triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
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La conférence qui suit a été donnée le samedi 25 janvier 2014 dans la grande salle de l’école Waldorf Freiburg-Wiehre, lors d’un congrès organisé par « Forum Dreigliederung » (Freiburg) et la collaboration de « Sinneswerk » et la «  Freie Bildungstiftung  » (Berlin)  sur le thème : « Economie solidaire et formation libre, autodétermination plutôt que système de contrainte ».
http://www.forum-dreigliederung.de/reload.html?tagungsbericht.html
Une impulsion de Werner Breimhorst °- paysagiste-  et Magnus Schlichtig –violoniste.

Thomas Brunner.
Tri-articulation comme méthode de renouvellement social.

Une conférence déjà difficile en soi. Le propos est reconstitué à partir de l'enregistrement pas toujours suffisant et de mes souvenirs. Je ne garantit donc pas toujours le propos du conférencier et certains cours passages manquent.

Après la contribution d'Uli, c'est autour de Thomas

Qu'y a-t-il à dire sur Thomas Brunner ?
Né dans la partie est du pays de Bade à Bahlingen… très loin dans l'est de Bade, co-initiateur de la « Fondation formation libre » ou initiateur de la « Fondation formation libre ». Peut-être compléteras-tu toi-même les points principaux de ta biographie ? Ce qui me semble important de dire : eurythmiste, auteur de livres, professeur de classe ?
- non, professeur d'eurythmie à Kiel.
- inventeur d'un plateau de jeu, je trouve ça chouette, chez Intellego : jeux en bois.

- Oui, merci beaucoup.
Je vous salue encore de tout cœur, vous fait remarquer que nous nous trouvons dans une école Waldorf et tenterais aussi à la fin de la conférence de rendre quelque chose clair pourquoi cela a une signification historique particulière que Rudolf Steiner, donc après l'échec du mouvement pour la tri-articulation, voulait alors quand même placer un début avec l'école Waldorf et que la manière dont l'école Waldorf s'est développée dépend naturellement essentiellement de l'état actuel du mouvement de la tri-articulation. En ce sens, on peut dire, Molt déploie l'initiative de Rudolf Steiner.
Nous avons encore l'agriculture, nous en avons encore beaucoup d'autres, mais la plus grande, mondialement établie, est l'école Waldorf.
Et de notre vue est de signification comment se comporte la société, comment elle est perçue et bien sûr, comment elle est perçue en particulier par ceux qui font l'école. Sous ce rapport, j'aimerais aujourd'hui clairement vous dire quelque chose.

Pour début, une parole de Rudolf Steiner, sur ce à quoi Ulrich Rösch nous a donc introduits de manière très belle et très diversifiée, et aussi très vivante. Dans la vie, oui, dans les rapports de vie de ce qu'on peut nommer : le réaliser d'un être vivant et où aujourd'hui, nous pouvons vivre beaucoup de pathologies, caractériser beaucoup de pathologies, et déjà a grandi une découverte. Comment nous venons dans une autre constitution que celle qu'aujourd'hui encore nous pose la structure collective. Cette situation existante a malgré tout a à faire essentiellement avec cela ce que comment, comme à la mesure du destin, nous sommes en rapport avec Rudolf Steiner, comment nous saisissons cette impulsion. Ce que nous en saisissons, cela je tente de le présenter en ce que je tente de présenter la tri-articulation comme quelque chose de méthodique. Méthodique au sens que nous n'avons pas seulement un but, donc une utopie, mais nous avons même une méthode pour commencer. Ce que je voudrais placer devant vous comme motif résonne ainsi :
« Voyez-vous, celui-là qui peut vraiment penser, celui-là sait quelque chose qui n'est pas du tout non important. Sur tout ce qu'il pense correctement, il a une quelconque fois pensé faux. En fait, on ne sait correctement quelque chose, dont on a eu l'expérience, que comme cela agit dans l'âme, quand on a aussi une fois pensé faux. Mais aussi les humains ne s'engagent pas volontiers dans de tels contextes de développement intérieurs. C'est pourquoi les humains se comprennent si peu aujourd'hui ». Les exigences sociales de base de notre temps. Rudolf Steiner, 6 décembre 1918

Je voudrais au début expliquer un exemple flagrant.
Vous connaissez tous Helmuth Zander qui depuis quelques années se joue en Allemagne pour un spécialiste de l'anthroposophie. Cet humain a donc écrit dans toutes les spécialités : jugé, catégorisé, et plus ou moins aussi condamné. Et évidemment dans une grande œuvre en double volume fait une rédaction sur le thème tri-articulation sociale. Comme ça va une fois à Monsieur Zander, cela va aussi à beaucoup d'anthroposophes. Ils lisent la tri-articulation de l'organisme social en parallèle à la naturelle. Et là, ceux-là lisent… je prends donc une fois la lemniscate de Ulrich Rösch, là nous attachons l'humain neurosensoriel, l'humain poumons-coeur, et l'humain métabolique et membres plus ou moins en parallèle aux trois membres : vie de l'esprit, vie de droit, vie de l'économie.
