Institut pour une
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1914 < ....... 1915 ........ > 1916
L'année 1915 était la dernière année dans le rythme de la deuxième septaine du mouvement. Et parce que cette époque se tenait en particulier dans un contexte d'inspiration artistique, ainsi Rudolf Steiner a aussi ouvert cette année avec une série de conférences à Dornach sur le renouvellement de la vision du monde artistique. Avant qu'il aille au travail, de rendre tangible l'expérience spirituelle dans le monde des couleurs et des sons jusqu'en des détails saisissants, il a placer d'abord au Nouvel An l'exigence à exercer « la lecture de l'écriture stellaire ». Comme tout ce que Rudolf Steiner faisait était placé dans les lois de l'écriture stellaire, cette conférence de Nouvel An apparut encore une fois sous forme d'éclair.Pour ceux qui le vivaient avec lui, en des illuminations éclairantes soudaines, il laissait seulement rarement rentrer pour un instant dans la conscience les arrières plans spirituels de son œuvre ordonnée dans les rythmes cosmiques, de sorte que les éveillés parmi eux devaient suivre de près dans le reste de l'année l'exécution des scripts stellaires dans le devenir mondial et l’œuvre terrestre, même si cela, alors pour un certain temps resta masqué derrière le tissu dense des événements extérieurs.Un tel moment a été cette conférence de nouvelle année 1915. Rudolf Steiner avait mentionné à la
fin de l'année, à la conférence de la Saint Sylvestre, la
polarité des forces intérieures de l'âme de l'humain, le
respect orienté vers l'extérieur et la dévotion au monde
cosmique-spirituel, la force concentrée vers l'intérieur de la
formation propre de l'âme, de l'évolution intérieure.
Maintenant, il laissait une fois soudainement le 1er janvier
les auditeurs jeter un regard dans l'atelier spirituel du
cours de l'année, dans le travail des guidants spirituels, qui
reconnaît et respecte les lois cosmiques de liberté
intérieure. Comme la structure des forces du cours d'une année
est d'une nature différente, selon que l'aiguille de l'horloge
des mondes commence son cours dans tel ou tel signe des
constellations et sphères planétaires, de sorte qu'il n'est
pas indifférent de savoir si la structure des forces
intérieures de l'humain dans le cours de l'année reçoit sa
première impulsion en résonance du Je de l'humain en harmonie
avec le macrocosme ou en isolement de celui-là. Rudolf Steiner
évoqua dans l'exemple suivant ce mystère de la formation
spirituelle, tel qu'il se révèle pour le guidant spirituel : «
Mes chers amis, j'aimerais vous dire aujourd'hui cela, au
début de l'année, comme vœu de Nouvel An : J'aimerai laisser
succéder au souvenir du respect (dans la conférence de St
Sylvestre), aujourd'hui sur au jour de l'an le souvenir au
travail énergique à notre intérieur. C'est un symbole pour
cette conséquence du souvenir que dans cette nuit de Nouvel An
la pleine lune apparaît de l'univers. Cela aurait-il été
l'inverse, aurions-nous commencé l'année avec la nouvelle
lune, j'aurais bien fait d'amener le souvenir dans l'ordre
inverse à vos cœurs. Alors, j'aurais conclu hier l'année avec
le souvenir à la puissance de l'évolution intérieure et aurait
laissé suivre aujourd'hui le souvenir au respect. Par l'écriture stellaire, cette succession nous est offerte pour cette année, et le monde reconnaîtra à nouveau, de proche en proche, que la lecture du script stellaire a quand même un sens pour les humains. Ainsi, nous cherchons aussi dans ces détails à respecter la grande loi de l'être-là humain : aspirer à l'harmonie entre le macrocosme et le microcosme.Le macrocosme s'exprime donc pour nous dans la phase de la lune de la façon la plus élémentaire en ces jours, et l'harmonie avec ce macrocosme dans notre microcosme, nous le trouvons, quand nous agissons en conséquence, dans le cours de cette année, qui a donc été accouché sous des faits aussi douloureux ». Une telle sorte d'attention aux lois cosmiques est seulement utile à l'humain libre. Cette constitution d'horoscopes aujourd'hui habituelle qui veut graver les lois cosmiques obsolètes à la vie rend les