* 11 mars 2015 *
Samedi 21 mars nous commencerons exceptionnellement à 15 h pour permettre à certains de partir plus tôt (fête à l’école Matthias Grünewald).
Peut-être pourrons nous revenir ensemble un petit moment sur ce que nous avons fait la dernière fois. Tant la forme que le contenu. Puis aborder un ou plusieurs des autres thèmes présents dans les citations non encore lues ensemble. Peut être chacun pourrait-il cette fois-ci lire auparavant et se noter ce qu’il aimerait voir traiter ensemble. Peut-être que cela m’aiderait que ces thèmes ou questions me soient communiqués dès que possible au cours de la semaine prochaine.
Des échanges que j’ai avec Tristan sur la suite des ateliers, se dégagerait de peut-être clore avec la question du travail pour passer déjà en deuxième partie cette fois-ci sur celle de l’Etat, c'est-à-dire de l’organisation de la vie politique entre humains majeurs comme égaux. Des citations sur lesquelles nous n’avons pas encore échangé, une telle transition se présenterait d’ailleurs très bien.
* 10 février 2015*
Bonjour à tous,
Hier soir avec deux d'entre vous, nous avons pris un peu d’avance. Pas facile tant chacun à un rapport bien particulier à notre prochain thème : le TRAVAIL. J’ai donc proposé d’y consacrer d’emblée déjà deux ateliers : celui de samedi prochain le 7 février, puis celui du samedi 28 février.
Je vous propose donc d’entrer dans le processus suivant :
Atelier 5
-Première partie :
Qu’est pour moi le travail ? Qu’aimerais-je en dire à partir de ma vie ou de ce que j’observe de la vie d’autre(s) ?
Donc se préparer à en dire quelque chose le plus possible à partir d’une ou plusieurs expériences vécues.
Pour ce faire chacun pourrait se préparer un peu avant de venir et peut être déjà fixer quelques éléments (sur un recto de feuille A4 qui pourrait être affichée à l’intention des autres. Pensez aussi à vous munir d’un support, le local de la branche ne disposant pas d’une table assez grande pour tous).
Un petit moment (5 mn ?) sera laissé à ceux qui n’auraient pas pu. Puis nous tâcherons de nous partager une quarantaine de minutes pour apporter chacun quelque chose qui serait déjà apparu chez les précédents (ceux qui auront rassembler plusieurs expériences pourrons donc se réserver pour la fin). Chacun reste cependant libre de n’être qu’auditeur. Ensuite (ou déjà simultanément), j’essayerai (ou nous essayerons) de rassembler et ordonner les apports en questions plus générales.
-Pause
-Deuxième partie :
Quelles questions ai-je autour du/sur le travail ? Quelles questions se posent dans la société, la culture, qui retiennent mon attention ?
Nous procèderons comme pour la première partie. Là aussi, merci par avance à ceux qui auront, après avoir tirer un trait après la première question, rassemblé quelques éléments. Il s’agira d’élargir (ou enrichir ?) ce qui se sera dégagé de la première partie
En fin de séance nous devrions avoir formulé ensemble quelques questions que je reprendrai (ou d’autres parmi nous) le samedi 28 février au regard d’un travail sur les apports de R. Steiner à leur sujet.
Atelier 6
-Première partie
Exposé(s) : Comment Rudolf Steiner aborde t’il les questions que nous avons formulées la dernière fois ?
Puis : questions de compréhensions.
-Pause
-Deuxième partie
Echanges en petits groupes, « rapport » à tous, conclusions et perspectives.
*4 janvier 2015*
« Vivre en société ? » - Atelier 4, samedi 10 janvier, 16h dans les locaux de la Maison de l’agriculture biodynamique, 5 place de la Gare.
Travailler ? Où, comment, pourquoi ?
Ce vivre ensemble d’économie, droit et esprit, cela des humains tels que Marx et Engels, le virent.
Et il virent, comment la vie de l'économie moderne ne supportait plus la vieille forme du droit, ne supportait plus aussi la vieille forme de l’esprit.
Ils vinrent là-dessus, que devait être éjectée de la vie de l'économie : la vieille vie du droit, la vieille vie de l’esprit.