Cela on le trouve dépassant merveilleusement chez Monsieur Zander. Donc le spécialiste de la tri-articulation, de l'anthroposophie, qui informe dans une œuvre universitaire reconnue ce qui entre-temps ressort aussi ainsi de la biographie qu'il aussi écrite. Il conclut à cause de cela : ha, ha... Rudolf Steiner veut donc construire encore une fois l'État des états platoniques : cela est état enseignant, état de défense, état nourricier. Évidemment. Et à cela il commente encore en disant : oui, oui, Rudolf Steiner est donc aussi un ésotériste, cela est donc aussi en une gerbe, il veut donc installer une élite qui conduira l'humanité. C'est pourquoi Rudolf Steiner est aussi un opposant de la démocratie.
Tout cet insensé, on le trouve évidemment avec les citations correspondantes, cité dans ce sous-produit. Je cite un tel exemple clair au début afin que vous ne deviez pas [espérer inutilement], car la problématique de fond dans laquelle un Monsieur Zander va si fortement, elle est naturellement beaucoup plus répandue. La problématique de fond est donc celle-là que Rudolf Steiner décrit donc ainsi qu'il dit : on pense, partant d'idées, pouvoir former la vie sociale et il expose cela anthropologiquement qu'il dit que c'est l'erreur de fond dans tous les enseignements sociaux modernes qu'ils partent d'une anthropologie qui articule l'humain nerveux de deux manières : une fois nerfs sensitifs, nerfs de perception et une fois nerfs moteurs ainsi nommés. Et si on voulait aujourd'hui encore regarder dans la biologie d'école, on trouve en fait : là devant est une oreille, là se tient un pied, là on trouve une flèche de l'oreille, de la tête et alors de nouveau un humain tip-tip, une impulsion, et de cette manière l'humain est défini. En fait comme une marionnette des perceptions sensorielles. Donc je perçois extérieurement. Avec égard je représente seulement en image causale. Steiner dit : ces nerfs, qu'aujourd'hui on défini comme nerfs moteurs sont ainsi justement aussi nerfs sensoriels, sont justement ainsi des nerfs de la perception. L'ensemble de l'humain nerveux sensoriel ne produit absolument pas la pensée, il ne produit absolument pas l'esprit, mais il est seulement l'endroit dont la conscience a besoin pour mettre au jour ce qu'il produit. Cette problématique de fond est la question : d’où absolument tombe donc la vie de l'esprit ? Central !
Dans ce sens, en fait chez Rudolf Steiner, alors la vie de l'économie, la vie de droit, la vie de l'esprit. (NDT il montre dans l’autre sens au tableau). La vie de l'esprit comme activité de métabolisme, le neurosensoriel comme la vie de l'économie de l'organisme social. Cela signifie dans l'économique nous n'avons en fait pas à former cela, maintes entreprises pour sortir du gain, mais nous avons des processus de perception à organiser. Sur l'autre étendue, la vie de l'esprit a absolument à devenir perception, doit absolument former des organes dans le social afin que la vie de l'esprit puisse absolument se trouver, que la vie de l'esprit comme force renouvelante, en fait Rudolf Steiner dit : force d'alimentation, puisse absolument couler dans l'organisme social. Cela promeut comme une problématique de base. Je vais tenter d’indiquer de quelques autres manières de tels moments.

S'il vous plait ?
-Qu'est-ce que la flèche ?
- La flèche est l'actuelle représentation des nerfs moteurs.
D'en haut par dessus [...]
On doit absolument une fois voir comment ça a à faire avec beaucoup d'illusions sur notre modèle de société, avec ce qu'au fond nous recevons beaucoup d'impulsions dans le détail d'en haut et cela corrompt naturellement. Quand naturellement un humain pense ainsi, cela corrompt naturellement l'organisme entier. La tête est un organe de perception sensoriel et supra sensoriel. Notamment de la perception propre.
Quand nous regardons dans le présent... Ulrich Rösch a donc déjà rendu vraie la pathologie par là qu'il nous a introduit de la sphère seulement observée puis introduit dans une plus profonde. Rudolf Steiner parle pour cela pas seulement de l'organisme, mais il parle aussi du psychisme… du psychisme et allant encore plus profond : du pneumatisme. Cela signifie d'un ordre qui provient une fois d'un vivant, provient une fois d'un psychique, qui une fois, comme de la perception, provient du spirituel.
Ulrich Rösch a aussi apporté le bel exemple de la tri-articulation. Oui, le comité, la vie du droit, nous les collègues, vie de l'esprit et la cuisine, et aussi les parents ont le droit d'avoir part à la vie économique de l'école. C'est naturellement une image tout extérieure qui ne fait absolument aucune conscience. J’aimerais rendre visible ici que par cela le stimulus est déjà apparu en fait d’une image du monde, mais se sont de perceptions pragmatiques que cette tri-articulation s'est constituée pour cela parce que nous nous sommes installés bourgeoisement dans des formes et la sera en fait le problème particulier... à l'intérieur... et là quelque peu renforcé. Toujours plus clairement, depuis 1989, se fait jour ce problème particulier/réel. Cela a été conçu après 44 : donc l'économie sociale de marché, mais cela a naturellement selon l'histoire des idées beaucoup, beaucoup de décennies de préparation derrière soi.