humains esclaves. Mais l'élève de l'esprit, qui s'est acquis en premier une connaissance concrète de la nature spirituelle de l'organisme cosmique, respecte comme un homme libre le signe que lui donne le rythme des mondes ; la structure des forces du cosmos ne lui est pas contrainte, mais aide à l'aménagement intérieur du cours de sa vie, qu'il laisse rentrer en harmonie avec ce rythme des mondes de sa propre initiative et perspicacité éveillée. Nous avons particulièrement mis en évidence l'exemple de cette conférence pour à nouveau clarifier aux phénomènes que rien n'était au hasard dans l'œuvre de Rudolf Steiner. Celui qui lit dans le cours de sa vie, lit en même temps dans le sublime comment le script stellaire simple et clair, qui a imprimé de tout temps immanent la vie du guidant spirituel. - Comme il avait commencé l'année 1915 avec une telle référence spécifique à ces lois des mondes, ainsi d'ailleurs aussi la dernière conférence de cette année, comme nous le verrons, était dédiée au « Cours de l'année comme une image sensible de la grande année des mondes ». Après ce rendre attentif sur la signature intérieure de l'année à venir Rudolf Steiner dédiait maintenant les conférences suivantes à l'expérience artistique des couleurs et sons. Cela, aussi, n'avait pas le droit de rester théorie, mais devait prendre forme dans le travail sur la construction de Dornach, fluer par le fait actif dans les têtes, les cœurs et les mains des peintres et sculpteurs, qui étaient à l’œuvre dans la construction de cet édifice d'humanité. Les conférences de Rudolf Steiner sur l'« Essence des couleurs » sont aujourd'hui déjà largement publiées et ont donné à une école de peintres la direction spirituelle, l'inspiration consciente et la joie de la créativité*. * S. Rudolf Steiner. « L'essence de Couleurs » Vol I. & II. « Le monde créateur de la couleur », « L'expérience morale du monde de la couleur et du son », entre autres. voir aussi :. Hans Hebing: « Lettres à la théorie des couleurs », entre autres. [- -] Ainsi, je pourrais – j'ai pu seulement indiquer les principes les plus grossiers – jusque dans le moindre détail justifier les principes en chaque surface particulière dans cette forme architecturale ». Après que par ces conférences avec leurs nombreuses instructions de principes et pratiques les artistes à Dornach avaient reçu l'impulsion de travailler d'un esprit homogène, et que maintenant tout un chacun était en mesure de mettre dans l'action les connaissances acquises et d'aller à l'œuvre de sa journée, Rudolf Steiner se rendit pour un certain temps en voyage de conférences. Les humains cherchant conseils et direction dans les tensions internes et externes des événements guerriers l'appelaient. Il les a aidés à la connaissance de leur destin et de leurs tâches dans deux conférences à la maison des architectes de Berlin du 14 et 15 janvier : « L'âme germanique et l'esprit allemand » et « la connaissance de l'esprit aux heures heureuses et sérieuses de la vie ». Encore une fois, il partit tout d'abord du grand aspect de l'évolution historique, caractérisa jeunesse et force de l'âge des peuples ; dessina le passage de l'ancienne clairvoyance à la conception du monde mythique, la tension interne dans laquelle se déployaient les peuples germaniques, entre l'épopée homérique du Sud et le mythe des Nibelungen du Nord ; le tournant décisif dans la formation du christianisme, la position du Nord et du Sud, de l'Est et de l'ouest à cet événement engageant ; la réponse de la romanité dans les grandes œuvres du Quattrocento et de la Renaissance, de la germanité dans ces merveilleuses créations comme le « Heliand », la mystique allemande de Tauler et Maître Ekkeharts, de Paracelse, Jakob Boehme et Angelus Silesius, l'appel des forces-Je à une vie spirituelle libre chez Herder, Hegel et Fichte, Schiller et Goethe. Il a accentué avant tout l'engageant dans lequel repose l'âme des peuples en telles prestations, l'avertissement de ne pas sombrer de nouveau de telles hauteurs, mais de continuent à grimper en amont, de ne pas voir seulement ce qui a été atteint, dans de telles prestations, mais