Ernst Lehrs - La nouvelle génération

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NOUS AVONS VÉCU RUDOLF STEINER
Souvenirs de ses élèves
1956

Éditeur : M. J. Krück v. Poturzyn
Maison d'édition Freies Geistesleben GmbH. Stuttgart

WIR ERLEBTEN RUDOLF STEINER
Erinnerungen seiner Schüler
1956

Herausgeber: M. J. Krück v. Poturzyn
Verlag Freies Geistesleben GmbH. Stuttgart

Ernst Lehrs

ERNST LEHRS

La nouvelle génération

Die neue Generation

Trad. F. G. v. 01/202403


Les enfants ont souvent des idéaux professionnels étranges qui extorquent un sourire aux adultes, mais ui, quand on regarde en arrière plus tard dans la vie sur eux, s'avèrent des déguisements enfantins de plus profond revêtements du destin. L'idéal professionnel de mon enfance était «l'empereur». Je voulais être empereur, parce que j'étais convaincu que l'on «sait tout» comme empereur. Car que l'on puisse exercer la fonction de régnant, sans rien savoir, je n'aurais jamais pu me le representer. Aussi si je savais déjà qu'il est réservées à des humains déterminés de devenir empereur, notamment que le fils aîné de chaque déjà régnant, je regardais l'empereur en tant que porteur de la profession absolument idéale. Parce que j'étais toujours convaincu qu' empereur doit simplement tout savoir.

Kinder haben oft seltsame Berufsideale, die den Erwachsenen ein Lächeln abnötigen mögen, die sich aber, wenn man im späteren Leben selbst auf sie zurückblickt, als kindliche Einkleidungen tieferer Schicksalsbezüge erweisen. Das Berufsideal meiner Kindheit war „der Kaiser". Ich wollte Kaiser werden, weil ich davon überzeugt war, daß man als Kaiser „alles weiß". Denn daß man das Amt des Herrschers ausüben kann, ohne alles zu wissen, hätte ich mir nie vorstellen können. Auch als ich bereits wußte, daß es bestimmten Menschen vorbehalten ist, Kaiser zu werden, nämlich dem ältesten Sohne des jeweils Herrschenden, blickte ich auf den Kaiser als den Träger des schlechthin idealen Berufes. Denn noch immer war ich überzeugt, daß ein Kaiser einfach alles wissen muß.

Ce que j'expérimentais à Rudolf Steiner lors de ma première rencontre avec lui comme un jeune étudiant, me rappela mon depuis longtemps oublié rêve idéal de mes souvenirs d'enfance. Ici, j'avais l'apparemment recherché instinctivement à mesure de destin devant moi, qui médiait l'expérience réconfortante, que l'esprit humain est capable de monter jusqu'à un niveau auquel il est capable de «tout savoir», quoique d'une manière différente de celle que l'on se représente communément. A nouveau, plus tard, lorsque j'avais fait connaissance avec les principes de l’entraînement de l'esprit et de l'aspect historique, je compris pourquoi l'enfant a identifié la représentation du "tout sachant/omniscient" avec l' "empereur". Là dedans s'exprime quand même le souvenir originel de temps où il avait eu des initiés, qui ont labourés du conseil dans des états élevés de conscience avec les dieux omniscients et tant que tels été autorisés à guider leur peuple. "À un roi rien ne devrait tenir plus à cœur, comme si polyvalent, si enseigné, orienté et libre de préjugés, bref être si pleinement humain et rester ainsi". Ainsi Novalis exprime dans son essai «La foi et l'amour ou le roi et la reine" le même souvenir originel et le même espoir.

Was ich an Rudolf Steiner bei meiner ersten Begegnung mit ihm als junger Student erfahren habe, rief mir jenen lang vergessenen Idealtraum meiner Kindheit in Erinnerung. Hier hatte ich den offenbar instinktiv-schicksalsmäßig Gesuchten vor mir, der die trostvolle Erfahrung vermittelte, daß der menschliche Geist eine Stufe zu erklimmen vermag, auf der es ihm möglich ist, „alles zu wissen", wenn auch in anderer Art, als man sich das gemeinhin vorstellt. Wiederum später, als ich mit dem Wesen der Geistesschulung auch vom geschichtlichen Aspekt vertraut geworden war, begriff ich, warum sich dem Kinde die Vorstellung des „Alles-Wissenden" mit dem des „Kaisers" identifiziert hatte. Spricht sich doch darin die Urerinnerung aus an Zeiten, in denen es Eingeweihte gegeben hatte, die in erhöhten Bewußtseinszuständen mit den allwissenden Göttern Rat pflogen und als solche befugt waren, Führer ihres Volkes zu sein. „Einem König sollte nichts mehr am Herzen liegen, als so vielseitig, so unterrichtet, orientiert und vorurteilsfrei, kurz so vollständig Mensch zu sein und zu bleiben, als möglich." So drückt Novalis in seinem Aufsatz „Glaube und Liebe oder Der König und die Königin" die gleiche Urerinnerung und die gleiche Hoffnung aus.

Il sera nécessaire d'indiquer en quelques mots, ce qui a incité les étudiants de physique et de mathématiques, en Mars 1921 à participer au cours d'université anthroposophique à Stuttgart, où me fut donnée en partage ma première rencontre avec Rudolf Steiner et son œuvre. Car seulement par cela peut donc être compris l'effet de balayage de ce qui est arrivé pendant ce cours.

Es wird nötig sein, mit einigen Worten anzudeuten, was mich, den Studenten der Physik und Mathematik, im März des Jahres 1921 zur Teilnahme an dem anthroposophischen Hochschulkurs in Stuttgart bewogen hat, wo mir die erste Begegnung mit Rudolf Steiner und seinem Werk zuteil wurde. Denn nur dadurch kann die durchgreifende Wirkung dessen, was sich während dieses Kurses ereignete, verständlich werden.

La conviction de vivre dans le "meilleur des mondes" qui m'avait transmise une éducation bourgeoise avant la Première Guerre mondiale, avait été ébranlée par l'expérience de la guerre au front. Quand je repris les études interrompues par la guerre, une conviction supplémentaire fut ébranlée: que la manière de science de la nature de connaître comment l'humanité s'y est formée dans les siècles passés, nous plaçait en état d' ordonner et prendre en mains les affaires humaines à partir de la pensé exacte une fois pour toutes. Car non seulement les peuples en dépit de leur compétence/pouvoir scientifique. tombent dans la catastrophe de la guerre mondiale, cette guerre avait aussi - tout de suite par l'utilisation justement de ces résultats scientifiques - dépassé toutes les guerres précédentes dans la cruauté.

Die Überzeugung, in der „besten aller Welten" zu leben, die mir eine bürgerliche Erziehung vor dem ersten Weltkrieg vermittelt hatte, war durch das Erlebnis des Krieges an der Front erschüttert worden. Als ich dann das durch den Krieg unterbrochene Studium wieder aufnahm, wurde eine weitere Überzeugung erschüttert: daß die naturwissenschaftliche Erkenntnisweise, wie die Menschheit sie in den vergangenen Jahrhunderten herangebildet hat, uns instandsetze, die menschlichen Angelegenheiten aus exaktem Denken heraus ein für allemal zu ordnen und zu handhaben. Denn nicht nur waren die Völker trotz ihrem wissenschaftlichen Können in die Katastrophe des Weltkrieges geraten, es hatte dieser Krieg auch — gerade durch die Anwendung eben jener Ergebnisse der Wissenschaft — alle bisherigen Kriege an Grausamkeit übertroffen.

En un symptôme parlant du problème résulta la théorie de la relativité d'Albert Einstein, - alors sous des professeurs et des étudiants très controversée, même combattue. Le relativisme professé retirait à l'être de l'humain comme humain toute réalité d'être-là. Néanmoins, je devais regarder la manière de penser d'Einstein comme la suite logique de la pensée scientifique jusqu'à présent, alors que toutes les tentatives de les réfuter, semblait être privé d'une telle cohérence. Par conséquent, toutes réfutations n'auraient pas servi. Pour toutes ces conditions se donnait à moi en coup d’œil à l'avancement de l'humanité une certaine demande spirituelle qui se revêtait de l'image suivante.

Zu einem sprechenden Symptom der Problematik, die sich daraus ergab, wurde mir die Relativitätstheorie Albert Einsteins, — damals unter Professoren und Studenten viel umstritten, ja umkämpft. Entzog doch der darin verfochtene Relativismus dem Sein des Menschen als Menschen alle Daseinswirklichkeit. Dessen ungeachtet mußte ich die Denkungsweise Einsteins als die folgerichtige Fortsetzung des bisherigen wissenschaftlichen Denkens ansehen, wogegen alle Versuche, sie zu widerlegen, einer solchen Folgerichtigkeit zu entbehren schienen. Daher war mir denn auch mit Widerlegungen nicht gedient. Aus all diesen Voraussetzungen ergab sich mir im Hinblick auf die Weiterentwicklung der Menschheit eine bestimmte geistige Forderung, die sich in das folgende Bild kleidete.

Je voyais devant moi un fleuve, à une des rives duquel, nous - l'humanité jusqu'à présent - nous trouvions. Sur l'autre rive était un nouveau territoire qu'il valait d'atteindre. Donc, il s'agissait de la formation de pont sur la rivière. De la connaissance de l'ordre naturel du monde, de ce côté de la rivière, le pont a été bien commencé, mais pas construit comme un maximum jusqu'au milieu de la rivière. Afin de construire l'autre moitié, il fallait la connaissance des lois et autres forces valant de ce côté là, cependant, qu'on pourrait seulement gagner de ce côté là. Mais comment arriver là où le pont manquait encore ? Il serait volontiers tout d'abord besoin de décider des pionniers de traverser la rivière à la nage. Où les gens pouvaient être trouvés qui étaient prêts à se préparer pour un tel acte? Où étaient ceux qui avaient le courage de telle action?

Ich sah vor mir einen Fluß, an dessen einem Ufer wir — die bisherige Menschheit — uns befanden. Auf dem anderen Ufer lag Neuland, das es zu erreichen galt. Es ging also um die Überbrückung des Flusses. Aus der Kenntnis der naturgesetzlichen Ordnung der Welt diesseits des Flusses konnte die Brücke wohl begonnen, aber nicht weiter als höchstens bis zur Mitte des Flusses gebaut werden. Um die andere Hälfte zu erbauen, bedurfte es der Kenntnis der am jenseitigen Ufer geltenden Kräfte und Gesetze, die man jedoch nur dort drüben gewinnen konnte. Wie aber sollte man dahin gelangen, wo doch die Brücke noch fehlte? Es würden sich wohl zuallererst einige Pioniere entschließen müssen, den Fluß schwimmend zu durchqueren. Wo konnten die Menschen gefunden werden, die bereit waren, sich zu einer solchen Tat zu rüsten? Wo waren diejenigen, die den Mut zu solcher Tat aufbrachten?

Ce que je reçu à lire sur le programme du cours universitaire anthroposophique de Stuttgart, attaché au tableau d'affichage de l'université, où j'étudiais, me semblait d'un tel courage exigeant spirituellement parlant, et donc je me mets à y participer. - Je me souviens de ces sentiments et impulsions, comme Rudolf Steiner plus tard nous interpela, nous les jeunes en pendant de beaucoup dit auparavant : "l'anthroposophie veut être la haute école du courage."

Was ich auf dem Programmzettel des Stuttgarter Anthroposophischen Hochschulkurses, angeheftet an das schwarze Brett der Universität, an der ich studierte, zu lesen bekam, schien mir von solchem Mut-fordernden Tatwillen im geistigen Sinne zu sprechen, und so machte ich mich zur Teilnahme auf. — An jene Empfindungen und Impulse sollte ich zurückdenken, als Rudolf Steiner später uns jungen Menschen in Zusammenfassung von manchem vorher Gesagten zurief: „Anthroposophie will sein die hohe Schule des Mutes."