Qu'est ce que ça signifie ? Qu'avons-nous présentement ? Nous avons présentement... donc si je parle de la RFA. Nous avons présentement un État avec à peu près plus de 2 billions de dettes d'État. Les USA sont encore plus endettés en pourcentage. Le plus endetté est le Japon. De manière intéressante en fait : cette flèche-là. Nous avons dans l'ainsi nommée ouest libre, les plus hautes dettes d'État. Pas un pays africain : non, Europe, USA, Japon. La Chine serait-elle endettée comme cela ça aurait périclité, mais ça va parce que ce n'est pas le cas. Nous créditons entre-temps la Chine et on peut se rendre clair ce que ça signifie dans la durée si l'Europe vient à la dette de la Chine. Là nous devrions en fait mettre en commerce des droits de l'humain [...] deviendrions comme Formose ?
Mais cela appartient à l'un, nous avons d'un côté l’État, de l'autre côté nous avons une vie de l'économie, qui a fait un énorme développement tout de suite depuis 1980 : l’ouverture des marchés. Nous avons toujours fabriqué plus productif, fabriqué des marchandises économiques, ainsi que chaque économiste convenable dit évidemment : cette économie a au fond une telle vitalité qu’elle peut satisfaire ainsi tous les humains. Le phénomène de cette économie qui naturellement a à voir avec ce modèle de la vie de droit que j'ai en fait nommé simplement État, ce qui plus étroitement est naturellement en fait l'État national, ce qui n'est justement pas encore la vie de droit qu’il vaut de développer, car nous avons là une vie de l'économie qui en actifs privés, dans la RFA, libère ma foi 11 billions +. Donc 11 billions +. Ces 11 billions naturellement pas si bien répartis également, mais comme 11 dont 5 billions [...] Ces 11 billions ainsi répartis, un écart mondial large : ce n'est pas le Brésil ! Ou sinon un pays non développé, mais la RFA : 10 % disposent de 70 % de ces actifs, 1 % dispose encore de 9 %. On doit malgré tout se rendre cela savoureux. RFA donc, pas un Brésil corrompu, ou un état mafia comme l’Italie, ou sinon. Non la RFA ! Cela signifie nous avons là, évidente, une situation de travers, une société se tenant dans des rapports pathologiques. Nous obtenons ainsi des chiffres. Maintenant, là quelqu'un a une fois dit : nous devons lutter pour les hautes conquêtes que ce modèle de l'économie de marché nous a apportées. Maintenant dans les faits premièrement, nous sommes donc dans cette forme d'économie nationale, ce n'est donc pas la guérison. La guérison est aussi quand on a tenté de définir ce marché libre donc, mais c'est un autre concept.
Cela vient de Bismarck et nous disons toujours : merci cher Bismarck, que tu nous as donné l'assurance chômage, merci cher Bismarck, que tu nous as organisé une retraite, merci cher Bismarck, que tu nous as financé un état puissant. Car jusqu'en 1850... Jusqu'en 1850, l'Angleterre était la puissance économie dirigeante. Ici commence une fois le retournement de l'Allemagne comme État de poètes et penseurs à l'Allemagne des universités et des ingénieurs. Et on peut alors toujours dire : nous sommes reconnaissants, ô Bismarck, que tu as créé cet appareil. Ce qui ici sera toujours oublié : entre nous et Bismarck, reposent les guerres les plus terribles de l'humanité. Et nous sommes-nous regardé qui a élu Hitler ? Alors, ce sont ces fonctionnaires d’État qui ont été installés par le système de Bismarck. Les travailleurs n'ont pas voté : ils étaient orientés socialistes. Les entrepreneurs étaient orientés conservateurs. Aussi la bourgeoisie dans le sens entrepreneurial, donc la classe moyenne, a à peine voté Hitler. Il a été élu par une gigantesque armée de fonctionnaires d’État !

- Et l'industrie était stricte opposante de Hitler, et tout au plus voulait combattre ?
- donc je voulais faire une image, oui ?
Qu'on se fasse cela clair je n'ai donc pas encore dit ce qui était en fait là, qui naturellement était...l'Allemagne au moins jusque 1832, mort de Goethe ou 1835, mort de Humboldt, était une autre, était l'organe d'une autre tentative, à cela appartient aussi la figure de Caspar Hauser. Donc le milieu d'une autre vie de l'esprit culturelle qui aurait formé une autre société. Là-dessus, un peu plus tard. J'aimerais aller dans ce champ intermédiaire entre un enseignement d'idées platoniciennes et temps nouveaux. L'enseignement d'idées platoniciennes, cela a agi jusque dans le moyen-âge. L'Église catholique était tout d'abord une fois à un haut degré platonique. Aristote était contraint hors dans l'arabe. Ce qui en fait était ici, constitué par Platon, était justement une vue réelle, apparemment fortement vis-à-vis de l'entité du monde des idées, cela signifie, le monde divin, il ne nous est pas du tout avisé ce monde divin, nous pouvons seulement nous le [...] - ce fut tout le chemin du moyen âge - seulement accessible par la foi. Et l'Écriture sainte est la parole de révélation. Et si maintenant on se demande seulement : donc pourquoi ces Grecs n'étaient pas encore capables de se fabriquer des machines ? Pourquoi ? Ils étaient encore de géniaux architectes. Pourquoi les Grecs étaient-ils incapables de produire des moteurs, des machines à vapeur ? Parce que, nous l'avons déjà eu sous peu comme image, parce qu'en fait était tabou de prendre la terre en intérêt spirituellement. C'était manifestation de l'esprit, c'était le monde des phénomènes. Oui, l'humain pensant avait à se soucier seulement de ce monde éthique.