le commencement : « Des humains individuels peuvent mourir avant d'avoir pleinement vécu leur vie . Les humains peuvent mourir dans les années de jeunesse de leur être-là, parce qu'ils reviennent dans d'autres vies terrestres, et aussi parce qu'en dehors de cela d'autres peuvent prendre leur place pour la vie culturelle terrestre. Des vies humaines inachevées peuvent se jouer dans l'être-là physique extérieur. Des vies de peuple inachevées pas ! Car quand un peuple, avant qu'il ait rempli sa mission, serait assassiné ou restreint dans son existence, alors une autre individualité de peuple n'entre pas à sa place. Les peuples doivent se vivre au bout ! Les peuples doivent atteindre le plein achèvement du cycle de leur être-là - pas seulement de leur être-là d'enfant et force de l'âge. L'esprit allemand, la vie de l'esprit allemande ne se tient pas à une fin, pas devant un achèvement ; mais se tient à un début. Lui est encore attribué beaucoup... Dans cette vie de l'esprit allemande repose de conduire dehors ce qui était autrefois la pure façon de voir le monde matérialiste à l'expérience du monde spirituel ».[- -] Cette conférence culmina dans les paroles citées à la page 262 : « L'Esprit allemand n'a pas terminé ce qu'il devait créer dans le devenir du monde ... Il a alors ensuite présenter de telle pensées en cette année dans son écrit « Pensées pendant le temps de la guerre ».- Pendant que les uns se reposaient rassasiés sur les réalisations passées ou se vantaient des réalisations des générations précédentes, sans même aborder le chemin vers de plus hauts sommets spirituels, pendant que d'autres niaient les germes d'un devenir nécessaire au monde ou menaçaient d'étouffer, Rudolf Steiner appelait le sentiment du devoir de cette génération, nommait la suffisance d'un côté et la volonté destructrice de l'autre côté par leurs vrais noms et cherchait parmi ces enveloppes d'une époque mourante après les humains, qui étaient disposés, formés intérieurement en tant que pionniers de l'Esprit pour rentrer dans le chemin des sphères jusque-là inconnues du monde et de l'espace de vie guidé spirituellement. Il retourna à Dornach fin janvier. Sa première conférence a été consacrée au thème : « L'art véritable remonte aux secrets de l'initiation ». Il a signalé ces secrets à l'exemple d'histoire universelle de Dante et de son ami et maître Brunetto Latini. Ces deux figures, le grand artiste révélant les lois cosmiques et son professeur initié émergent toujours de nouveau comme motif exemplaire dans les dix prochaines années dans les conférences de Rudolf Steiner. Il a donc arraché de l'oubli un événement important dans l'histoire de l'esprit et lui a érigé un mémorial dans la conscience actuelle qui sera aussi donnant direction pour l'avenir. Car l'esprit de Dante et de Brunetto Latini, l'initié, règne aussi dans le présent et l'avenir *. Le 31 janvier, Rudolf Steiner a parlé à Zurich sur " Nos morts comme collaborateurs ".Il a dédié cette conférence à son ami Fritz Mitscher, dont il a également fait l'allocution funèbre aux funérailles le 5 février à Bâle. Dans cette salle du crématorium à Bâle, où, dans les années à venir, tant d'amis ont reçu la consécration finale à la porte de la mort par des mots de Rudolf Steiner, il a offert aux vivants et aux morts chaque fois une peinture de vie du défunt formée à partir de l'amitié la plus intime et à la plus profonde vue spirituelle.** Ces funérailles sont des jalons importants sur le chemin, que Rudolf Steiner a parcouru au milieu de ses amis. Dans les conférences des 5-7 février à Dornach il a donné maintenant une grande peinture spirituelle du monde de lumière du « Spectre de la mort » : « Le problème de la mort en rapport de la conception artistique de la vie ». Il a parlé sur les périodes de la vie humaine comme des images en miroir de processus cosmiques, sur les expériences après avoir franchi la porte de la mort, comme elles ont été montrées jusqu'à présent dans certaines œuvres artistiques du passé * Rudolf Steiner: « L'art
véritable remonte aux secrets de l'initiation »,
« La conscience d'initié »; voir aussi :. Dr G.
