Le sou de Joseph
Michael Benner  1/2012 Trad. FG - Original

«Si Joseph, comme père responsable de Jésus, avait à la naissance de son fils déposé un sou à la caisse d’épargne de Bethléem et a convenu d'un taux d'intérêt annuel de 5% ... »
Cette histoire n'a pas eu lieu, mais elle aurait certainement pu avoir lieu, car il ya certainement des banques qui existent depuis des siècles. À un taux d'intérêt de 5% (y compris l'intérêt composé) la somme  déposée double environ tous les 14 ans. C'est ce qu'on appelle une croissance exponentielle.
Supposons en outre que les héritiers de Jésus aurait perdu en 2000, la confiance dans les caisses d’épargne israéliennes et auraient suivi le Conseil, que l’on peut lire de plus en plus souvent que l'on devrait investir dans les métaux précieux physiques pour la protection des actifs. Supposons aussi qu’ils se soient dit que l'exploitation minière d'or est écologiquement beaucoup plus problématique que la récupération de l'argent, nous voulons donc nous laisser rembourser notre patrimoine dans les lingots d'argent physique.
La mission de la Caisse d'épargne de Bethléem en 2000 serait: "Livrez 'il vous plaît le sou d’origine, y compris les intérêts courus et les intérêts composés sous la forme de lingots d'argent de 1 kg à l’adresse de notre domicile connu à Bethléem."
A livrer seraient 23 milliards de boules d'argent du poids de notre terre ou
23.900.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000 -. € ou $ X = 23.9 € X 1039 €.
Comme je n'ai encore rencontré personne qui voudrait le croire, une seule calculatrice de poche peut aider.
La banque n'est pas en mesure de livrer et tout le monde comprend pourquoi.
Pas même une balle d'argent du poids de notre terre sera-t-elle en mesure de les livrer, et encore moins 23000000000000!
Jusqu'à la commande il n’y avait cependant aucun problème et c’est symptomatique.
Le nombre de 23.900.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000 -. €  figurait dans l'ordinateur et pouvait, en supposant une police de petite taille, également être affichées à l'écran. L'augmentation de la somme en fin d'année de 5% est un très processus «normal». La quasi-totalité d'entre nous sont crédité à la fin de l'intérêt actuellement de 1,4% et 8,5% (Février 1992), parce que notre argent a donc "travaillé".
Le problème n'apparaît donc que lorsque quelqu'un de manière folle, prend vraiment au sérieux la vraie réalité qui en silence et sur le papier en quelque sorte sans effet de la multiplication surgit dans la réalité. Si notre argent était encore en parité avec l'or ou d'autres actifs corporels tels que la terre, on remarquerait que l'intérêt composé devrait être en parité avec la valeur de plusieurs Terres. Donc, c'est la combinaison de l'abstraction de l'argent sans parité et les mathématiques de l'intérêt composé qui fait que l'impossible semble possible.

Maintenant, il y a un intéressant calcul parallèle qui est très instructif  pour la comparaison avec l'exemple ci-dessus. Supposons que Joseph aurait, invité par la critique de son fils, modifié légèrement le contrat avec la caisse d'épargne de Bethléem, en ce qu’i aurait convenu que, chaque année les taux d'intérêt de 5% soit payé et collectionné, mais l'intérêt composé, ni calculé et ni payé.
En l'an 1 d’état du compte des deux variantes aurait été le même.
1 cent + 5% donne  1,05. ou € 0,0105. La deuxième année, parce que la première année l'intérêt composé s'accumule, il y a une légère différence.
Variante A avec les intérêts composés: 1,05 ct à 1,05 ct + 5% = 1,1025 ct
Variante B sans intérêt composé: 1,05 ct + 5% à 1 ct ct = 1,1.
Joseph au nom de Jésus et avec son consentement renoncé à la différence de 0,0025 cents. C'est supportable, parce qu'il a reçu le montant principal d'intérêt, à savoir, 0,05 ct. L'intérêt est évidemment 20 fois plus élevé que celui de l'intérêt composé.
A quoi ressemble alors l’avoir après 2.000 ans avec cette renonciation de peu ?

Le calcul est au contraire calcul précédent très simple et peut être fait de tête. À un taux de 5% peut être atteint en 20 ans, un doublement de la somme déposée (5% X 20% = 100 = 1ct). En 200 ans, elle a suscité un intérêt qui est de 10 cents et en 2000 ans, il ya 100 cents, soit 1 - €. Et c'est déjà pas si mal. Il s'agit d'une augmentation centuple du capital investi et ce sans travail et pratiquement comme dans le sommeil ou le sommeil profond, parce que les descendants de Jésus n'avait pas pensé à cet avoir se multipliant. Encore une fois:
Avec un intérêt de 5%, mais sans intérêt composé, un cent en 2000, années devient 1.- €
Avec l'intérêt composé à 5% d'un cent en 2000 ans
                               23.900.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000 -. €.
La différence de 23.899.999.999.999.999.999.999.999.999.999.999.999.999 -. €
sont exclusivement causée par l'intérêt composé.
Cela signifie que dans la théorie (programmé dans l'ordinateur ou sur papier) l'intérêt composé est tout à fait concevable, et donc prévisible, pratiquement il est impensable et destructeur. Cela est évident si l'on imagine que les héritiers de la maison de Joseph menacés la banque avec l'huissier de justice parce qu'elle ne rembourse pas

.
La banque pourrait alors, pour ne pas perdre sa réputation et aussi peut être ne pas  déconsidérer l'idée de l'intérêt composé, laisser creuser toute la terre en creusant des trous dans les profondeurs pour obtenir l'argent.
Mais chaque élève de seconde le sait déjà. Même si la teneur en argent moyenne des sols était de 10% et la caisse d’épargne de Jérusalem avait acheté les droits d’exploitation minière mondiaux et disposait de la technologie pour extraire jusqu’au centre de la terre (en fait, les trous les plus profonds atteignent aujourd'hui environ 14 km = environ 2/1000 de la distance au centre de la terre) il ne sortirait que le dixième du poids d'un globe. En vérité la teneur en argent est de 0,079 ppm dans le sol ou 0,0000079% de la croûte terrestre. La banque doit fournir 23,559,000,000,000 boules argentées du poids de notre terre. Et si elle n’est pas morte, elle creuse encore aujourd’hui.