Mais ils sont venus alors à une étrange superstition, à une superstition sur laquelle nous devrons beaucoup parler dans ces conférences. Ils sont venus à la superstition que la vie de l'économie – ils regardaient la vie de l’esprit, la vie du droit comme une idéologie, parce qu’ils la regardait donc comme la seule réalité -, que la vie de l'économie pouvait donner naissance d’elle-même aux nouveaux rapports de droit, aux nouveaux rapports d’esprit.
Une des plus fatales superstitions se fit jour : on devait pratiquer l’économie d’une manière déterminée selon des lois, et quand on pratiquait l’économie de cette manière déterminée par des lois, alors la vie de l’esprit, la vie du droit, la vie politique et d’État, en résulteraient d’elles-mêmes à partir de la vie de l'économie.
Par quoi a donc pu se constituer cette superstition ? Cette superstition n’a pu se constituer que parce que la structure particulière de l’économie humaine, le travailler particulier de la vie de l'économie récente, cachait derrière lui ce qu’on a été habitué à nommer l’économie monétaire.
Cette économie monétaire est donc montée en Europe comme phénomène d’accompagnement d’événements bien déterminés. Vous n’avez besoin que de jeter un regard plus profond dans l’histoire, ainsi vous verrez qu’à peu près au temps où la Réforme et la Renaissance, donc une nouvelle constitution d’esprit, se lèvent par-dessus le monde européen civilisé, sont mise en exploitations les sources d’or et d’argent d’Amérique, que l’afflux d’or et d’argent, notamment d’Amérique du Sud et centrale, vient en Europe. Ce qui auparavant était plus économie naturelle, cela devient toujours de plus en plus submergé par l’économie monétaire.
L’économie naturelle a encore pu regarder sur ce que le sol donne, cela signifie sur le concret ; elle a aussi pu regarder sur ce pour quoi l’humain particulier est capable et ce qu’il peut produire, donc sur le concret et le professionnel.
Sous la circulation de l’argent s'est progressivement retiré le regard sur le pur concret de la vie de l’économie.
En ce que l’économie monétaire a remplacé l’économie naturelle, un voile s’est dans une certaine mesure étendu par-dessus la vie de l’économie. On ne pouvait plus voir les pures exigences de la vie de l'économie.
R. Steiner, 24 octobre 1919, Zürich, GA 332a « L’avenir social » à paraître prochainement sur www.triarticulation.fr
Sans pouvoir dire exactement pourquoi, l’un d’entre nous aimerait que nous en venions à parler du « travail ». Vaste sujet qui semblerait évidemment nous toucher chacun plus que des questions d’argent et de propriété.
La dernière fois, à nouveau pris par le temps, je me suis ensuite rendu compte que j’avais du interrompre le propos prévu presque à mi-chemin.
Ensuite les deux retours que j’ai eu, et à partir desquels j’ai ouvert un « compte rendu collaboratif » à destination des absents ( 1 ) m’ont rendu attentif que si la concept d’abstraction que j’ai repris de R. Steiner avait été saisi, il le reste encore trop incomplètement. C’est pourquoi j’aimerai pouvoir finir.
Je propose donc que nous nous remémorions ensemble les éléments vus la dernière fois (20’) pour que je puisse ensuite conclure et répondre aux questions (40’). ( préparation, voir 2 )
Après la pause, en ce début d’année, je souhaiterais que nous portions un regard rétrospectif sur les 4 rencontres et envisagions ensemble les prolongements et modes de travail. Et ce si possible à partir de l’expression de chacun. Nous devrons également décider de l’utilisation de l’atelier de mars auquel je ne pourrais pas participer.
Avec tous mes vœux pour 2015.
François
( 1 ) - les présents qui aimeraient l’enrichir peuvent encore le faire.
( 2 ) - lire ou relire peut être toute la conférence de la dernière fois. Peut être que ceux qui l’on déjà fait pourraient cette fois le faire sous l’angle de la question qui serait : Où RS y parle t’il du travail ?