Une figure de base qui conduit le platonisme si loin, c'est pour le temps nouveau, Nicolas de Cuse, une figure exceptionnelle, déjà au moyen-âge. Et Cuse, il commence à poser la question comment l'humain peut-il gagner un accès au monde créateur ? Pas seulement recevant, mais comme actif et naturellement, il était encore évêque [...] mais avant Luther, un humain commence a établir une théorie de la connaissance reconnaissant l'humain. Cuse articule en 4 le patrimoine humain de connaissance. Il commence avec...oui « sensus », au sens de perception sensorielle, conduit plus loin sur « ratio » dans l'entendement/raison à la raison… j'aime aussi le latin, donc Cusanus intellectus et les humains, pas seulement l'avoir de raison, donc l'avoir de pensée logique, il lui donne aussi l'anima, l'âme susceptible d'esprit. Il doit encore nommer cela ainsi, car évidemment il n'a pas le droit de dire qu'il lui donne l'esprit. C'est encore l'anima, mais c'est en fait l'âme qui expérimente déjà, en elle, l'esprit et pas seulement la révélation. Quand maintenant on regarde ce que cette lente élaboration, élaboration de théorie de la connaissance, signifie pour le platonisme alors ça signifie, ça devient libre, ça devient concédé à l'humain, de devenir capable de jugement vis-à-vis de la nature. Quand on retourne vers le haut moyen-âge, on doit une fois se regarder comment sont décrits les animaux, ou les plantes. Ils seront tous décrits dans la nature, moralement. Le renard est rusé, mais c'est un récit de l'âme et ainsi de suite. Maintenant l'humain commence à se placer en face de la nature et on peut dire, ici commence... en ce que la raison, ratio dividende, va sur la nature, commence la science moderne de la nature. Et en prolongement on peut dire cela devient placé libre, en particulier en Angleterre, Francis Bacon, par le départ empirique de la production technique. On peut dire par l'entière révolution technique, industrielle qui se met en place et conduit à de toutes nouvelles formes et possibilités de l'économie ; Intellectus, raison, qui se tourne sur raison.
Cela les encyclopédistes le font. Ils collectionnent, ils collectionnent les connaissances particulières, partout alentour. Ils collectionnent d'abord une fois et commencent à ouvrir leur raison. Des encyclopédies apparaissent. Cela signifie, le savoir comme contenu. Cette évolution conduit à cela que des rapports du monde deviennent accessibles à la raison. Cela conduit à une conscience de droit dans lequel je prends congé, prend congé de manière croissante, du platonique, du monde de révélation platonique, en ce que de manière croissante, je suis moi-même centre. Il n'y a plus d'humain, qui de la naissance est paysan. Et cet humain découvre qu'il est placé en lui-même. Mais cet humain découvre en lui-même la capacité d'aussi se construire le contexte historiquement. Cela signifie, jusqu'à la Révolution française, jusqu'à l'exigence... jusqu'à l'exigence d'un État, d'un accord de droit, qui place l'individu égal face au droit : noble, paysan, valet ou bourgeois. Cela est au fond ce qui s’est constitué ici.

Ce en quoi devient libre une raison qui se tourne et devient active dans la connaissance de l'entendement. Et je fais maintenant d'abord un trait et quand je regarde, qu'est-ce qui s'est maintenant passé ? Là nous voyons, un combat entièrement puissant. En particulier entre l'Angleterre et la France. Et la figure clef dans tout le processus est Napoléon. Napoléon qui même, comme preneur d'image, prend comme image, donc comme image...euh... installe un blocus continental. Il dit : ce qui ici comme application unilatérale à la nature vient d'Angleterre, la nouvelle forme de faire l'économie, de celle-là nous devons nous protéger pour construire un organisme de droit en Europe. Et le phénoménal chez Napoléon, chez cette figure qui naturellement à pleinement retourné sa vision, mais malgré tout, de manière familière, Napoléon détient un des écrits centraux de la nouvelle culture anima dans sa poche, à savoir, Goethe : « Les souffrances du jeune Werther ». Cependant, Goethe : « Les souffrances du jeune Werther » est si révolutionnaire. Pourquoi ? Parce qu'il conduit l'humain au seuil duquel Socrate a toujours dit : je le passerais toujours si volontiers et [...] ainsi Socrate : qu'est-ce qui [...] de mieux. Je viens enfin dans le monde [...] que je ne pouvais jamais atteindre, que je ne pouvais jamais atteindre avec mon entendement, avec ma logique. Toute la thématique qui se poursuit en cette Allemagne.