Ce cours a - à l'exception des conférences Rudolf Steiner * et ceux de ses collaborateurs - réunions de séminaire chaque jour publiées sous le titre: «Les mathématiques, expérience scientifique, observation et résultats de connaissance du point de vue de l'anthroposophie", Stuttgart 1948 apporta les diverses disciplines scientifiques. Le contenu dans le détail ne peut être reproduit ; sauf que la mémoire du nouveau venu alors refusé, sauf pour quelques détails, il n'y a malheureusement aucune transcriptions de ces réunions mémorables. Mais ce qui règne de manière indélébile dans ma mémoire, est le comportement personnel de Rudolf Steiner. Il était amicalement présent à tous les séminaristes sans tout d'abord prendre part à la discussion résultante. La plupart du temps, cependant, vint un moment où il demandait lui-même la parole. Ce qu'il exposait en réponse à une question posée ou une remarque, laissait aux participants étonnés l'expérience d'un penseur qui était non seulement entièrement versé dans tous les domaines, mais aussi pouvait ajouter à la connaissance habituelle essentielle de sa connaissance du côté spirituel de l'humain et le monde. Peu importe s'il s'agissait d'une des disciplines de science de la nature, de mathématiques supérieures, d'histoire de l'art, de philosophie ou de ce qu'il s'agit : il a toujours donné sa contribution avec un calme, porté par la voix de la sécurité intérieure et dans le ton d'une administration conviviale, qui a donné l'impression qu'il fallait aucun effort pour savoir et pouvoir tout cela. Ici un esprit se donnait à connaître qui était venu d'une autre façon au savoir englobant que par la combinaison des connaissances scientifiques particulières qui usent la force de vie propre ; il a vécu - comme je l'ai appris de la sensation au cours de la journée - toutes les connaissances à un point plus élevé et plongé à partir de là, dans chaque domaine, pour ensuite en parler comme s'il avait été concerné tout au long de sa vie par ce seul domaine du savoir. On appréciera ce que cela signifiait pour les étudiants, qui avaient soif après l'humain et le savoir de l'humain. C'était une expérience particulière, d'observer comment extraordinairement différent Rudolf Steiner se comportait dans des situations apparemment similaires, visiblement selon sur les conditions humaines des demandeurs. Que cela soit montré à trois événements.

Dieser Kurs brachte — außer Rudolf Steiners Vorträgen* und denen seiner Mitarbeiter — täglich seminarartige Besprechungen über Veröffentlicht unter dem Titel: „Mathematik, wissenschaftliches Experiment, Beobachtung und Erkenntnisergebnisse vom Gesichtspunkt der Anthroposophie", Stuttgart 1948 die verschiedenen wissenschaftlichen Fachgebiete. Der Inhalt im einzelnen kann nicht mehr wiedergegeben werden; abgesehen davon, daß die Erinnerung des damaligen Neulings bis auf wenige Einzelheiten versagt, gibt es auch leider keine Nachschriften jener denkwürdigen Besprechungen. Was aber unauslöschlich im Gedächtnis haftet, ist Rudolf Steiners persönliches Verhalten. Er war bei allen Seminarien freundlich zuhörend zugegen, ohne sich zunächst an der entstehenden Diskussion zu beteiligen. Meist aber trat dann der Augenblick ein, wo er sich selbst zum Wort meldete. Was er in Beantwortung einer gestellten Frage oder eines Einwurfes ausführte, ließ die Teilnehmer staunend einen Denker erleben, der in jedem Fachgebiet nicht nur völlig beschlagen war, sondern darüber hinaus zu dem üblichen Wissen Wesentliches aus seiner Kenntnis der geistigen Seite des Menschen und der Welt hinzufügen konnte. Ganz gleich, ob es sich um eine der naturwissenschaftlichen Disziplinen, um höhere Mathematik, Kunstgeschichte, Philosophie oder was immer handelte: stets gab er seinen Beitrag mit ruhiger, von innerer Sicherheit getragener Stimme und im Tone einer freundlichen Darreichung, die den Eindruck erweckte, daß es keinerlei Mühe bedürfe, dies alles zu wissen und zu können. Hier gab sich ein Geist zu erkennen, der auf andere Art zu umfassendem Wissen gekommen war als durch Zusammenholen wissenschaftlicher Kenntniseinzelheiten, die die eigene Lebenskraft zermürben; er lebte — so lernte ich es im Laufe der Tage empfinden — allem Wissen gegenüber auf höherer Warte und tauchte von dort aus in das jeweilige Gebiet ein, um dann davon zu reden, als habe er sich Zeit seines Lebens nur mit diesem einen Wissensgebiet befaßt. Man wird ermessen, was das dem Studenten bedeutete, der nach dem Menschen und dem Wissen vom Menschen dürstete. Dabei war es ein besonderes Erlebnis zu beobachten, wie außerordentlich verschieden Rudolf Steiner sich in anscheinend ähnlichen Situationen verhielt, sichtlich je nach den mitspielenden menschlichen Voraussetzungen der Fragenden. Dies sei an drei Vorkommnissen aufgezeigt.

Parmi les participants se trouvaient quelques-uns qui ont ainsi été ressenti dans les débats qu'ils louaient ce qui était exposé du côté anthroposophique, mais donnaient en même temps de bons conseils, de ne quand même pas manquer de prendre ce ou que d'autres sortes d'esprit prennent en connaissance et amènent en synthèse avec l'anthroposophie ; d'autres se sont sentis appelés, le plus possible chaque discussion, tout de suite quand elle avait vécu de tous les côtés des explications satisfaisantes, à interférer/gêner parce qu'ils ont apporté une objection qui semblait objective, quand même pas porté par des connaissances propres.

Unter den Teilnehmern befanden sich einige, die sich in den Aussprachen dadurch bemerkbar machten, daß sie das von anthroposophischer Seite Vorgebrachte lobten, aber zugleich den guten Rat gaben, doch nicht zu versäumen, diese oder jene andersartige Geistesart zur Kenntnis zu nehmen und mit der Anthroposophie zur Synthese zu bringen; andere fühlten sich berufen, möglichst jede Diskussion, gerade wenn sie allseitig befriedigende Aufklärung erfahren hatte, dadurch zu stören, daß sie einen Einwand brachten, der sachlich schien, doch nicht von eigener Kenntnis getragen war.

Vers la fin fut un débat sur l'importance des mathématiques pour la connaissance spirituelle-scientifique élargie de la nature, en rattachement avec une certaine indication de Rudolf Steiner, a été parlé de géométrie synthétique. Un participant de la première sorte a remarqué quoiqu'il ne fût pas un mathématicien et n'avait aucune connaissance des mathématiques supérieures, mais voulait recommander que le scientifique anthroposophique de la nature ne sous-estime pas l'importance du calcul de géométrie synthétique accentué par le Dr Steiner.

Gegen Ende einer Aussprache über die Bedeutung der Mathematik für die geisteswissenschaftlich erweiterte Naturerkenntnis war, in Anknüpfung an einen Hinweis Rudolf Steiners, über synthetische Geometrie gesprochen worden. Ein Teilnehmer der ersteren Art bemerkte, er sei zwar nicht Mathematiker und habe auch keine Kenntnis der höheren Mathematik, wolle jedoch raten, daß die anthroposophischen Naturwissenschafter über der von Dr. Steiner betonten synthetischen Geometrie nicht die Wichtigkeit der Infinitesimalrechnung unterschätzten.

A peine cela a été dit, ainsi Rudolf Steiner était déjà là avec des yeux pleins d'éclair et tonna dans la salle: «Je ne comprends pas comment quelqu'un qui a à dire de lui-même qu'il ne sait rien des mathématiques, peut nous partager ici un conseil, dans ces choses ! " Le ,conseillé` ne se laissa pas entendre de nouveau pour le reste du cours.

Kaum war dies gesagt, so stand Rudolf Steiner schon mit blitzenden Augen da und donnerte in den Raum: „Ich verstehe nicht, wie jemand, der von sich sagen muß, daß er von Mathematik nichts versteht, wagen kann, uns hier in diesen Dingen einen Rat zu erteilen!" Der ,Rater` ließ sich für den Rest des Kurses nicht wieder hören.

Un participant d'une autre sorte, qui était devenu une charge pour toutes les personnes de bonne volonté avec ses objections toujours inutiles ou superflues, souleva à la fin d'un séminaire historique dans lequel avait été parlé d'une articulation spirituelle de l'humanité en une asiatique-orientale, une anglo-américaine-occidentale et entre les deux, un groupe européen de médiation : «mais quoi avec la Tchécoslovaquie ?" Déjà le meneur de la discussion - certainement avec le consentement de toutes les personnes de bonne volonté - tenta de laisser tomber l'interjection et clore le séminaire, lorsque Rudolf Steiner à la hâte se leva et, dans le pointage de l'auditoire, a déclaré: «le Monsieur là-derrière a posé une question très intéressante à laquelle j'aimerais volontiers répondre. Toutefois, j'aurais besoin d'environ trois quarts d'heure de temps pour cela." Il a demandé si on pouvait lui aménager celui-ci le jour suivant ce qui fut évidemment approuvé. - Le lendemain, à l'heure dite, Rudolf Steiner donna, devant un auditorium densément occupé une vue d'ensemble étonnante entrant dans le détail de l'histoire du peuple tchèque avec le point de vue de montrer son rôle spirituel particulier comme bâtisseur de ponts entre l'Europe centrale et de la spiritualité slave d'Europe orientale. Cela il s'adressa à l'intervenant répétant de cette façon et similaire: "n'est-ce pas, là il y a quand même, dans tant et tant de siècles - (il a suivi le nombre d'années exact) - eu tel et tel événement, avec telles ou telles conséquences essentielles" Ou: " comme le fait votre célèbre écrivain - (il a suivi le nom) - a exercé avec son beaucoup publié écrit une puissante influence de telle et telle sorte sur le développement ultérieur de la nation tchèque ". Les auditeurs adjacents t vu que la personne ainsi traitée e émerveillée et toujours plus étonnée. Moi même lorsque je délaissais l'auditorium, passait par hasard devant elle et entendis comment il a dit, à moitié à elle-même, à moitié à passant près d'elle : «Non, que quelqu'un puisse savoir du peuple tchèques, je ne l'aurais jamais pensé ! " Son "mais "a été réduit au silence pour le reste du cours.

Ein Teilnehmer der anderen Art, der allen Gutwilligen bereits zur Last geworden war mit seinen stets unsachlichen oder überflüssigen Einwänden, erhob am Ende eines Geschichts-Seminars, in dem über die geistige Gliederung der Menschheit in eine asiatisch-östliche, eine anglo-amerikanisch-westliche und zwischen beiden vermittelnde europäische Gruppe gesprochen worden war, seine Stimme: „Was aber mit Tschechoslowakei?" Schon versuchten die Diskussionsleiter — sicher unter Zustimmung aller Gutwilligen — den Einwurf fallen zu lassen und das Seminar zu schließen, als Rudolf Steiner sich eilig erhob und, in die Zuhörerschaft weisend, sagte: „Der Herr da hinten hat eine sehr interessante Frage gestellt, die ich gerne beantworten würde. Allerdings würde ich dazu etwa dreiviertel Stunden Zeit brauchen." Er fragte, ob man ihm diese am nächsten Tag einräumen könne, was selbstverständlich bejaht wurde. — Am folgenden Tag, zur festgesetzten Zeit, gab Rudolf Steiner vor dicht besetztem Zuhörerraum eine bis in die erstaunlichsten Einzelheiten gehende Überschau der Geschichte des tschechischen Volkes mit dem Blickpunkt, dessen besondere geistige Aufgabe als Brückenbildner zwischen der mitteleuropäischen und der osteuropäisch-slawischen Geistigkeit aufzuzeigen. Dabei sprach er den Fragesteller wiederholt in dieser und ähnlicher Art an: „Nicht wahr, da hat es doch im soundsovielten Jahrhundert — (es folgte die genaue Jahreszahl) — das und das Ereignis gegeben, mit den und den wesentlichen Folgen." Oder: „Da hat Ihr bekannter Schriftsteller — (es folgte der Name) — mit seiner im Jahre soundsoviel veröffentlichten Schrift einen so starken Einfluß dieser und dieser Art auf die Weiterentwicklung des tschechischen Volkes ausgeübt." Benachbarte Zuhörer sahen den also Angesprochenen staunend und immer staunender dasitzen. Ich selber kam, als ich den Vortragsraum verließ, zufällig an ihm vorbei und hörte, wie er halb vor sich hin, halb zu einem neben ihm Gehenden sagte: „Nein, daß jemand so viel kann wissen von tschechisches Volk, ich nie hätte gedacht!" Sein „Aber" war für die restliche Zeit des Kursus verstummt.