« Certes, le sentiment doit continuellement enflammer les capacités de la représentation, les enthousiasmer ; mais le sentiment comme tel ne peut rien faire, si la représentation essentielle n’est pas là. » R.S. Zurich, 26 octobre 1919.
*26 novembre 2014*
Prochaine rencontre samedi 13 décembre, à 16h exceptionnellement à la Maison de l’agriculture biodynamique, 5 place de la gare à Colmar.
Au 2e atelier, vous avez reconstitué à partir des souvenirs de chacun, et j’ai précisé ensuite, le schéma au tableau résumant une sorte d'anthropologie sociale que j’avais présenté lors du premier atelier et telle qu'elle peut se dégager du début de la conférence de R. Steiner du 23 avril 1919 .
Ce faisant vous avez aussi évoqué de multiples aspects de vos vies et opinions. Ce que j’en ai retenu est une sorte de balancement des propos entre des questions et remarques sur la vie économique d’une part, et la vie spirituelle-culturelle de l’autre. Deux autres thèmes ont aussi retenu mon attention. L’un concernait le rôle de l’État dans la culture (la distinction entre maisons de la culture et centres socio-culturels a été évoquée si je me souviens bien) et l’autre celui des origines sociales et culturelles et de l’hérédité. (Se pose semble t’il aussi pour certains la question de la fixation de prix.) J’ai ensuite introduit à une "institution qui nous concerne tous": l'argent.
Vous verrez par la suite que mieux le comprendre n’est pas étranger à tous ces thèmes. Dans ce 3e atelier, tout en tentant de vous rendre plus attentif à certaines de ses caractéristiques, je voudrais aussi vous introduire plus avant au mode d’approche qui sous-tend la triarticulation de l’organisme social.
Toujours à la recherche de nouvelles formes de travail et d’échanges adaptés à la fois à notre époque, mais aussi à la nature de la triarticulation, Tristan et moi vous proposerons de vous confronter d’abord par petits groupes pendant 20 min aux §22 à 24 de la soirée d'étude de l’Union pour la triarticulation de l’organisme social, à Stuttgart, le 16 juin 1920 puis nous reprendrons tout cela ensemble jusqu’au terme de la 1ère heure de l’atelier.
J’ai parfaitement conscience que ce sera quelque chose de difficile ayant moi-même longtemps butté sur ce passage et donc nous avancerons d’autant mieux si chacun l’aura préalablement au moins lu, voire éclairé à partir de toute la conférence, ou même d’autres éléments en sa connaissance.
À l’heure où j’écris, la deuxième partie, après la pause, n’est pas encore complètement arrêtée. Elle sera de toute façon un apport de ma part soit plus avant directement sur l’argent, soit probablement par le détour de la question du sol qui nous porte tous, soit encore sur les frontières nécessaire entre économie et vie de droit entre les humains. J’essayerai de l’adapter à se qui se sera dégagé des échanges juste avant.
Et pour finir, j’aimerai que nous puissions nous tourner ensemble vers ce que pourraient être les thèmes des 6 prochains ateliers jusqu’aux vacances d’été.
Je met aussi à disposition le ficher .pdf réalisé pour Elsa permettant une impression en mode « recto verso » (26f) ou« livret »(13f) sur les pages de l’atelier « Vivre en société ? »
Cordialement,
François
*9 nov 2014*
Prochaine rencontre samedi 13 décembre, endroit succeptible de modification.
Au 2e atelier, nous avons reconstitué à partir des souvenirs que chacun avait du 1er, par un schéma au tableau, une sorte d'antropologie sociale telle qu'elle peut se dégager du début de la conférence de R. Steiner du 23 avril 1919 . Nous avons aussi évoqué de multiples aspects de nos vies, opinions et possibilités de travail en commun. François nous a ensuite introduit à une "institution qui nous concerne tous": l'argent. Cela comme exemple de ce que peut apporter le mode d'approche de la triarticulation à sa compréhension. Nous reprendrons probablement par une lecture en commun des §22 à 24 de la soiré d'étude de l’Union pour la triarticulation de l’organisme social, à Stuttgart, le 16 juin 1920.