Là, la figure clef est tout d'abord Emmanuel Kant. Emmanuel Kant qui de manière permanente thématise cette position, qui en permanence thématise serait (conjonctif) : quand l'humain serait constitué ainsi alors il pourrait de pure connaissance intuitive... dedans [...] mais, et c'est d'abord une fois naturellement une réponse négative à l'absolutisme, ça a été une vue originelle positive de Kant. Nous ne voulons pas la vielle domination, la vielle domination des prêtres, nous ramener de nouveau dedans en ce que nous autorisons maintenant des humains particuliers de cette manière, de ces nouvelles manières... là il fait le pas. C'est un grand mérite et c'est d'un point de vue épistémologique correct parce qu'on entend… Rudolf Steiner était un grand combattant de Kant. Il dit donc quelque chose de très très essentiel. Il dit en effet : la vérité il n'y a absolument pas dehors. C'est absolument révolutionnaire. Donc la vérité est toujours un subjectif. La vérité n'est pas quelque part établie par une loi. Elle est si grande, si grande, seulement si grande... Non, le kantianisme est lumière dans ce sens, jusqu'à ce pas. Il rend impossible une conclusion de vérité sur une perception extérieure. Il dépose que la parole de vérité est toujours subjective. Et, on peut se voir une première fois, comme cette... oui, ce problème se trouve.maintenant naturellement une fois. Cela serait-il allé selon Kant, alors la Révolution française n'aurait pas eu lieu de cette façon. D'autres, comme Fichte, comme, par exemple, Friederich Schiller, partirent de cela que le patrimoine de raison, maintenant est aussi loin qu'en fait l'humain pourrait développer des lois qui, capables de portance, pourraient promettre une nouvelle société. Schiller a établi avec effroi... et avec cela von Humboldt dû établir avec effroi, mais c'était aussi un enseignement de la première citation… il a établi avec effroi : oui, bien ! On peut faire cela : une nouvelle constitution, mais alors les humains n'ont pas encore changés. Alors, les humains n'ont pas encore changé. Et cette problématique prend, et aussi sous Napoléon, de tout autres manières. Ce qu'ici je voulais annoncer, comme troisième membre de la société, je veux dire estimé par Goethe, et donc donné à Goethe, là Goethe l'a accueilli, mais il n'a pas réalisé de la culture à la vie de l'esprit, car avec Napoléon rentre en Prusse l'étatisation de la culture (?) donc, quand nous regardons sur les […] du 20e siècle, il appartient de larges positions à cela qui vont beaucoup plus loin en arrière, pas seulement en ce temps, mais naturellement encore jusque dans le moyen-âge. Ce sont des phénomènes qui ont une énorme durée d'évolution derrière eux et quand aujourd'hui on regarde notre culture et alors on sait factuellement que l'obligation scolaire est seulement introduite en 1938 en Allemagne.
Ce ne fut sinon pas nécessaire. Les théâtres en Allemagne ont été en premiers nationalisés par Hitler. À Berlin, le théâtre allemand. Le théâtre allemand, c'est une initiative de fondation de Max Reiner, une innovation dans l'Allemagne avant Hitler, qui en 1933 dit : je vais, car juifs était et devrait, mais je vais hors d'une société qui traite la culture de cette façon. Donc il était déjà [...] et disait : la culture ne peut vivre que comme nous l'avons tenté en ce que nous n'avons jamais pris une subvention d'État. Là, était […], il a aussi construit. À cela appartient une cité Joseph à Vienne, a cela appartient les jeux de Salzburg, toute une série d'initiatives, alors on peut dire de Rudolf Steiner, le Goetheanum aussi n'a pas pris une subvention. Donc qu'est-ce qui était nécessaire ? C'est d'infiniment beaucoup d'abonnements d'humains qu'ils pouvaient amener la culture à validité jusque dans l'économie. Cette question entre, quand nous nous retournons, alors nous voyons toute la crise, toute la problématique qui du temps de Napoléon conduit au 19e siècle. Nous voyons comment est découpé par Napoleon, maintenant finalement, par l'influence napoléonienne sur la Prusse, nous voyons comment sera découpée le développement d'un troisième membre que Friederich Schiller nommait autrefois l'État esthétique, nous dirions aujourd'hui société civile, chez Rudolf Steiner ça s'appelle vie de l'esprit ! Comme une sphère autonome dans la société qui n'est pas un appendice de l'appareil d'État, mais qui s'administre par ses propres lois, d'après sa propre légalité.
La figure politique de cette époque est donc von Humboldt qui en 1808 fonde l'université de Berlin, et fonde l'université de Berlin comme université bourgeoise (NDT ou citoyenne, toujours difficile de différencier tant fut un temps où le bourgeois était de fait le seul « citoyen » ). Il y a fort heureusement les lettres correspondantes au roi de Prusse qu'on peut trouver : « j'aimerais aussi en pécuniaire, aussi en financier...financier !... être indépendant de la caisse de l’État. Car seulement quand les citoyens se portent responsables de la formation, alors seulement ils se soucieront de ce qui se passe ». Déjà en 1812, le roi s'est gobé cet objet de prestige. Humboldt démissionne, écrit encore en une lettre, qui évidemment aurait encore atterri autre part, écrit encore dans une lettre : « l'université est plus que perdue, car l'esprit a été enlevé de tout »".
- [...]
- oui, correct ! Tout l'effort de Humboldt repose donc en cela : la formation concrète, le système de formation à la compagnie des citoyens. Nous verrons dans la suite, je vous ai dit cela comment Goethe va, comment Schiller va. Nous voyons tous les grands idéalistes aller. Une constellation toute significative.