Un troisième incident, qui m'a aussi donné la lumière rédemptrice au problème oppressif de la relativité, a été le suivant. Certains représentants de la science dominante avaient suivi le cours d'études supérieures comme une occasion de demander à Rudolf Steiner un débat sur un certain nombre de thèses fondamentales telles que la nature électromagnétique ondulatoire de la lumière, la structure atomique de la matière, la relativité du mouvement, et l'invitation a été acceptée. Dans la discussion sur la validité de la théorie de la relativité a été tentée par l'un des discutants, de démontrer cette validité d'une manière plus ludique en frottant une allumette sur une boite d'allumettes tenue immobile de l'autre main et amenée à brûler; puis allumé un deuxième petit morceau de bois en ce qu'inversement il soit tenue tranquille et la boite déplacée le long de lui. Ce sur quoi Rudolf Steiner assez calme et comme il semblait, souriant un peu malicieux répondit: «Je voudrais bien savoir comment vous livreriez votre preuve, si je cloue la boîte là sur le mur?" - C'était clair: Pour mener à bien la deuxième sorte d'allumage , celui qui devrait tenir l'allumette immobile, devrait se rendre au-delà de la Terre à un espace en quelque sorte fixé, puis déplacer à partir de là toute la terre avec les bâtiments qui s'y trouvent ainsi attaché et bouger cette boîte le long de son allumette long. - De cette manière, Rudolf Steiner dévoila le fait désigné que la théorie de la relativité travaille avec des «représentations inapplicables».

Ein drittes Geschehnis, das mir zugleich erlösendes Licht auf das mich bedrängende Problem der Relativitätstheorie warf, war das folgende. Einige Vertreter der herrschenden Naturwissenschaft hatten den Hochschulkurs zum Anlaß genommen, Rudolf Steiner zu einer Aussprache über eine Anzahl grundlegender Thesen wie der elektromagnetischen Wellennatur des Lichtes, der atomistischen Struktur der Materie, der Relativität der Bewegung aufzufordern, und die Aufforderung war angenommen worden. In der Diskussion über die Gültigkeit der Relativitätstheorie wurde von einem der Diskutanten versucht, diese Gültigkeit in etwas spielerischer Weise zu demonstrieren, indem er ein Zündholz an einer mit der andern Hand unbeweglich gehaltenen Zündholzschachtel rieb und zum Brennen brachte; dann ein zweites Hölzchen entzündete, indem er umgekehrt dieses stillhielt und die Schachtel an ihm entlang bewegte. Worauf Rudolf Steiner ganz ruhig und wie es schien, leicht verschmitzt lächelnd erwiderte: „Ich wüßte gerne, wie Sie Ihren Nachweis liefern würden, wenn ich die Schachtel dort an die Wand nagelte?" — Es war klar: Um die zweite Art des Entzündens auszuführen, hätte einer, der das Streichholz unbeweglich halten sollte, sich außerhalb der Erde auf einen räumlich irgendwie fixierten Standort begeben müssen, um dann von dort aus die ganze Erde mit dem darauf befindlichen Gebäude und der an diesem befestigten Schachtel an seinem Streichholz entlang zu bewegen. — Auf solche Weise enthüllte Rudolf Steiner die von ihm wiederholt so bezeichnete Tatsache, daß die Relativitätstheorie mit „unvollziehbaren Vorstellungen" arbeitet.

Parmi les représentants des thèses de science de la nature, il y avait aussi un physicien théoricien bien connu - aujourd'hui l'un des leaders dans ce domaine, jadis au début de son ascension, - chez qui j'avais moi-même peu avant entendu un collègue sur la théorie de l'électron. Plus tard dans la discussion, celui-ci se signala et a fait la constatation en faveur de la théorie, que pour notre observation il n'aurait aucun point de vue à partir duquel un mouvement cosmique, approximativement celle d'une planète pourrait être autrement observé parce que, comme à l'autre objet cosmique d'observation relatif et que nous n'avons donc pas le droit d'utiliser un tel mouvement dans notre évaluation scientifique, autrement qu'un relatif. Rudolf Steiner a répondu comme suit: Il a demandé de se représenter deux personnes assises alentour dans un parc sur un banc qui donc toutes deux sont dans le même état extérieur du mouvement, mais se différencient en cela que l'une respire normalement et montre une couleur de peau normale, l'autres par contre, est très rouge, son front couvert de sueur et la respiration accélérée. Comme il sera même évident pour la différence observée dans l'état physiologique des deux personnes, que l'une - quand aussi en ce cas précédent temporellement l'observation, dans un autre état absolu de mouvement que l'autre. De même, on pourrait en venir en science à observer certains symptômes dans les corps planétaires individuels, auxquels l'état absolu du mouvement se laisserait en lire de même.

Unter den Vertretern der naturwissenschaftlichen Thesen befand sich auch ein bekannter theoretischer Physiker — heute einer der Führenden auf diesem Gebiet, damals am Beginne seines Aufstiegs, — bei dem ich selber nicht lange zuvor ein Kolleg über Elektronentheorie gehört hatte. Im weiteren Verlauf der Diskussion meldete sich dieser und machte zugunsten der Theorie die Feststellung, daß es für unsere Beobachtung keinen Standpunkt gäbe, von dem aus eine kosmische Bewegung, etwa diejenige eines Planeten, anders beobachtet werden könne denn als eine zu einem anderen kosmischen Beobachtungsobjekt relative, und daß wir daher auch kein Recht hätten, eine solche Bewegung in unsere wissenschaftliche Beurteilung anders einzusetzen denn als eine relative. Rudolf Steiner erwiderte folgendermaßen: Er ersuchte, sich zwei etwa in einer Parkanlage auf einer Bank sitzende Personen vorzustellen, die sich also beide im gleichen äußeren Bewegungszustande befinden, sich aber dadurch voneinander unterscheiden, daß die eine normal atmet und eine normale Hautfarbe zeigt, die andere dagegen stark gerötet ist, die Stirn von Schweiß bedeckt hat und stark beschleunigt atmet. Da werde doch an dem beobachtbaren Unterschied des physiologischen Zustandes der beiden Personen evident, daß sich die eine — wenn auch in diesem Falle der Beobachtung zeitlich vorangehend -- in einem anderen absoluten Bewegungszustand befunden hat als die andere. Ähnlich würde man in der Wissenschaft dahin kommen, gewisse Erscheinungen an den einzelnen planetarischen Körpern zu beobachten, an denen sich der absolute Bewegungszustand derselben ablesen ließe.

Pour moi-même c'était comme si en cet instant un rideau s'ouvrait et une vue était autorisée dans l'empire bien-aimé de nouvelles possibilités de connaissances. Enchanté, cela a mûrit en moi: Voici la vraie science! Parce qu'ici une hypothèse n'est pas mise en face d'une autre, mais à l'expérience limitée est répondu par l'expérience ou l'expérience possible étendue réelle! - Au même instant que ce physicien a fait un bond de sa chaise et cria d'une grande excitation et avec insistance des gestes: «Oui, oui, cela devrait une fois être possible, alors la théorie de la relativité chute" Pendant un moment, il y eut un silence dans la salle, puis le débat continua. Sans m'en rendre jadis clairement compte, j'avais quand même l'impression immédiate que dans le destin de l'entéléchie de ce physicien, quelque chose se déroulait qui avait beaucoup plus d'importance que la reconnaissance ou le rejet de la déclaration des spirituelle-scientifique. Rudolf Steiner l'avait, dans la connaissance intuitive de sa personnalité, aidé en ce qu'il - et absolument tout au long du débat - n'a pas adopté la moindre tentative pour rendre nécessaire à ses adversaires de reconnaître la justesse de sa vision et l'inexactitude de la leur ; il exposait seulement une fois de plus avec une sécurité pacifique face à tous les auditeurs, ce qu'avait à dire une approche réaliste de la chose particulière.

Mir selber war es, als ob sich in diesem Augenblick ein Vorhang öffnete und ein Blick verstattet würde in das ersehnte Reich neuer Erkenntnismöglichkeiten. Beglückt rief es in mir: Hier ist wahre Wissenschaft! Denn hier wird nicht eine Hypothese der andern gegenübergestellt, sondern begrenzte Erfahrung wird mit real erweiterter Erfahrung oder Erfahrungsmöglichkeit beantwortet! — Im gleichen Augenblick sprang jener Physiker von seinem Stuhl auf und rief in großer Erregung und nachdrücklich gestikulierend: „Ja, ja, sollte das einmal möglich werden, dann stürzt die Relativitätstheorie!" Für einen Augenblick war es still im Saal, dann ging die Aussprache weiter. Ohne mir damals deutlich Rechenschaft zu geben, hatte ich doch den unmittelbaren Eindruck, daß sich im Schicksal der Entelechie dieses Physikers Wesentliches vollziehe, etwas, das weit größere Bedeutung hatte als seine Annerkennung oder Ablehnung der geisteswissenschaftlichen Aussage. Rudolf Steiner hatte, in intuitiver Erkenntnis seiner Persönlichkeit, ihm hierzu verholfen, indem er — wie überhaupt in der ganzen Aussprache — nicht den leisesten Versuch unternahm, seinen Opponenten die Anerkennung der Richtigkeit seiner und der Unrichtigkeit ihrer Anschauung abzunötigen; er stellte nur immer wieder mit ruhiger Sicherheit vor alle Zuhörer hin, was eine realistische Betrachtungsweise zu der jeweiligen Sache zu sagen hatte.

Les derniers mots de Rudolf Steiner, puis des conférences a été reproduit dans le texte, mais sur un ton directeur est a entendre qu'il a de nouveau laisser résonner un an et demi plus tard, retentisse dans une situation significative changée :

Das Schlußwort von Rudolf Steiners damaligen Vorträgen sei im Wortlaut wiedergegeben, ist doch darin ein Leitton zu hören, den er anderthalb Jahre später in bedeutsam veränderter Situation wieder aufklingen ließ:

"Il est généralement pas mon habitude de compter avec des phrases, même si les phrases sont donc sacrées, mais j’aimerais partout revenir à ce qui est la simple expression de la vérité. Il se présente comme une phrase magnifique souvent dans notre littérature et l'histoire spirituelle comme le dernier mot du Goethe mourant: lumière, plus de lumière! Maintenant, Goethe reposait dans sa petite chambrette dans un coin sombre, quand il était en train de mourir, et la fenêtre en face avait des volets fermés. J'ai à croire de ma connaissance de Goethe toutes les raisons de croire que le mot a signifié la simple vérité, ouvrez les volets! Mais en ce que je procède donc en hérétique avec une phrase pompeuse vis-à-vis de mon bien-aimé et vénéré Goethe, j’aimerais quand même aussi appeler au mot plus simple à la fin de notre travail de cours en disant: vous, mes collègues vénérables étudiants, je vous appelle à, en que nous nous sentons avec vous dans la salle, qui ouvre la fenêtre vers la connaissance spirituelle ... Je vous en appelle à partir de l'esprit qui nous a guidé a cela, vous en appeler, j'appelle : ouvrez les volets ! "

Es ist im allgemeinen nicht meine Gewohnheit, mit Phrasen zu rechnen, auch dann, wenn die Phrasen altgeheiligt sind, sondern ich möchte überall auf dasjenige zurückgehen, was der schlichte Ausdruck der Wahrheit ist. Es steht als eine prunkvolle Phrase vielfach in unseren Literatur- und Geistesgeschichten als letztes Wort des sterbenden Goethe: Licht, mehr Licht! Nun, Goethe lag in seinem kleinen Kämmerchen in einer finsteren Ecke, als er am Sterben war, und das gegenüberliegende Fenster hatte zugemachte Fensterläden. Ich habe aus meiner Goethe-Kenntnis heraus alle Ursache zu glauben, daß das Wort in schlichter Wahrheit geheißen hat: Machet die Fensterläden auf! Aber indem ich damit ketzerisch verfahre mit einer prunkvollen Phrase meinem geliebten und verehrten Goethe gegenüber, möchte ich doch auch das schlichtere Wort am Schlusse unserer Kursarbeit Ihnen zurufen, indem ich sage: Ihnen, meine verehrten Kommilitonen, Ihnen rufe ich zu, indem wir uns mit Ihnen fühlen in dem Raum, der die Fenster öffnet nach geistiger Erkenntnis ... Ihnen rufe ich zu aus dem Geiste heraus, der uns angeleitet hat dazu, Sie hierher zu rufen, Ihnen rufe ich zu: Machet die Fensterläden auf!"