*22 oct 2014*
Chers participants,
Quand vous recevrez ce courriel, se seront écoulés à peu près autant de jours depuis notre premier « atelier » qu’il s’en écoulera jusqu’au prochain : samedi 8 novembre à 16 h même endroit.
Voici quelques jours Tristan nous a rendu attentif à plusieurs références d’actualité médiatique ou d’ouvrages sur des thèmes lui étant chers par la liste de diffusion que nous avons établit. Comme nous sommes amenés à apprendre à nous connaître, si l’un ou l’autre souhaite faire de même, pourquoi pas ? Je retransmettrai à tous. Mais nous devrons nous entendre sur son utilisation pour la suite.
Nous avons aussi fait un 2e petit point sur cette première rencontre et envisagé la seconde.
Peut être pourriez-vous chacun vous demander : que reste t’il maintenant pour moi de ce premier « atelier » ? Ai-je appris quelque chose ? Ou bien quelque chose me reste sans arriver à le comprendre ? Quelque chose a-t-il déjà fait un peu de chemin depuis pour moi ? Ou toute autre question qui s’imposera.
Ce pourrait être le point de départ la prochaine fois.
De cela devrait pouvoir se dégager un « reste » reconstruit ensemble et partagé à partir duquel, devrait m’être possible de finir l’exposé commencé et l’orienter vers la suite que Tristan aimerait « un peu plus les mains dans le cambouis ».
La dernière fois j’ai essentiellement fait référence à deux textes tirés de l’œuvre de Rudolf Steiner, voici où vous pouvez les trouver :
- l’exemple des « cartes postales » > http://www.triarticulation.fr/Institut/FG/SamF/05054096099198302031908.html
- dessin au tableau > http://www.triarticulation.fr/Institut/FG/SamF/07192036047196423041919.html
Il n’est pas indispensable de les avoir lu pour la prochaine fois, mais ce serait quand même une forme de soutien de la part de ceux qui auront la possibilité de le faire. Pour chacun se trouve sur la page un lien vers l’original allemand.
Ceux d’entre vous qui souhaiteraient que je leur imprime pour la prochaine fois peuvent se faire connaître en précisant s’ils veulent avec ou sans l’allemand (qui sera en face du français) voire l’allemand seul. Un envoi par la poste est aussi possible. (version 1 langue 0.20€, 2 langues 0.40€ . Envoi 1.10€.)
Si l’un ou l’autre d’entre vous souhaite échanger d’ici là, il suffit de me proposer un ou plusieurs moments où l’appeler en indiquant à quel numéro. Cela contribuera aussi à la préparation.
Je rappelle aussi que je réserve en général la soirée après l’atelier pour reprendre l’un ou l’autre élément que nous n’aurions pu voir tous ensemble.
Cordialement,
François
1ère rencontre : exceptionnellement le
4 octobre 2014 –
thème : LA VIE ACTIVE, entre jeunesse et vieillesse.
par François Germani
« Après une brève introduction, chacun sera invité à apporter sa contribution sur le thème en se présentant. A partir d’elles, je tâcherai ensuite de vous proposer des perspectives de travail en rapport à la tri-articulation. Puis ensemble nous envisagerons le thème de la prochaine séance. »
Pour préciser le projet voir le dernier flyer
INFOS PRATIQUES
Quand ? et à quelle fréquence ?
Les réunions de travail auront lieu une fois par mois : le deuxième samedi du mois de 16h à 18h30. Le suivant aurait donc lieu le 8 novembre.
Où ?
Au local de la Branche Mathias Grünewald, 20 rue d’Agen à Colmar
Qui peut participer ?
Toute personne que le sujet intéresse quel que soit ses orientations philosophiques, religieuses ou politiques pourvu qu’elle puisse faire une place aux point de vue proposés par Rudolf Steiner sur ces questions.
Combien ?
Une participation de 15€ pour l’année est demandée pour les personnes non membres de la Branche MG
Organisée par la Branche Mathias Grünewald
Pour toute information contacter :
- Tristan Chaudon au 06 82 87 42 76 ou par mail tchaudon@hotmail.com
- François Germani 0388 691158 françois@triarticulation.fr