Et maintenant encore une fois Friederich Schiller et Johan Gottlieb Fichte qui est maintenant décédé il y a 200 ans. Fichte est celui qui forme la raison de la manière la plus radicale. Il est celui-là qui en fait forme cette sphère et dépasse/surmonte Kant en ce qu'il voit l'esprit dans l'humain, résout le problème, mais il reste dans l'idée. Il envoie un article à Schiller, donc Friedrich Schiller "Les heures" pour le journal les "Hauteurs", il envoie un article dans lequel il prie pour publication. Schiller répond : votre système déprécie la matière ce pôle unilatéral de forme, une idée comme un général. Si je veux amener un général en rapport avec le monde, alors je dois le trouver de nouveau, alors je dois pouvoir individualiser, alors je dois percevoir un individuel. Humboldt le dit une fois à cette problématique : la raison cherche sa totalité dans le monde et ne connaît d'autre frontière que celles qui sont aussi les siennes. À la volonté trouve la sienne à nouveau et ne va jamais dehors par-dessus la même. Fichte a exactement cet angle. Il écrit même un texte où il voudrait contraindre ses lecteurs à la compréhension. Donc Fichte part de cela qu’on pourrait saisir un logique ainsi qu'il agisse éducatif et le clair dévoilement/la claire manifestation de cette acceptation est son écrit « L'État commercial fermé ».
On doit vraiment se le lire une fois et on voit quand on ne sait pas une fois que c'est de Fichte, qu'on pense au plan de 5 ans du SED.
- L’État commercial fermé ?
- L’État commercial fermé. Mais avec cela nous avons un modèle, un modèle qui naturellement est atteint comme un modèle social de raison : l’État commercial fermé, un modèle de raison pour former société à partir des lois. Et on peut alors voir comme ce modèle tire en fait toujours plus loin et finalement tout le conflit de nationalités de la Première Guerre mondiale. Car cela furent tous des modèles, tous ces états nationaux. Ce furent des modèles d'économie nationale, qui tous essayaient de promouvoir des totalités dirigées par la raison et en particulier naturellement l'Allemagne. Et Hitler n'est rien d'autre que la conséquence d'une telle prétention. Car naturellement quand ça devrait fonctionner ainsi, ça doit être formé ainsi que ça fonctionnera. Je lis brièvement pour faire un bond, une citation d'un tout autre monsieur. Pas d'Adolf Hitler, d'un autre monsieur afin qu'on voie que ce n'est pas encore passé. Le problème n'est pas encore passé. Je le lis d'abord une fois : « Nous ne nous adonnons pas à l'erreur que les États-Unis d'Europe représentent la pleine et dernière solution des rapports internationaux. La création d'un ordre autoritaire, tout puissant du monde est le but que nous avons à ambitionner. Quand nous aurons érigé un gouvernement supra national mondial qui peut être capable d'agir rapidement, les vues sur chaque prescription humaines restent sombres et douteuses. Donc, nous ne voulons nous adonner sur aucune illusion au but principal. Sans une Europe unifiée, pas de raison sûre pour un gouvernement du monde. L'unification de l'Europe est le premier pas incontournable pour la réalisation de ce but ». Donc ce qui est déclaré ici… je vous dis de qui c'est. Ce qui ici est déclaré c'est : quand l'État national ne suffit plus alors nous devons en former tout d'abord un aussi grand qui est capable de traitement comme l'Europe. Donc blocs continentaux. Et finalement un État de gouvernement mondial, un État de raison mondial. Cela est l’État unitaire encore une fois en arrière-plan idéologique. L'utopie de peut-être faire régner la raison ? Donc les problèmes de terme qui passent par tous les classiques de Weimar, ceux-là ne connaissent pas ces problèmes pourtant épistémologiquement centraux.  C'est le porteur du prix Nobel de la paix : […].
On peut un peu plus clairement voir où Rudolf Steiner se raccorde. Pourquoi Rudolf Steiner premièrement une fois ajoute parce qu'une connaissance de l'humain doit saisir pas seulement comme savoir de la nature, pas seulement comme système d'Etat de raison, mais comme système spirituel. Pourquoi cette thématique de Rudolf Steiner tout d'abord ? On voit comme maintenant il rattache. Et le très intéressant, c'est justement qu'il n'expose pas simplement une idée, mais une image de l'humain et commence à différencier entre tout, entre les différentes étendues/niveaux de connaissance. En particulier la polarité de science de la nature et science de l'esprit. Cela qui dans la science de la nature est loi, ce qui est manifestation particulière dans toute la science de l'esprit, je peux notamment dans le législatif de la nature regarder ce que je saisi comme un universel. Dans le culturel, l'universel sera déterminé dans l'individuel. On doit une fois se rendre clair, souvent pas une fois la formation universitaire le rend clair pour des raisons [...]