Dix-huit mois plus tard, en Octobre 1922, des jeunes se réunirent en nombre autour de Rudolf Steiner - maintenant non plus pour entendre purement sur les possibilités d'un renouveau des sciences, mais pour obtenir des réponses sur des questions essentielles de leur développement à l'humain et pour obtenir des instructions pour les tâches à venir dans la vie sociale face au chaos s'introduisant déjà dans l'humanité. Encore une fois Rudolf Steiner plaça la phrase qu'on avait attribuée à Goethe, vis-à-vis de sa propre expression, mais maintenant dans une autre tonalité caractéristique de son discours à cette jeunesse : "Peut-être la vraie parole de Goethe est à mieux utiliser que la phrase : plus de lumière. C'est déjà une fois, par ce qui a pût être retrouvé à la fin du XIXe siècle que le sentiment a pu être suscité : ils ont fermé les volets, ceux qui nous ont précédés. Et là est venue la jeune génération et se sentait à l'étroit, a eu le sentiment que les volets doivent être ouverts, que l'ancienne génération a fermé de façon si étanche. Oui, mes chers amis, j'aimerais vous promettre, quand aussi je suis vieux, de parler dans le plus éloigné de la façon dont nous pouvons maintenant essayer d'obtenir les volets ouverts. "

Anderthalb Jahre später, im Oktober 1922, scharten junge Menschen sich um Rudolf Steiner — nun nicht mehr, um bloß über die Möglichkeit einer geistigen Erneuerung der Wissenschaften zu hören, sondern um Antwort zu erhalten auf wesentliche Fragen ihrer eigenen Entwicklung zum Menschen und um in dem bereits hereinbrechenden Menschheitschaos Weisungen für bevorstehende Aufgaben im sozialen Leben zu empfangen. Wieder stellte da Rudolf Steiner der Phrase, die man Goethe angedichtet hatte, seinen wahren Ausspruch gegenüber, aber nun in einer für sein Sprechen zu dieser Jugend charakteristischen, anderen Tonart: „Vielleicht ist der wahre Ausspruch Goethes besser zu gebrauchen als die Phrase: Mehr Licht. Es ist schon einmal durch dasjenige, was vorgefunden werden konnte am Ende des neunzehnten Jahrhunderts die Empfindung erregt worden: Die haben ja die Fensterläden zugemacht, die uns vorangegangen sind. Und da kam die junge Generation und fühlte sich beengt, hatte das Gefühl, es müssen die Fensterläden aufgemacht werden, die die alte Generation so fest zugemacht hat. Ja, meine lieben Freunde, ich möchte Ihnen versprechen, wenn ich auch alt bin, im ferneren davon zu reden, wie wir nun versuchen können, die Fensterläden aufzukriegen."

Ce furent les mots avec lesquels Rudolf Steiner conclût le discours d'ouverture de cette série de treize conférences que nous décrivons «cours pédagogique à la jeunesse» ou simplement «Cours à la jeunesse», et qui a été en outre appelé de cette façon. (Réimpression 1953: "forces spirituelles à l’œuvre dans la coexistence des générations jeunes et vielles", avec un texte rédige par l'éditeur par ses efforts, Rudolf Steiner façonna chaleureusement lâche la manière de parler à la mesure d'un livre, les conférences ont toutefois beaucoup perdu de leur atmosphère originelle.) Le cours était à bien des égards un événement inhabituel dans la vie du mouvement anthroposophique, il était venu en l'état par un groupe en partie de tous jeunes gens qui s'étale tourné immédiatement vers Rudolf Steiner, en contournant les fonctionnaires d'alors de la société anthroposophique comme aussi les personnalités actives en ce temps à Stuttgart. En outre, les jeunes participants se trouvaient avant le début du cours dans une situation difficile. Lors des entretiens préliminaires, il fut dit des négociateurs de la jeunesse à Rudolf Steiner qu'ils trouvaient trouver, toutes les réunions précédentes et des cours du mouvement anthroposophique beaucoup trop des «programme»; là dessous le développement créatif des forces individuelles en souffrait. Tout cela était encore trop «XIXe siècle». Rudolf Steiner entendait cela avec intérêt nettement positif et a promis le cursus dans ce sens. Après cela, les concernés se sont mis en chemin pour intéresser d'autres jeunes. Mais quelle fut leur horreur quand peu avant le début du cours , ils entendirent que le Dr Steiner se serait demandé quelle était l'intention avec ce cours : il ne le savait pas. Les représentants de la jeunesse lui avait présentes maints souhaits , mais pas clairement indiqué ce qu'ils voulaient maintenant eux-même. Un de nous est allé à lui, pour entendre de sa bouche ce qui était en réalité. La réponse a été : nous lui aurions fait savoir notre aversion aux «programmes», il a donc voulu tenir le cours demandé sans aucun programme. Comme il a appris que nous avions pris rendez-vous pour le rencontrer un ou deux jours avant le début des conférences pour préparer le travail avec lui; nous devons donc utiliser ce temps pour que devienne clair pour nous le thème de la première conférence. Ce que nous devrions lui l'annoncer à sa venue. Après la première conférence, nous devrions de ce qui a été communiqué à nous, voir le sujet pour la deuxième conférence, et ainsi de suite. "De cette façon, nous voulons construire le cours sans programme préconçu ensemble." - Jadis nous avons eu un avant-goût de son acharnement envers nous méthode choisie, renvoyés à notre propre initiative, au moins une premier pas d'attendre de nous bien que lui-même nous offrait sa main pour une assistance supplémentaire.

Das waren die Worte, mit denen Rudolf Steiner den Eröffnungsvortrag jener Reihe von dreizehn Vorträgen beschloß, die wir als „Pädagogischen Jugendkurs" oder schlechthin „Jugendkurs" bezeichneten, und die weiterhin so bezeichnet worden sind. (Neudruck 1953: „Geistige Wirkenskräfte im Zusammenleben von alter und junger Generation", mit einem vom Herausgeber redigierten Text, durch dessen Bemühen, Rudolf Steiners herzlich-lockere Sprechweise buchmäßig zu gestalten, die Vorträge allerdings manches von ihrer ursprünglichen Stimmung eingebüßt haben.) Der Kurs war in mehrfacher Hinsicht ein ungewöhnliches Ereignis im Leben der anthroposophischen Bewegung, war er doch zustande gekommen durch eine Gruppe zum Teil ganz junger Leute, die sich unmittelbar an Rudolf Steiner gewandt hatten, unter Umgehung sowohl der damaligen Funktionäre der Anthroposophischen Gesellschaft wie auch der zu jener Zeit in Stuttgart tätig wirkenden Persönlichkeiten. Zudem sah sich die junge Teilnehmerschaft vor Beginn des Kursus in einer schwierigen Lage. Bei der Vorbesprechung war von den Sprechern der Jugend zu Rudolf Steiner gesagt worden, sie fänden, alle bisherigen Tagungen und Kurse der anthroposophischen Bewegung enthielten allzuviel „Programm"; darunter leide die schöpferische Entfaltung der individuellen Kräfte. Es sei das alles noch zu sehr „neunzehntes Jahrhundert". Rudolf Steiner hörte sich dies mit sichtlich positivem Interesse an und versprach, den Kursus in diesem Sinne zu halten. Danach begaben sich die Betreffenden auf die Reise, um andere junge Menschen dafür zu interessieren. Wie groß aber war ihr Schrecken, als sie nicht lange vor Beginn des Kursus hörten, Dr. Steiner habe sich auf Befragen, was denn mit diesem Kursus beabsichtigt sei, dahin geäußert: das wisse er auch nicht. Die Vertreter der Jugend hätten ihm mancherlei Wünsche vorgetragen, aber sich nicht klar geäußert, was sie nun eigentlich selber wollten. Einer von uns reiste zu ihm, um aus seinem Munde zu hören, was in Wirklichkeit vorlag. Die Antwort lautete: Wir hätten ihm doch unsere Abneigung gegen „Programme" kundgetan, also wolle er den erbetenen Kurs ganz ohne Programm halten. Wie er erfahren habe, hätten wir uns verabredet, ein bis zwei Tage vor Beginn der Vorträge zusammenzukommen, um uns auf die Arbeit mit ihm vorzubereiten; so sollten wir diese Zeit dazu benutzen, uns über das Thema des ersten Vortrages klar zu werden. Dieses sollten wir ihm bei seiner Ankunft bekanntgeben. Nach dem ersten Vortrag sollten wir aus dem, was uns mitgeteilt worden, das Thema für den zweiten Vortrag finden, und so fort. „Auf diese Weise wollen wir den Kurs ganz ohne vorgefaßtes Programm miteinander aufbauen." — Damals bekamen wir einen Vorgeschmack von seiner unerbittlich uns gegenüber eingeschlagenen Methode, uns auf unsere eigene Initiative zurückzuweisen; zum mindesten einen ersten Schritt von uns abzuwarten, ehe er selber seine Hand zu konkreter weiterer Führungshilfe bot.

Jamais auparavant, ni depuis, les humains ont sûrement été si reconnaissants pour le non-venir de Rudolf Steiner, comme jadis les jeunes réunis, qui par deux jours et demi ont toujours de nouveau reçu la nouvelle téléphonique de Dornach, malheureusement le Dr Steiner ne pouvait toujours pas répondre. Cela nous donnait-il plus de temps pour trouver thème dans la lourde lutte pour formuler un thème qui correspondait aà notre situation spirituelle. Mais avions à peine trouvé qu'est aussi venue déjà l'annonce, le Dr Steiner venait de quitter Dornach.

Niemals vorher noch nachher sind Menschen wohl so dankbar gewesen für Rudolf Steiners Nicht-Kommen wie die damals versammelten jungen Leute, denen durch zweieinhalb Tage immer wieder aus Dornach die telephonische Nachricht zukam, Herr Dr. Steiner könne leider immer noch nicht abkommen. Gab es uns doch weitere Zeit, in schwerem Ringen die Formulierung eines Themas zu finden, das unserer geistigen Situation entsprach. Kaum hatten wir es aber gefunden, kam auch bereits die Mitteilung, Dr. Steiner sei soeben aus Dornach abgefahren.

Ponctuel au temps spécifié, il a arriva. Quand même, lorsque le sujet lui fut cité, à notre grande surprise, il ne sembla pas l'intéresser particulièrement. Il a dit amicalement qu'il ferait d'abord une conférence de salutation. Ce qui y fût parlé contenait comme dans une thématique close, tout ce pour quoi nous avions lutté dans les jours avant. D'un autre sujet, rien ne nous a été demandé durant les douze jours. De toute évidence, dans les jours de notre lutte était quelque chose s'était produit spirituel parmi nous, qui était suffisant pour lui comme condition de sa parole.

Pünktlich zur angegebenen Zeit traf er ein. Doch als ihm das Thema genannt wurde, schien es ihn zu unserer Überraschung gar nicht besonders zu interessieren. Er sagte nur freundlich, er würde zunächst einen Begrüßungsvortrag halten. Was darin gesprochen wurde, enthielt wie in geschlossener Thematik alles, worum wir in den Tagen vorher gerungen hatten. Nach einem weiteren Thema wurden wir alle zwölf Tage hindurch nicht gefragt. Offensichtlich war in den Tagen unseres Ringens unter uns etwas geistig vorgegangen, das ihm als Vorbedingung seines Sprechens genügte.

