rencontre
Vendredi, 20 Novembre, ici à 2015
14.00 heures  Travail d'étude sur le cours d'économie  nationale de Rudolf Steiner GA 340
APERÇU DU PROGRAMME
(vous obtiendrez un programme détaillé par la poste après la date limite d'inscription.)
Vendredi  20 Novembre 2015
17.00 h Ouverture et introduction au thème du congrès
19.30 h Deux conférences:
L'impulsion de triarticulation : 1919 et l'engagement de Rudolf Steiner pour celle-ci
Présent et avenir de la triarticulation (Albert Schmelzer et Peter Selg)
Samedi, 21 Novembre, ici à 2015
9,00 h travaux de congrès
Conférences et ateliers pour le développement d'un droit du sol d'intérêt commun, une propriété de l'habita libre de rente pour tous et une répartition de gains indépendante de la prestation.
Présentation de projets concrets et cours artistiques:  eurythmie, art de la parole, exercices d'observation, etc.
19.30 h : représentation :
"Liberté, Egalité, pas de tête? "Un cours des valeurs de cabaret de et avec Sibylle et Michael Birckenmeier, Théâtre Cabaret (auparavant: exposé d'introduction)
Dimanche 22 Novembre 2015
9,00 h Travaux de congrès
Exposés, synthèses et perspectives en plénum 12.45 h Fin du congrès


Les frais de congrès

Nous estimons le coût pour l'administration, pour les intervenants et les cachets des artistes, pour les frais et les pauses café à environ 24 000 francs. Selon le nombre de participants il en résulte des frais de participation par personne entre CHF 90.- et CHF 150.- (sans repas). Nous demandons, au moment de l'inscription une contribution  à évaluer soi-même, mais au moins CHF 50.-, en sus CHF 75.- pour 1 déjeuner et 2 reps du soir. Lors de la conférence, nous comptons solliciter une autre subvention, et donner l'excédent au Goetheanum. Quoi qu'il en soit, nous voulons clore le compte de résultat de la conférence avec un résultat équilibré.