. Naturellement qu'un Beethoven je ne peux justement pas aussitôt qu'il est là me le représenter dans sa légalité ? Mais je ne peux pas dire : c'est donc logique, ainsi se construit cette [faculté?] C'est donc plus que logique Goethe a pour cela la belle phrase : « Alors sensoriel et entendement ressemblent à la raison, fondé dans sa façon limitée, il aurait alors oublié la fantaisie », ça c'est Goethe : l'imagination. Cela signifie, une sphère qui en fait crée quelque chose qui ne peut pas être dérivé de quelque chose de donné. Quand nous regardons maintenant comment Rudolf Steiner, systématique, va plus loin jusque 1919. Ulrich Rosch nous a déjà très joliment rendus familiers avec cette polarité. J'aimerai un exposé concret, méthodique malgré tout quand même esquissé, de comment peut apparaître cela qui justement peut remplacer cet état national, comme un exemple vivant. Rudolf Steiner fait des articulations par exemple qui au début comme nerfs moteurs, donc il prend une image anthropologique : les nerfs moteurs qui aujourd'hui seront encore transmetteurs. Ici est le cœur, il se rattache à l'opinion largement répandue :le cœur est une pompe. Il dit maintenant : le cœur n'est pas une pompe, mais le résultat de la polarité. C'est un organe de perception, un organe de régulation. La façon de voir ici encore aujourd'hui du Dr Boos, que le cœur a à faire avec une pompe qui propulse la liquidité du sang d'après un ordre loin dans l'organisme, cette façon de voir de la physiologie doit être surmontée. Il doit être connu qu'on a à voir dans l'activité du cœur l'équilibrage de l'agir ensemble des deux autres activités de l'organisme humain : activité du métabolisme et l'activité nerveuse-sensorielle. Il va maintenant plus loin et montre comme cela de manière [...] a à valoir avec l'organisme social. Dans l'organisme vivant tri-articulé conforme à la nature, on a maintenant à faire, j'aimerais dire, avec les deux contraires polaires d'un côté avec la vie spirituelle et de l'autre côté avec la vie économique. Et maintenant, simplement une fois méthodiquement, qu'on remarque une fois comme est radical, réaliste, ce point de départ qui nous conduit maintenant. L'institution de droit est dans une certaine mesure le cœur de l'organisme social. Et présuppose que l'autre se déploie. Elle présuppose que d'autres forces sont déjà là autour et quand on a des non-clartés dans ces autres conditions, c'est donc aussi tout à fait évident qu'aucun rapport de droit correct ne peut être là. Mais dans le système de droit ce sera là tout de suite, par cela que se laisse vraiment déployer naturellement les autres forces originelles des autres membres dans l'organisme social tri-articulé.

Cela signifie... cela on peut même, pour la grande, évidente de 1919. Même la grande ouverture de 1919 ne fut pas malheur politique. Le grand malentendu, qu'il a aussi souvent commenté, qu'on a [...] cela comme une [...] politique, ce fut un grand malentendu. En 1922 à Vienne, au congrès est-ouest ainsi nommé, il discute le problème et dit seulement : ce que j'ai voulu donner comme exemple on l'a pris pour l'essentiel, mais l'essentiel n'était pas la création d'institutions, du primaire. Non, l'essentiel était l’universellement humain. Il y a un endroit où il rend cela clair aux professeurs. Tout d'abord une fois brièvement encore comme il le formule : un médicament universel pour l'ordonnance des rapports sociaux il y a si peu qu'un aliment qui nourri pour toujours. Donc, ceci est une critique à l'état de commerce fermé, mais les humains peuvent rentrer dans des communautés telles que le rapport vivant dans l'être-là sera toujours de nouveau donné dans la direction de la vie sociale. Une telle communauté est le membre autogéré spirituel de l'organisme social. Il a alors encore une fois concrétisé cela à Oxford. Là la question sociale, dans le sens le plus profond, est tout d'abord une question spirituelle. Comme nous élargissons une spiritualité agissante unitaire parmi les humains alors nous trouverons ensemble sur domaine économique nos associations. De celles-ci pourra se former concrète la question sociale, pourra se former, et je dois toujours dire résoudre partiellement. Donc, je montre encore une fois le cœur ici, la sphère du cœur, donc la sphère de vie de droit à la place de l'état dirigeant, donc un membre de liaison, un membre intermédiaire, un membre d'unification entre humains auquel certainement appartient de manière compréhensible un élément de démocratie et n'appelle pas seulement la décision de contrat avec quelques groupes de lobby dans l'arrière salle. Mais les suivants quand nous voulons obtenir cela vivant nous devons accomplir un pas tout à fait essentiel et celui-là Steiner l'accompli et ce pas n'est fréquemment pas du tout vu. Quand nous partons de cela que le nouveau ne peut être un avoir été et quand nous partons de cela que je ne peux pas faire le plan comment d'autres peuvent commercer, alors ça ne peut être qu'un concret processus de réalisation et maintenant je lis quelque chose : comment Steiner décrit cet organisme social triarticulé, pour les professeurs de cette école Waldorf. Qu'on s'étonne : la société anthroposophique ensemble avec l'école Waldorf est la partie spirituelle de l'organisme social tri-articulé. Est ! Oui, où cela pourrait-il être sinon ? Où cela devrait être sinon ? Là dehors ? L'Union pour tri-articuleurs doit être une partie politique (NDT pas un parti), pour cela [...] les professeurs Waldorf doivent avoir le lourd travail, ‘Le jour qui vient’ serait la partie économique du tout ». Donc, cela est le nouveau qui dépasse de la conception sociale de Steiner qu'il surmonte chaque utopique, chaque engourdi, chaque logiquement flétrissant, et enfourche chaque concrète réalité de vie qui est fichée là, surmonte infiniment. J'ai au début commencé avec la citation : « Celui qui vraiment a pensé sait… » oui, celui-là sait que plus cela s'approche, qu'à d'infiniment nombreux humains c'est passé à côté jusqu'à présent, qui sont mes humains de destin. Ce que les humains concrets sont à ma réalité de vie, je suis passé à côté parce que le pas essentiel de la philosophie de la liberté, je ne l'ai pas fait. Je dois me faire à l'idée : la vie doit pouvoir inonder sinon je suis au-dessus de ce qui est humain.