Par l'approche de notre pouvoir propre de procéder, de nous tourner directement vers le Dr Steiner, le sentiment nous avait conduit à nous tenir dans une sorte particulière à l'intérieur mouvement anthroposophique; celà nous contraignait à des questions qui sont restées sans réponse fertile des membres plus âgés. Nous avons cru aussi de ne pas trouvé dans le spirituel existant et les conférences tenues jusqu'à présent, l'aide dont nous avions besoin. Nous étions à la recherche pour plus de clarté sur ce que nous voulions nous voulions savoir comment nous pourrions tout de suite comme jeunes, nous entraîner/exercer, pour devenir une fois co-créative dans la nouvelle culture, après laquelle l'humanité progressiste réclamait. Nous voulions avant tout savoir comment on pouvait parvenir"du parler sur l'esprit au parler à partir de l'esprit" comment l'esprit pourrait fluer dans les diverses activités professionnelles, où nous allions grandir. Ainsi qu'alors, nous remuait la question de comment une communauté humaine au sens de l'esprit de notre temps peut être formé et cultivé. Nous avons vu comme un but en face de nous, de créer les bases pour une «pédagogie de culture» à la mesure du temps, en particulier e pédagogie de la jeunesse.

Zu dem eigenmächtigen Vorgehen, uns direkt an Dr. Steiner zu wenden, hatte uns das Empfinden geführt, in besonderer Art innerhalb der anthroposophischen Bewegung zu stehen; das nötigte uns Fragen auf, die von den älteren Mitgliedern nicht fruchtbar beantwortet werden konnten. Auch glaubten wir, in dem vorhandenen Geistesgut und den bisher gehaltenen Vorträgen nicht jene Hilfe zu finden, die wir brauchten. Wir suchten nach Klarheit über das, was wir wollten; wir wollten wissen, wie wir gerade als junge Menschen uns schulen konnten, um einmal schöpferische Mitgestalter an der neuen Kultur zu werden, nach der die fortschreitende Menschheit verlangte. Wir wollten vor allem wissen, wie man „vom Reden über den Geist zum Reden aus dem Geiste heraus" gelangen könne, wie Geist einfließen könne in die verschiedenen beruflichen Betätigungen, in die wir dabei waren hineinzuwachsen. Sodann bewegte uns die Frage, wie eine menschliche Gemeinschaft im Sinne des Geistes unserer Zeit gebildet und gepflegt werden könne. Wir sahen als Ziel vor uns, Grundlagen zu schaffen für eine zeitgemäße „Kulturpädagogik", im besonderen eine Jugendpädagogik.

Sur celles de ses conférences Rudolf Steiner a déclaré plus tard qu'il avait été en mesure de parler si figurativement grâce à la nature de son auditoire comme rarement avant. Vraiment. conférence sur conférence il amena une série d'images se déployant. Dès le début, il a parlé de la Gefühlsnot/la misère du sentiment, dans laquelle la jeunesse se sentait transposée au début de ce siècle, parce qu' lui était opposé de nombreux "points de vue" de sorte d'une conception du monde par l'ancienne génération. Ces positions, seraient toutes arrivés sur une croûte de glace. "L'âge de glace spirituel était venu. Seulement la glace était mince, et parce que les points de vue des humains avait perdu la sensation pour leur propre poids, ainsi ils ne se brisent pas à travers la croûte de glace. En dehors de cela, ils étaient froids dans leur cœur, ils ne réchauffaient pas la croûte. Les plus jeunes se tenaient à côté les vieux, les plus jeunes avec les cœurs chauds qui ne parlait pas encore, mais il était chaud. Cela a cassé travers la croûte de glace et le jeune ne sentait pas : ceci est mon point de vue, mais le jeune sentait: .. Je perds le sol sous les pieds. Ma propre chaleur de cœur se brise sur cette glace ". Cette glace, disait-il, s'était contracté de !a phrases, de la convention et de la routine: phrase qui a emménagée dans la vie de l'esprit, lorsque dans le dernier tiers du XIXe siècle les pensées se sont arrêté d'être pulsées par l'âme; convention, qui a dominé la vie sociale, plutôt que se forme la véritable communauté humaine ; routine qui a pris la place de l'engagement volontaire personnel dans l'action pratique des humains.



Über diese seine Vorträge hat Rudolf Steiner späterhin geäußert, er habe dank der Natur seiner Zuhörer so bildhaft sprechen können wie kaum je zuvor. Wirklich. brachte Vortrag auf Vortrag eine sich herausentfaltende Reihe von Bildern. Gleich anfangs sprach er von der Gefühlsnot, in die sich die Jugend am Beginne unseres Jahrhunderts versetzt fühle dadurch, daß ihr von der älteren Generation lauter „Standpunkte" weltanschaulicher Art entgegengehalten würden. Diese Standpunkte aber seien alle auf einer Eiskruste angekommen. „Die geistige Eiszeit war gekommen. Nur daß das Eis dünn war, und da die Standpunkte der Menschen die Empfindung für ihr eigenes Gewicht verloren hatten, so durchbrachen sie nicht die Eiskruste. Sie waren außerdem in ihren Herzen kalt, sie erwärmten die Eiskruste nicht. Die Jüngeren standen neben den Alten, die Jüngeren mit dem warmen Herzen, das noch nicht sprach, aber warm war. Das durchbrach die Eiskruste. Und der Jüngere fühlte nicht: Das ist mein Standpunkt, sondern der Jüngere fühlte: Ich verliere den Boden unter den Füßen. Meine eigene Herzenswärme bricht dieses Eis auf." Dieses Eis, sagte er, habe sich zusammengezogen aus Phrase, Konvention und Routine: Phrase, die eingezogen ist in das Geistesleben, als im letzten Drittel des neunzehnten Jahrhunderts die Gedanken aufhörten, von Seele durchpulst zu sein; Konvention, die das soziale Leben beherrschte, anstatt daß wirkliche menschliche Gemeinschaft sich bildete; Routine, die im praktischen Tun der Menschen an die Stelle des persönlichen Willenseinsatzes getreten ist.

Lorsque Rudolf Steiner a utilisé de telles images, ce ne fut pas purement le vêtement artistique pour un fait à exprimer dépourvu d'image. Ce qui opprimait les jeunes humains, étain donc pour essentiel des expériences de sensation qui ne sont pas venus à une compréhension complète. La vie de sensation de l'humain, se joue une étendue de conscience, qui ressemble à celle de la conscience de rêve. Comme nous rêvons en images, nous ressentons aussi en images, seulement elles ne nous arrivent pas sans plus à la contemplation. Cela leur permet de tourmenter. Rudolf Steiner a mis en évidence ces images de la jeunesse dans la conscience. De même, quand il a parlé de la «science» comme d'une entité. Une fois qu'on a fait sa connaissance, elle vous a toujours de nouveau été présentée, ainsi on a la perspicacité - (dans ce grade, seul Rudolf Steiner l'avait probablement, qui déjà en tant que jeune humain pouvait vivre consciemment ce que nous rêvons seulement) - "que s'est de côté furtivement, timidement, parce qu'elle ne s'est plus ressentie tolérée, une autre entité. Elle vous a alors dit quand même quànd on a été aiguillonné, de parler derrière en secret avec elle.: j'ai un nom qui ne se laisse plus permettre d'être nommé devant la science objective. Je m'appelle philosophie, m'appelle Sophia : sagesse. J’ai le prénom honteux de l'amour (philo) et ai quelque chose qui est déjà cloué par son nom. qu'il a quelque chose à faire avec l'intériorité humaine, avec l'amour. Je ne peux pas me laisser voir, je dois marcher autour timide/honteuse! "

Wenn Rudolf Steiner solche Bilder gebrauchte, war es nicht bloß künstlerische Einkleidung einer an sich bildlos aussprechbaren Tatsache. Was die jungen Menschen bedrängte, waren ja im wesentlichen Gefühlserfahrungen, die nicht zum vollen Verstehen kamen. Das Gefühlsleben des Menschen aber spielt sich auf einer Bewußtseinsebene ab, die der des Traumbewußtseins gleicht. Wie wir in Bildern träumen, so fühlen wir auch in Bildern, nur daß uns diese nicht ohne weiteres zur Anschaubarkeit kommen. Dadurch können sie quälen. Rudolf Steiner hob diese Bilder der Jugend ins Bewußtsein. So auch, wenn er von der „Wissenschaft" sprach als einer Wesenheit. Hat man einmal ihre Bekanntschaft gemacht, ist sie einem immer wieder vorgestellt worden, so hat man die Einsicht — (in diesem Grade hatte sie wohl nur Rudolf Steiner, der schon als junger Mensch bewußt erleben konnte, was wir nur träumten) — „daß sich seitwärts hinweggeschlichen hat, verschämt, weil sie sich nicht mehr geduldet gefühlt hat, eine andere Wesenheit. Die sagte einem dann doch, wenn man aufgestachelt wurde, hinten im Verborgenen mit ihr zu reden: Ich habe einen Namen, der sich vor der objektiven Wissenschaft nicht mehr nennen darf. Ich heiße Philosophie, heiße Sophia: Weisheit. Ich habe halt den schändlichen Vornamen von der Liebe (philo) und habe etwas, was schon durch seinen Namen angenagelt ist, daß es etwas zu tun hat mit menschlicher Innerlichkeit, mit der Liebe. Ich kann mich nicht mehr sehen lassen, ich muß verschämt herumgehen!"

Avec de tels mots, Rudolf Steiner ne voulait pas voulu rendre la jeunesse arrogante envers la science et ses conquêtes ou à décourager sérieusement ceux qui étudiaient, à poursuivre leurs études. Il avait pourtant dit auparavant, contre une certaine tendance dans le premier mouvement de jeunesse, de mépriser et de fuir la pensée à cause de sa « pâleur » : on a besoin les pensées pour vivre en tant qu'humain, et ces pensées qui nous les quelques derniers siècles ont apporté, nous ne pouvons plus les déposer. Seulement, elles ne doivent pas rester seulement dans la tête, mais être aussi fortement pensées qu'elles fluent vers le bas "à travers le cœur et par l'humain tout entier jusque dans les pieds. Car c'est vraiment mieux si au lieu de purs globules rouges et blancs aussi pensées pulsaient par notre sang ". Il serait correct si l'humain a aussi un cœur et non purement des pensées. "Mais le plus précieux est quand les pensées ont un cœur." Ce n'est pas la science, mais le fonctionnement scientifique qu'il avait à l'esprit quand il a caractérisé le ressentir de la jeunesse de cette manière.

Mit solchen Worten wollte Rudolf Steiner nicht etwa die Jugend gegenüber der Wissenschaft und ihren Errungenschaften überheblich machen oder jene, die studierten, davon abhalten, ihr Studium ernsthaft fortzuführen. Hatte er doch zuvor gegen eine gewisse Tendenz in der ersten Jugendbewegung, den Gedanken seiner „Blässe" wegen zu mißachten und zu fliehen, gesagt: Gedanken brauche man, um als Mensch zu leben, und diejenigen Gedanken, die uns die letzten Jahrhunderte gebracht haben, könnten wir nicht mehr ablegen. Nur sollten sie nicht bloß im Kopfe sitzen bleiben, sondern so stark gedacht werden, daß sie „durch das Herz und durch den ganzen Menschen bis in die Füße hinunterströmen. Denn es ist wahrhaft besser, wenn statt bloßer roter und weißer Blutkörperchen auch Gedanken unser Blut durchpulsen." Es sei richtig, wenn der Mensch auch ein Herz hat und nicht bloß Gedanken. „Aber das Wertvollste ist, wenn die Gedanken ein Herz haben." Nicht die Wissenschaft, sondern den wissenschaftlichen Betrieb hatte er im Sinn, wenn er das Jugend-empfinden in dieser Weise kennzeichnete.

Au cours du cours à la jeunesse, il a parlé de l'importance de la voie, qu'il indique dans sa «Philosophie de la liberté" pour le renforcement du penser. Qui s'efforce, d'exercer vraiment ce qu'il appelle ici la «pensée pure», il expérimente, que cet exercice est un exercice de volonté qui va jusque dans le centre de l'humain. Il conduit à faire l'observation à soi-même que la pensée ordinaire est en effet une pure activité de la tête. On sent alors que l'on commence à ne plus penser "si haut en haut", que l'on commence à penser avec la poitrine "Vous remarquez qu'en ce que la pensée devient toujours de plus en plus une pure activité volitive, elle se conquiert tout d'abord à la poitrine humaine puis à tout le corps humain. C'est comme si vous tiriez cette pensée de la dernière fibre de cellule à votre gros orteil". On y accède à sentir qu'en soi «un nouvel humain intérieur est né qui, à partir de l'esprit peut apporter du déploiement de volonté."