Wachsmuth: "Histoire des Mystères et de l'esprit" chapitre
X. [- -]
1914
< ....... 1915 ........
> 1916
L'année 1915 était
la dernière année dans le rythme de la deuxième
septaine du mouvement. Et parce que cette
époque se tenait en particulier dans un contexte
d'inspiration artistique, ainsi Rudolf Steiner a
aussi ouvert cette année avec une série de
conférences à Dornach sur le renouvellement de
la vision du monde artistique. Avant qu'il aille
au travail, de rendre tangible l'expérience
spirituelle dans le monde des couleurs et des
sons jusqu'en des détails saisissants, il a
placer d'abord au Nouvel An l'exigence à exercer
« la lecture de l'écriture stellaire ». Comme
tout ce que Rudolf Steiner faisait était placé
dans les lois de l'écriture stellaire, cette
conférence de Nouvel An apparut encore une fois
sous forme d'éclair.Pour ceux qui le vivaient
avec lui, en des illuminations éclairantes
soudaines, il laissait seulement rarement
rentrer pour un instant dans la conscience les
arrières plans spirituels de son œuvre ordonnée
dans les rythmes cosmiques, de sorte que les
éveillés parmi eux devaient suivre de près dans
le reste de l'année l'exécution des scripts
stellaires dans le devenir mondial et l’œuvre
terrestre, même si cela, alors pour un certain
temps resta masqué derrière le tissu dense des
événements extérieurs.Un tel moment a été cette
conférence de nouvelle année 1915. Rudolf Steiner avait
mentionné à la fin de l'année, à la conférence
de la Saint Sylvestre, la polarité des forces
intérieures de l'âme de l'humain, le respect
orienté vers l'extérieur et la dévotion au monde
cosmique-spirituel, la force concentrée vers
l'intérieur de la formation propre de l'âme, de
l'évolution intérieure. Maintenant, il laissait
une fois soudainement le 1er janvier les
auditeurs jeter un regard dans l'atelier
spirituel du cours de l'année, dans le travail
des guidants spirituels, qui reconnaît et
respecte les lois cosmiques de liberté
intérieure. Comme la structure des forces du
cours d'une année est d'une nature différente,
selon que l'aiguille de l'horloge des mondes
commence son cours dans tel ou tel signe des
constellations et sphères planétaires, de sorte
qu'il n'est pas indifférent de savoir si la
structure des forces intérieures de l'humain
dans le cours de l'année reçoit sa première
impulsion en résonance du Je de l'humain en
harmonie avec le macrocosme ou en isolement de
celui-là. Rudolf Steiner évoqua dans l'exemple
suivant ce mystère de la formation spirituelle,
tel qu'il se révèle pour le guidant spirituel :
« Mes chers amis, j'aimerais vous dire
aujourd'hui cela, au début de l'année, comme vœu
de Nouvel An : J'aimerai laisser succéder au
souvenir du respect (dans la conférence de St
Sylvestre), aujourd'hui sur au jour de l'an le
souvenir au travail énergique à notre intérieur.