J'ai annoncé au début que je reviens sur l'école Waldorf. Quand nous disons aujourd'hui, nous sommes... je ne trouve pas mes... donc bien rangé... donc je ne voulais maintenant pas dire cela au moins...
- s'il vous plait ?
- [...]
- Nous somme donc vraiment des humains pleins de force ici, mais pourquoi les conditions sont-elles... de l'évolution institutionnelle extérieure, aussi la banque GLS appartient à cela, donc que je sois critique, moi qui ai été actif à plusieurs initiatives à la banque GLS et ai fait quelques tentatives dans l'administration, cela est encore mon opinion, mais qu'essentiellement, un peu entretemps, cela est devenu un appareil que nous ne voulions pas ainsi. Monsieur Barkhoff que j'ai encore appris un peu à connaître venait et disait : nous sommes la banque ! Joseph Beuys... Barkhoff...par écrit : chaque humain un banquier ! Chaque humain un banquier...oui, évidemment ! Nous avons maintenant une institution tendanciellement bien structurée, citoyenne, où j'ai le droit d'aller et tout l'élément comme elle a été fondée est presque éteint. Ce ne fut en fait que trente humains. Tout d'abord trois, alors cinq, alors dix. A la fin soixante qui s'asseyaient à la table et ont écoutés quels projets, voulaient être financés, ou qui avait là un besoin. À tout cela : dites-moi seulement Monsieur Brunner, la banque GLS me fait du souci. Le monsieur a 80 ans, a un problème de cœur, c'est pourquoi il s'est retiré, et regarde maintenant cela.
Qu'est-ce que ce fut avec le développement de l'école Waldorf ? Le développement de l'école Waldorf, deviendra, si nous ne faisons pas attention... toujours plus si quelques humains ne commencent pas à penser, qui ont tenté de vivre une ligne pragmatique, deviendra toujours plus une adversaire du mouvement anthroposophique, car elle est entre-temps devenue une organisation largement étatisée. J'aimerai pour la fin rendre cela clair. Rudolf Steiner, encore cette fois, 1919 : « Prenez l'école à l’État , prenez-lui la vie de l'esprit, fondez la vie de l'esprit sur elle-même, laisser la s'administrer par elle-même, alors vous aurez besoin de cette vie de l'esprit, de conduire la lutte perpétuellement de ses propres forces, alors la vie de l'esprit pourra se placer d'elle-même de manière correcte à l'État de droit, à la vie de l'économie, alors cette vie spirituelle sera aussi l'administrateur correct du capital ». Et si nous pouvons faire une représentation sombre au présent, alors c'est celle-ci : c'est que nous n'avons pas de correcte administration du capital. Parce que nous, comme mouvement d'école Waldorf, nous nous laissons intégrer dans le modèle de Bismarck et tout le magasin s'étend [...] si naturellement un gigantesque nouveau coup de fouet n'est pas donné, si pas vraiment n’est un mouvement de tri-articulation, comme un mouvement de tri-articulation de nouveau, cela signifie encore une fois concrètement que la vie libre de l'esprit devra d'elle-même développer nécessairement une telle compréhension sociale et de cette compréhension des motivations se montreront de toute autre sorte que ne sont celles d'espoirs dans des avantages économiques. Cela signifie : nous sommes arrivés socialement à un carrefour où en fait est à nouveau à se demander : suis-je seulement dans la bulle ? La monade bourgeoise/citoyenne d'un monde de représentation qui ne permet pas du tout de perception du monde ? Donc suis-je acheté ? Ainsi l'a argumenté Bismarck : « je dois me procurer la compagnie des travailleurs, qu'ils croient en moi » et pas en l'entrepreneur lequel n'en était plus depuis longtemps. Oui, rapports et société civile étaient. Un grand mouvement de la société civile était là au 19e siècle qui a été abattu par Bismarck. On doit simplement s'en souvenir.

Donc actuellement nous avons tendanciellement des rapports familiers aux conditions du début du 20e siècle. Nous sommes en fait tous livrés à la séduction ainsi que cet État actuellement nous l’offre. Comme eurythmiste la plus grosse absurdité pour nommer mon nom : professeur d'eurythmie. Faites-vous donc un peu clair ce que ça signifie ? On pense eurythmie c'est [...], dans cette société cela ne peut absolument pas. Donc je ne sais pas si c'est sensible. Prenez Rembrandt qu'est ce que Rembrandt signifie pour l'État, l'appareil d’État ? C'est donc un artiste ! Et la question est encore vouloir. Voulons-nous une machine, voulons-nous un appareil où chacun, n'importe quand, marche à côté l'un de l'autre et n'écoute plus l'autre ? Ou voulons-nous vraiment construire des nouveaux des rapports ordinaires ? Et alors on doit prendre de nouveau au sérieux tout le thème de la libération de la formation et de l'autre côté en fait créer des moments d'association au fond sur le karmique propre [...] en ajout aussi entrepreneurial de soi-même. Ce n'est pas assez considéré. Oui, je ne finirai de toute façon pas. Merci tout d'abord.
Applaudissements nourris
- Merci, Thomas Brunner, ce fut une conclusion couronnante.