Im Verlaufe des Jugendkursus sprach er von der Bedeutung des Weges, den er in seiner „Philosophie der Freiheit" zur Erkraftung des Denkens angibt. Wer sich anstrengt, das wirklich zu üben, was er dort „reines Denken" nennt, der erlebt, daß diese Übung eine Willensübung ist, die bis in das Zentrum des Menschen geht. Es führt dazu, die Beobachtung an sich selber zu machen, daß das gewöhnliche Denken in der Tat eine bloße Kopftätigkeit ist. Man spürt dann, daß man beginnt, nicht mehr „so hoch oben" zu denken; daß man beginnt, mit der Brust zu denken. „Sie merken, daß, indem das Denken immer mehr und mehr reine Willensbetätigung wird, es sich zuerst der Menschenbrust und dann dem ganzen Menschenkörper entringt. Es ist, als ob Sie aus der letzten Zellfaser Ihrer großen Zehe dieses Denken hervorziehen würden." Man gelangt dazu zu fühlen, daß in einem „ein neuer innerer Mensch geboren ist, der aus dem Geiste heraus Willensentfaltung bringen kann."

Pour parler de sa «Philosophie de la liberté", Rudolf Steiner avait, pendant le cours à la jeunesse répétée la demande parce qu'il est s'agissait pour lui de souligner la signification des intuitions morales qui doivent être sorties de chaque individualité pour toute la vie morale du présent et de l'avenir, et parce que dans ce livre est indiqué le chemin vers de telles capacités intuitives. Pour la quatrième conférence, il est apparu avec un petit carnet de note à la main. Qui était plus familier avec sa manière de travailler, savait qu'il détenait un grand nombre de carnets de notes de toutes les années de travail, dans lequel il cultivait de noter les cours des pensées ou faire des croquis, non pas, comme il disait pour ce qui était inséré la de niveau lire plus tard, mais parce que quelque chose de saisi en esprit se laisse mieux souvenir, lorsque c'est rattaché à un mouvement des membres. Comme il nous a touché les jeunes, lorsque. nous avons remarqué que Rudolf Steiner avait spécialement pris la peine pour nous d'aller à travers ses carnets et en extraire un de 1893 pour nous. Il nous en a lu une recension sur "Principes d'éthique» de Spencer, qui a été publié dans une revue littéraire de ces jours et a déclaré avant que la prestation de maître de Spencer "devait être les dernières tentatives, de fonder des distinctions éthiques sur l'intuition, des sentiments innés, des axiomes évidents, etc., au moins de les faire taire dans la science ".

Von seiner „Philosophie der Freiheit" zu sprechen, hatte Rudolf Steiner während des Jugendkurses wiederholt Veranlassung, weil es ihm darum ging, die Bedeutung moralischer Intuitionen aufzuzeigen, die aus der einzelnen Individualität für alles moralische Leben der Gegenwart und Zukunft herausgeholt werden müssen, und weil in diesem Buche der Weg zu solch intuitivem Vermögen gewiesen wird. Zum vierten Vortrag erschien er mit einem kleinen Notizbuch in der Hand. Wer näher mit seiner Arbeitsweise vertraut war, wußte, daß er eine große Zahl von Notizbüchern aus allen Arbeitsjahren besaß, in die er Gedankengänge niederzuschreiben oder Skizzen zu machen pflegte; nicht, wie er sagte, um das dort Eingetragene später wieder nachzulesen, sondern weil etwas im Geiste Erfaßtes sich besser erinnern läßt, wenn es mit einer Gliedmaßenbewegung verbunden wird. Wie berührte es daher uns junge Leute, als wir bemerkten, daß Rudolf Steiner sich eigens für uns die Mühe gemacht hatte, seine Notizbücher durchzugehen und eines aus dem Jahre 1893 für uns herauszuholen. Daraus las er uns eine Rezension über Spencer's „Prinzipien der Ethik" vor, die in einer literarischen Zeitschrift jener Tage erschienen war und worin es hieß, Spencers Meisterleistung „müsse die letzten Versuche, ethische Unterscheidungen auf Intuition, angeborene Gefühle, selbst augenscheinliche Axiome usw. zu gründen, wenigstens in der Wissenschaft mundtot machen".

Là-dessus, il a commencé à décrire comment il a dû le remettre dans ce temps éthique lacer l'atmosphère de sa «Philosophie de la liberté", qui montre justement que «tous le futur de l'éthique humaine dépend de la force de l'intuition morale à devenir plus forte chaque jour." En décrivant de différents côtés de son opposition radicale à l'opinion dominante de l'époque, il a parlé de lui toujours en mouvement la lutte intérieure dans laquelle il s'était trouvé alors. Mais ce qui semble maintenant clair et liquide dans la postface, il faut se le représenter prononcé dans une haute excitation. Là, se tenait-il en face de nous, une fois encore, le trentenaire, dans la solitude complète vis-à-vis de l'ensemble de l'humanité contemporaine à partir d'une perspicacité spirituelle dans les besoins par des obligations au service du temps auto-imposées, hardiment à élever sa voix contre la tempête du gonflement du matérialisme. Ce qu'il avait vécu, extérieurement laissé, assis dans un café viennois, de dramatique intérieure, cela se tenait maintenant en réalité incarnée en face de nous! C'est à la balustrade de la scène, où il se tenait avec les yeux brillants, la droite qui tenait le carnet de notes portable, martelant la balustrade qu'il a explosé, et d'une voix qui remplissait la salle, il a appelé jusqu'à nous: «Il était donc nécessaire pour moi, mes chers amis, de tenter d'écrire un livre qui tout de suite de manière énergique, défendait/représentait le point de vue qui de manière justement aussi énergique était, par la science cette fois là, comme décrit, à réduire au silence. "-" La recherche après le héros » dont était si souvent parlée dans le mouvement de la jeunesse dans la si souvent mentionnée, - trouva ici son accomplissement ; ici la jeunesse le cœur affligé par le sort du Temps trouva le héros de l'esprit.

Daraufhin begann er zu schildern, wie er in diese ethische Zeit stimmung seine „Philosophie der Freiheit" hineinstellen mußte, die gerade zeigt, daß „alle Zukunft der menschlichen Ethik davon abhängt, daß die Kraft der moralischen Intuition mit jedem Tage stärker werde." Indem er von verschiedenen Seiten her seine radikale Opposition gegen die herrschende Anschauung der Zeit beschrieb, sprach aus ihm immer bewegter der innere Kampf, in dem er sich damals befunden hatte. Was sich heute in der Nachschrift klar und flüssig liest, muß man sich in höchster Erregung gesprochen vorstellen. Da stand er nun vor uns, noch einmal der Zweiunddreißigjährige, der in völliger Einsamkeit gegenüber der ganzen zeitgenössischen Menschheit aus geistiger Einsicht in die Notwendigkeiten, aus selbstauferlegter Pflicht des Dienstes an der Zeit, kühn seine Stimme gegen den anschwellenden Sturm des Materialismus erhob. Was er, äußerlich gelassen in einem Wiener Kaffeehaus sitzend, an innerer Dramatik durchlebt hatte, das stand jetzt in leibhaftiger Wirklichkeit vor uns! An der Balustrade der Bühne stand er mit leuchtenden Augen, die Rechte, die das Notizbuch hielt, hämmerte auf die Balustrade, daß es dröhnte, und mit einer Stimme, die den ganzen Saal erfüllte, rief er zu uns herunter: „Es war also notwendig für mich, meine lieben Freunde, den Versuch zu machen, ein Buch zu schreiben, welches gerade in energischer Weise den Standpunkt vertritt, der in ebenso energischer Weise dazumal von der Wissenschaft als der bezeichnet wurde, welcher mundtot zu machen sei." — „Die Suche nach dem Heros", von der in der Jugendbewegung so oft die Rede war, — hier fand sie ihre Erfüllung; hier fand das von der Not der Zeit bedrängte Herz der Jugend den Heros des Geistes.

Nous sommes retournés à la maison de cette conférence sans grand-chose à dire à l'autre; profondément, nous avons été touchés du vécu. Maint s'est peut-être solennellement promis dans le silence, de faire après Rudolf Steiner dans le déploiement du courage de l'âme spirituelle, et que ce soit toujours si modestement. Plus tard, nous devions apprendre à comprendre plus en détail, en quoi consiste ce courage. Il est le courage de se dire que «la vie du monde doit être rétablie dans ses fondements" Toutefois : "le courage - on l'apprend très vite ou pas du tout"

Wir gingen von diesem Vortrag heim, ohne einander viel zu sagen; zutiefst waren wir berührt von dem Erlebten. Mancher mag sich im stillen gelobt haben, es Rudolf Steiner nachzutun in der Entfaltung geistig-seelischen Mutes, und sei es in noch so bescheidenem Maße. Später sollten wir noch genauer verstehen lernen, worin dieser Mut bestehen soll. Es ist der Mut, sich zu sagen, daß „das Leben der Welt in seinen Fundamenten neu gegründet werden muß". Allerdings: „Mut — den lernt man sehr schnell oder gar nicht."

Notre question :. "Comment parvenons-nous du parler sur l'esprit au parler partir de l'esprit ?" Rudolf Steiner y répondit dans le cours aux jeunes et même plus tard en ce qu'il l'a tout simplement montré pratiquement. En cela, le mot 'simplement` est pensé dans le sens où souvent c'était les choses apparemment simples qu'il a montrées et a vécu dans ce contexte, par ce qu'il a décrit, dans le cours tenu en 1924 par lequel il a fondé la pédagogie curative anthroposophique, comme la «dévotion aux petits». Presque chaque jour, il nous a rencontrés aussi en dehors de ses conférences, alla sur les besoins les plus variés des participants. Il y avait de jeunes sculpteurs qui lui ont montré des échantillons de leur travail, pour solliciter des conseils pour la poursuite des travaux; des poète qui ont obtenu de lui des coups de pouce très particuliers en ce qui concerne le rythme et la rime; journellement, il est venu dans les heures de récitation que nous a donné madame Steiner, a conseillé des exercices de parole, expliqué les sons et nous récitaient deux fois lui-même avant. Parce qu'on s'intéressait pour la peinture, il a aussi donné quelques heures de peinture. Finalement, il était présent à de nombreux débats que les participants au cours ont organisé entre eux.

Unsere Frage: „Wie lernen wir vom Reden über den Geist zum Reden aus dem Geiste heraus zu gelangen?" beantwortete Rudolf Steiner im Jugendkurs und auch späterhin dadurch, daß er es einfach praktisch vormachte. Dabei ist das Wort ,einfach` in dem Sinne gemeint, daß es oft die scheinbar einfachsten Dinge waren, die er in diesem Zusammenhang zeigte und vorlebte, durch das, was er in dem 1924 gehaltenen Kursus, durch den er die anthroposophische Heilpädagogik begründet hat, als die „Andacht zum Kleinen" bezeichnete. Fast täglich traf er sich mit uns auch außerhalb seiner Vorträge, ging auf die mannigfachsten Wünsche der Teilnehmer ein. Da waren junge Bildhauer, die ihm Proben ihrer Arbeiten zeigten, um Ratschläge für die Weiterarbeit zu erbitten; Dichter, die von ihm höchst individuelle Hinweise in Bezug auf Rhythmus und Reim erhielten; täglich kam er in die Rezitationsstunden, die uns Frau Steiner erteilte, gab Sprechübungen an, erklärte die Laute und rezitierte uns zweimal selber vor. Weil man sich für das Malen interessierte, gab er auch einige Malstunden. Schließlich war er bei vielen Aussprachen anwesend, die die Kursteilnehmer untereinander veranstalteten.

Occasionnellement à un tel, un jeune paysan parla de l'être du Christ, ainsi qu'il la comprenait. Quand il s'est aussi abondamment exprimé sans aide, alors nous l'avons entendu, quand même très sérieusement, donc avec un certain respect, ce qui était toutefois principalement le sujet lui-même. Mais quand il a parlé dans la suite de ce que lui avait appris son expérience agricole au sujet du fumier, nous sommes arrivés furtivement le nez dans le sens que ce serait sûrement préférable de ne pas réclamer la présence du Dr Steiner avec de telles choses "ordinaires". Le jour suivant, les porteurs de l'initiative sont apparu à une rencontre avec Rudolf Steiner Il a demandé le nom du paysan et dit à notre grande surprise. ". Ce que le jeune homme a dit sur le Christ était si abondamment insignifiant" Ensuite, il est venu avec un accent sympathique: "Mais ce qu'il a dit à propos du fumier était excellent." Lors de la prochaine réunion, il voudrait volontiers lui-même dire encore quelque chose là-dessus. (Le cours, par lequel la manière de gérer biodynamique fut fondée n'avait pas encore été tenu jadis). Qu'il soit tenter de rendre, non seulement ce qui a alors été expliqué, mais aussi comment il parla.

Gelegentlich einer solchen sprach ein junger Landwirt über das Wesen des Christus, so wie er es verstand. Wenn er sich auch reichlich unbeholfen ausdrückte, so hörten wir ihm doch sehr ernsthaft, ja mit einem gewissen Respekt zu, was allerdings hauptsächlich dem Thema selbst galt. Doch als er im weiteren Verlaufe über das sprach, was ihn seine landwirtschaftliche Erfahrung über den Mist gelehrt habe, rümpften wir verstohlen die Nasen in dem Gefühl, daß man Dr. Steiners Anwesenheit mit solch „gewöhnlichen" Dingen doch wohl besser nicht beanspruche. Am folgenden Tage erschienen die Initiativträger des Kursus zu einer Besprechung bei Rudolf Steiner. Er fragte nach dem Namen des Landwirtes und sagte zu unserem Erstaunen: „Was der junge Mann da über Christus gesagt hat, war ja reichlich unbedeutend." Dann kam es mit freundlichem Nachdruck: „Aber was er über den Mist gesagt hat, das war ausgezeichnet." Bei der nächsten Zusammenkunft wolle er gern selber noch etwas dazu sagen. (Der Kursus, durch den die biologisch-dynamische Wirtschaftsweise begründet wurde, war damals noch nicht gehalten worden). Es sei versucht wiederzugeben, nicht nur was er dann ausführte, sondern auch wie er sprach:

"C'était intéressant ce que vous avez dit comme paysan hier. Je n'ai pas le temps pour un long temps de rester ici, et je vais donc dire au moins brièvement cela. Dans l'agriculture aussi, on cherche le spirituel. Là aussi, on pense que de nouvelles méthodes doivent être trouvées jusque dedans le traitement du matériel. Si vous allez à la science matérialiste actuelle, ainsi vous ne trouverez pas beaucoup d'amour pour l'agriculture. La science actuelle pense que, si on a besoin de tant et tant d'azote dans le champ, on doit l'y apporter dans cette quantité. Là on ne sait pas qu'on a seulement besoin de planter esparcette autour du champ systématiquement pour y obtenir par rayonnement la quantité requise de l'azote. Pour cela suffit déjà assez que l'on plante l'esparcette en une seule rangée autour du champ".

Es war interessant, was Sie gestern als Landwirt gesagt haben. Ich habe nicht Zeit, noch lange hier zu bleiben, und will daher wenigstens kurz dieses dazu sagen. Auch in der Landwirtschaft sucht man das Geistige. Auch dort glaubt man, daß neue Methoden gefunden werden müssen, bis in die Behandlung des Materiellen hinein. Wenn Sie zu der heutigen materialistischen Wissenschaft gehen, so finden Sie nicht viel Liebe für die Landwirtschaft. Die heutige Wissenschaft meint, daß, wenn man so und so viel Stickstoff im Acker braucht, man ihn in dieser Menge in den Acker hineinbringen muß. Da weiß man nicht, daß man nur um den Acker herum systematisch die Esparsette anzupflanzen braucht, um durch Strahlung die nötige Menge Stickstoff in den Acker hineinzubekommen. Dazu genügt schon, daß man die Esparsette in einer einzigen Reihe um den Acker herum pflanzt."

Un courageux parmi nous qui ne savait pas ce qu'est l'esparcette a demandé, et le Dr Steiner a répondu aussitôt et d'ailleurs ainsi que l'on a vécu qu'il n'a pas parlé "sur" cette plante, ni absolument comme quelque chose d'absent, mais ainsi que, par l'intime de l'intonation, la contemplation de son attitude, le mouvement de ses mains, la présence spirituelle immédiate de ce dont il parlait, était expérience profondément impressionnante . L'esparcette 'apparaissait' parmi ses paroles et les gestes. Peut-être que vous pouvez essayer cette empathie si les mots suivants sont lus, qui ont été enregistrées dans le compte rendu.

Ein Mutiger unter uns, der nicht wußte, was eine Esparsette ist, fragte danach, und Dr. Steiner antwortete sogleich und zwar so, daß man erlebte, er sprach nicht ‚über' diese Pflanze, noch überhaupt von ihr als etwas Abwesendem, sondern so, daß durch das Intime des Tonfalles, die Besinnlichkeit seiner Haltung, die Bewegung seiner Hände die unmittelbare geistige Gegenwart dessen, wovon er sprach, tief eindrucksvoll erlebbar wurde. Die Esparsette ,entstand` gleichsam unter seinen Worten und Gesten. Vielleicht kann man dieses nachzuempfinden versuchen, wenn die folgenden Worte gelesen werden, die in der Nachschrift festgehalten wurden.

"Esparcettes — ce sont des plantes — qui ont des inflorescences-papilionacées — qui sont de couleur pourpre/lilas — elles ont des feuilles plumeuses -" Et alors : "Cette plante a la force étrange soi de pénétrer le sol en de longues distances avec ce que les humains veulent y faire venir d'une manière la plus artificielle possible -. Croyez-vous que cela soit absurde ? Non! Ce sont toutefois des choses où l'on voit à travers quand on parvient à réellement pénétrer avec la connaissance de l'esprit dans le matériel.»

Esparsetten — das sind Pflanzen —, die haben Blütenstände — Schmetterlingsblüten —, die sind lilafarbig — sie haben gefiederte Blätter —". Und dann: „Diese Pflanze hat die merkwürdige Kraft in sich, den Boden auf weite Strecken mit dem zu durchdringen, was die Menschen auf eine möglichst künstliche Weise in ihn hineinbringen wollen. — Glauben Sie, das ist Unsinn? Nein! Das sind allerdings Dinge, die man durchschaut, wenn man mit der Geisterkenntnis konkret bis ins Materielle vorzudringen vermag."


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Le cadre d'un article tel que ce rapport est limité dans l'espace. Une grande partie des expériences de la grande "demande de la jeunesse" qui ont suivi dans les années 1923-24, des expériences personnelles en tant que professeur Waldorf, doit être ignoré. Seuls certains aspects qui valent plus en plus aujourd'hui comme alors, oui, qui valent pour la jeunesse grandie entre-temps et les générations suivantes du siècle soient encore ajoutés.

Der Rahmen eines Aufsatzes wie des vorliegenden ist räumlich beschränkt. Vieles von den Erlebnissen um die großen „Jugend-ansprachen", die in den Jahren 1923/24 folgten, von den persönlichen Erfahrungen als Waldorflehrer, muß übergangen werden. Nur einige Aspekte, die heute wie damals gelten, ja, die für die inzwischen herangewachsene Jugend und die noch folgenden Generationen des Jahrhunderts in steigendem Maße gelten, seien noch angefügt.

Le comportement de la génération plus âgée à la plus jeune est généralement déterminée soit par la critique et le rejet en résultant, ou par le souhait de la gagner pour soi-même et de propres objectifs. Rudolf Steiner est venu, du jour où certains des jeunes lui ont porté pour la première fois leurs questions conjointement, si volontiers vers eux, parce que pour lui les arrières-plans spirituels étaient ouverts, desquels la nouvelle génération a aborde son voyage terrestre et toutes les générations le prendrait. Il a vu que quelque chose vivait dans les profondeurs de l'âme des jeunes, qui était nouveau dans l'histoire e l'humanité. Il savait ue ce qui "fait rumeur" parmi les jeunes, contient de grandes opportunités, mais que si un soi correct lui est appliqué, cache de grands dangers. Son premier pas dans cette prise en charge était d'aider à ce que les jeunes, deviennent conscients de leur prédisposition. Il a souligné toujours de nouveau que, pour la première fois survenue à grande mesure, l'opposition s'organisant elle-même contre l'âge, était autre chose que ce qui autrefois jouait entre générations. Comment dans un de ses grands discours à la jeunesse, l'été 1924 à Arnhem en Hollande, il nous disait qu'il avait déjà été clair dans les premiers jours du mouvement de la jeunesse que «par une grande partie de la jeunesse actuelle dans le plus profond subconscient un train d'une étrange compréhension approfondie vit pour ce qu'une sorte de grand tremblement de terre comme revirement/ dans l'ensemble du développement de l'humanité doit avoir lieu ".

Das Verhalten der älteren Generation zur jüngeren ist zumeist entweder durch Kritik und daraus resultierende Ablehnung bestimmt, oder durch den Wunsch, sie für sich und die eigenen Ziele zu gewinnen. Rudolf Steiner kam von dem Tage an, da einige der Jungen zum ersten Male ihre Fragen gemeinsam an ihn herantrugen, ihnen so bereitwillig entgegen, weil für ihn die geistigen Hintergründe offen lagen, aus denen heraus die neue Generation ihren Erdenweg angetreten hatte und alle folgenden Generationen ihn antreten würden. Er sah, daß etwas in den Seelentiefen der jungen Menschen lebte, das neu war in der Menschheitsgeschichte. Er wußte, daß, was in der Jugend ,rumort`, große Möglichkeiten enthält, aber daß es auch, wenn ihm keine rechte Pflege zuteil wird, ebenso große Gefahren in sich birgt. Sein erster Schritt in dieser Pflege war zu helfen, daß die Jugend sich dieser ihrer Veranlagung bewußt wurde. Er betonte immer wieder, daß die mit der Jahrhundertwende erstmals in größerem Ausmaß aufgetretene, sich selbst organisierende Opposition der Jugend gegen das Alter etwas anderes gewesen sei, als das, was von jeher zwischen den Generationen spielte. Wie er uns in einer seiner großen Ansprachen an die Jugend, im Sommer 1924 in Arnhem in Holland, sagte, sei es ihm bereits in den Anfangszeiten der Jugendbewegung ganz deutlich gewesen, daß „durch einen Großteil der gegenwärtigen Jugend im tiefsten Unterbewußtsein ein Zug von einem merkwürdig gründlichen Verständnis lebt dafür, daß ein großer, erdbebenartiger Umschwung in der ganzen Entwicklung der Menschheit sich vollziehen muß."

Nous cultivons avec les différents siècles e relier des représentations déterminées, délimitées, comme les deux phases de la peinture de la Renaissance appelées par excellence "Quattrocento" et "Cinquecento". Nous parlons du "20e siècle"et rattachons avec une représentation déterminée qui se différencie de celle du 19ème siècle. Pour le coup d’œil de l'esprit de Rudolf Steiner, le tournant du 19e au 20e siècle se dévoilait dans un sens encore largement plus profond que quelque chose de très spécial dans l'histoire de l'humanité. Avec ce tournant est attaché un changement ponctuel de rapports spirituels, non seulement de la Terre, mais du cosmos tout entier, donc du monde dans lequel l'âme humaine séjourne avant sa naissance. Ce changement était la condition préalable que tout de suite de ce moment du temps de notre siècle, il pourrait nous apprendre comment il a fait. De manière compréhensible ça sonnait arrogant pour les oreilles des personnes plus âgées, lorsque les venus au monde d'alors se décrivaient comme «totalement d'autres humains."; en réalité, c'était un balbutiement, un acte de procédure pour apprendre à comprendre ce qu'ils ne pouvaient pas comprendre : soi-même - l'humain qu'ils éprouvaient comme totalement 'autre`. Rudolf Steiner a vu ce qui allait arriver à une percée. Les âmes apportent quand même depuis ce tournant dans leurs profondeurs de volonté une pression après du spirituel sur la Terre avec une insistance qui, si elle ne trouve pas ses objectifs, doit être évacué d'une manière morbide : comme dommages organiques, comme les troubles d'âme, délinquance juvénile, monstruosité politique etc. Parce qu'il prévoyait tout cela, c'est pourquoi il a pris l'occasion, lorsqu’elle s'offrit de se laisser questionner par la jeunesse sur sa propre énigme, de parler avec elle, de s'adresser à elle en grand style pour lui apporter sa responsabilité historique dans la conscience. Mais comme chez lui tout était toujours en équilibre, il laissa ceux qui sont venus à lui pour apprendre l'atténuation nécessaire ou au moins une correction de leurs impulsions. Des exemples ont amené les présentations précédentes.

Wir pflegen mit den verschiedenen Jahrhunderten bestimmte, abgegrenzte Vorstellungen zu verbinden, wie etwa die zwei Phasen der Renaissance-Malerei schlechthin „Quattrocento" und „Cinquecento" heißen. Wir reden vom „20. Jahrhundert" und verbinden damit eine bestimmte Vorstellung, die sich von der des 19. Jahrhunderts unterscheidet. Für Rudolf Steiners Geistesblick enthüllte sich die Wende des 19. auf das 20. Jahrhundert in noch weit tieferem Sinne als etwas ganz Besonderes in der Geschichte der Menschheit. Mit dieser Wende ist eine einmalige Veränderung der geistigen Verhältnisse verknüpft, nicht nur der Erde, sondern des ganzen Kosmos, also der Welt, in der die Menschenseele vor ihrer Geburt weilt. Diese Veränderung war die Voraussetzung dafür, daß er gerade von dem Zeitpunkt unserer Jahrhundertwende an lehren konnte, wie er es tat. Begreiflicherweise klang es überheblich für die Ohren der älteren Menschen, wenn die damals zur Welt Gekommenen sich dann als „total andere Menschen" bezeichneten; in Wirklichkeit war es ein Stammeln, ein Bitten, sie verstehen zu lehren, was sie nicht verstehen konnten: sich selbst, — den Menschen, den sie als ,total anders` empfanden. Rudolf Steiner sah es, was da zum Durchbruch kommen wollte. Bringen doch die Seelen seit dieser Wende in ihren Willenstiefen ein Drängen nach Geistigem auf die Erde mit, ein Drängen, das, wenn es nicht seine Zielsetzungen findet, sich in krankhafter Weise entladen muß: als organische Schädigungen, als seelische Störungen, jugendliche Kriminalität, politisches Unholdtum usw. Weil er all dies voraussah, deshalb nahm er die Gelegenheit wahr, wo immer sie sich bot, sich von der Jugend über ihr eigenes Rätsel befragen zu lassen; mit ihr zu reden, sie in großem Stile anzusprechen, um ihr die geschichtliche Verantwortung ins Bewußtsein zu bringen. Aber wie bei ihm immer alles im Gleichgewicht war, so ließ er jene, die zu ihm kamen, auch die nötigen Dämpfungen erfahren oder zumindest eine Korrektur ihrer Impulse. Beispiele dafür haben die vorangehenden Darstellungen gebracht.

Pourtant, on pouvait en entendre une autre préoccupation quand il a parlé à la jeunesse. L'âme humaine n'est donc pas seulement déterminé par ce qu'elle s'apporte de ses vie prénatales comme mémoire inconsciente et Impulsion s'en suivant dans la vie terrestre. En elles vit aussi tout ce qui lui revient par l'hérédité et influences de l'environnement, ainsi avant tout par enseignement et éducation. Souvent, Rudolf Steiner a dû aider à débarrasser la sénile du premier plan dans les âmes, de sorte que le réel 'arrière-plan de jeunesse' pouvait venir à sa validité. Quand il a vécu comment de jeunes humains, quelque peu dans l'opinion, qu'ils devaient particulièrement parler "intelligemment" en sa présence, se faire prendre dans les abstractions; lorsqu'il a estimé que trop pressant poids lourd reposait sur leurs âmes - ce que de nos jours, souffre en effet chaque âme d'une certaine façon - ainsi il était vite à portée de main, pour surmonter les obstacles avec amour. A partir de ces arrière-plans, sont d'une part à comprendre son grand appel impulsant, d'autre part ses histoires anecdotiques humoristiques qui ne faisaient défaut dans aucun de ses allocutions aux jeunes et qui pouvaient se produire dans le milieu des présentations du monde les plus essentielles. Elles étaient des déguisements de quelque pensée essentielle ans l'immédiate forme réaliste, non dépouillé conceptuellement. Comment il était heureux alors du coin de ses yeux alternants amicalement d'un scintillant humour chaleureux, - pour peut-être dans l'instant suivant es orienter bien au-delà du présent loin dans majestueux sérieux comme dans des étendues cosmiques par dessus les présents.

Noch eine andere Sorge konnte man heraushören, wenn er zur Jugend sprach. Die menschliche Seele wird ja nicht nur durch dasjenige bestimmt, was sie sich aus ihrem vorgeburtlichen Leben als unbewußte Erinnerung und darauffolgende Impulsierung ins Erdenleben mitbringt. In ihr wirkt auch alles, was ihr durch Vererbung und Umwelteinflüsse zukommt, so vor allem auch durch Unterricht und Erziehung. Oft mußte Rudolf Steiner helfen, den ,greisenhaften Vordergrund' in den Seelen fortzuräumen, damit der eigentliche ,jugendliche Hintergrund' zu seiner Geltung kommen konnte. Wenn er erlebte, wie junge Menschen, etwa in der Meinung, sie müßten in seiner Gegenwart besonders ‚klug' reden, sich in Abstraktionen verfingen; wenn er empfand, daß allzu drückendes Schwergewicht auf ihren Seelen lastete, — woran heutzutage ja jede Seele in irgendeiner Art leidet —, so war er gleich bei der Hand, die Hindernisse liebevoll zu überkommen. Aus diesen Hintergründen sind einerseits seine großen, impulsierenden Anrufe zu verstehen, andererseits seine humorvollen anekdotischen Erzählungen, die in keiner seiner Jugendansprachen fehlten und inmitten der allerwesentlichsten Weltdarstellungen auftreten konnten. Sie waren Einkleidungen irgendeines wesentlichen Gedankens in unmittelbar lebensnaher, nicht abgezogen-gedanklicher Form. Wie gerne ließ er dann seine Augen aus sich freundlich fältelnden Augenwinkeln in warmherzigem Humor erstrahlen, — um sie vielleicht im nächsten Augenblick weit über die Anwesenden hinweg in hoheitsvollem Ernst wie in kosmische Weiten zu richten.

Dans la dernière présentation du cours à la jeunesse Rudolf Steiner nous a communiqué que toutes les images précédentes du cours couronnaient la lutte de Michael avec le dragon. C'est l'image de la bataille de l'intelligence spiritualisée de l'humain contre puissance du matérialisme mettant les humains a mort, consommant les humains avec toutes ses implications. Aussi dans les premiers temps cette image a été connue et représentée, mais elle avait à cette époque un caractère prophétique, elle devrait indiquer ce à quoi on devait s'attendre dans les périodes futures. Aujourd'hui, elle est devenue aiguë. Dans une théorie telle qui ne vois rien de plus dans l'humain que le point culminant du règne animal, ou la force dans la physique de la conservation de la matière et de la force, se montre la signature spirituelle du dragon est en notre temps. Car par elle "le chemin vers l'humain a été strictement verrouillé". "Mais le dragon doit être vaincu, et donc la connaissance doit prendre place, que l'image de Michael qui vainc le dragon, n'est pas seulement une vieille image, mais une image qui a atteint son plus haut degré de réalité en notre temps! "

Im letzten Vortrag des Jugendkurses übermittelte Rudolf Steiner uns — und damit der Jugend unseres ganzen Zeitalters — das alle bisherigen Bilder des Kursus überkrönende des Kampfes Michaels mit dem Drachen. Es ist das Bild für den Kampf der durchgeistigten Intelligenz des Menschen gegen die Menschen ertötende, Menschen verschlingende Macht des Materialismus mit all seinen Auswirkungen. Auch in früheren Zeiten wurde dieses Bild gekannt und dargestellt, doch hatte es damals prophetischen Charakter, es sollte hindeuten auf das, was in künftigen Zeiten zu erwarten war. Heute ist es akut geworden. In einer Theorie wie jener, die im Menschen nichts anderes als den Schlußpunkt der Tierreihe sieht, oder der in der Physik geltenden von der Erhaltung der Materie und Kraft, zeigt sich die geistige Signatur des Drachens in unserer Zeit. Denn durch sie ist „der Weg zum Menschen dicht verriegelt worden". „Aber der Drache muß besiegt werden, und deshalb muß die Erkenntnis Platz greifen, daß das Bild von dem Michael, der den Drachen besiegt, nicht nur ein altes Bild ist, sondern ein Bild, das in unserer Zeit den höchsten Grad seiner Realität erreicht hat!"

Rudolf Steiner nous a jadis encore transformé cette image en une autre, qui est complètement nouvelle, oui, on peut dire, initie le début d'une nouvelle mythologie de l'humanité. Dans la vieille langue des images le "chariot" a toujours joué un rôle important. Elias a été vu sur un char de feu dans le ciel. Le dieu du soleil a été vécu comme il conduit le long de la piste de ciel dans un char tiré par des chevaux de feu. Maintenant, Rudolf Steiner en forme ce qu'il a voulu donner à la jeunesse, à nouveau dans l'image de la voiture, mais une voiture en déplacement entrant du spirituel au monde terrestre. Encore une fois il est venu parler sur les forces dans l'humain que celui-ci s'apporte de la vie pré-terrestre dans la vie terrestre qui ors travaillent ensuite sur l'enfant et continuer sur la croissance de l'adolescence-humaine, qui se manifeste à travers lui. "La c'est réellement disponible, que si nous le cultivons, c'est pour Michael, le char, par lequel il est dans la conduite de notre civilisation. Si nous éduquons de la manière correcte, nous préparons à Michael le véhicule afin qu'il puisse venir dans notre civilisation ». - menuiser le véhicule à Michael, signifie, pouvoir devenir contemporain de Michael. "Et ce que vous voulez, mes chers amis, vous l'atteindre au mieux par le fait que vous devenez conscient, que vous voulez devenir compagnons de Michael."

Rudolf Steiner hat uns damals dieses Bild noch in ein anderes verwandelt, das völlig neu ist, ja, man kann sagen, den Beginn einer neuen Mythologie der Menschheit einleitet. In der alten Bildersprache hat immer wieder der „Wagen" eine bedeutende Rolle gespielt. Elias sah man auf einem feurigen Wagen gen Himmel fahren. Der Sonnengott wurde erlebt, wie er in einem von feurigen Rossen gezogenen Wagen die Himmelsbahn entlangfährt. Nun formte Rudolf Steiner das, was er der Jugend mitgeben wollte, wieder in das Bild des Wagens, aber eines von der geistigen in die irdische Welt hereinfahrenden Wagens. Noch einmal kam er auf die Kräfte im Menschen zu sprechen, die dieser sich aus dem vorirdischen Leben in das Erdenleben mitbringt, die dann am Kinde und weiterhin am jugendlich-werdenden Menschen arbeiten, sich durch ihn offenbaren. „Da ist es real vorhanden, was, wenn wir es pflegen, für Michael der Wagen wird, durch den er hereinfahren wird in unsere Zivilisation. Erziehen wir in der richtigen Weise, bereiten wir Michael das Fahrzeug, damit er hereinkommen kann in unsere Zivilisation." — Michael das Fahrzeug zimmern, heißt, Genosse werden können des Michael. „Und dasjenige, was Sie wollen, meine lieben Freunde, werden Sie am besten dadurch erreichen, daß Sie sich bewußt werden, Sie wollen Genossen des Michael werden."

Pour la nouvelle génération de notre époque, l'ancienne comme la présente et la future, a été donné le signal, duquel vous voulez sourcer les impulsions pour vos tâches spirituelles.

Damit war der neuen Generation unseres Zeitalters, der damaligen wie der heutigen und künftigen, das Zeichen gegeben, aus dem ihr die Impulse für ihre geistigen Aufgaben entquellen wollen.