C'est un symbole pour cette conséquence du
souvenir que dans cette nuit de Nouvel An la
pleine lune apparaît de l'univers. Cela
aurait-il été l'inverse, aurions-nous commencé
l'année avec la nouvelle lune, j'aurais bien
fait d'amener le souvenir dans l'ordre inverse à
vos cœurs. Alors, j'aurais conclu hier l'année
avec le souvenir à la puissance de l'évolution
intérieure et aurait laissé suivre aujourd'hui
le souvenir au respect. Par l'écriture stellaire, cette
succession nous est offerte pour cette année, et
le monde reconnaîtra à nouveau, de proche en
proche, que la lecture du script stellaire a
quand même un sens pour les humains. Ainsi, nous
cherchons aussi dans ces détails à respecter la
grande loi de l'être-là humain : aspirer à
l'harmonie entre le macrocosme et le
microcosme.Le macrocosme s'exprime donc pour
nous dans la phase de la lune de la façon la
plus élémentaire en ces jours, et l'harmonie
avec ce macrocosme dans notre microcosme, nous
le trouvons, quand nous agissons en conséquence,
dans le cours de cette année, qui a donc été
accouché sous des faits aussi douloureux ». Une telle sorte d'attention aux
lois cosmiques est seulement utile à l'humain
libre. Cette constitution d'horoscopes
aujourd'hui habituelle qui veut graver les lois
cosmiques obsolètes à la vie rend les humains
esclaves. Mais l'élève de l'esprit, qui s'est
acquis en premier une connaissance concrète de
la nature spirituelle de l'organisme cosmique,
respecte comme un homme libre le signe que lui
donne le rythme des mondes ; la structure des
forces du cosmos ne lui est pas contrainte, mais
aide à l'aménagement intérieur du cours de sa
vie, qu'il laisse rentrer en harmonie avec ce
rythme des mondes de sa propre initiative et
perspicacité éveillée. Nous avons
particulièrement mis en évidence l'exemple de
cette conférence pour à nouveau clarifier aux
phénomènes que rien n'était au hasard dans
l'œuvre de Rudolf Steiner. Celui qui lit dans le
cours de sa vie, lit en même temps dans le
sublime comment le script stellaire simple et
clair, qui a imprimé de tout temps immanent la
vie du guidant spirituel. - Comme il avait
commencé l'année 1915 avec une telle référence
spécifique à ces lois des mondes, ainsi
d'ailleurs aussi la dernière conférence de cette
année, comme nous le verrons, était dédiée au
« Cours de l'année comme une image sensible
de la grande année des mondes ». Après ce rendre attentif sur la
signature intérieure de l'année à venir Rudolf
Steiner dédiait maintenant les conférences
suivantes à l'expérience artistique des couleurs
et sons. Cela, aussi, n'avait pas le droit de
rester théorie, mais devait prendre forme dans
le travail sur la construction de Dornach, fluer
par le fait actif dans les têtes, les cœurs et
les mains des peintres et sculpteurs, qui
étaient à l’œuvre dans la construction de cet
édifice d'humanité. Les conférences de Rudolf
Steiner sur l'« Essence des couleurs » sont
aujourd'hui déjà largement publiées et ont donné
à une école de peintres la direction
spirituelle, l'inspiration consciente et la joie
de la créativité*. *
S. Rudolf Steiner. « L'essence de
Couleurs » Vol I. & II. « Le
monde créateur de la couleur », « L'expérience
morale du monde de la couleur et du son »,
entre autres. voir aussi :. Hans Hebing: «
Lettres à la théorie des couleurs », entre
autres. [- -] Ainsi, je pourrais – j'ai pu
seulement indiquer les principes les plus
grossiers – jusque dans le moindre détail
justifier les principes en chaque surface
particulière dans cette forme
architecturale ». Après que par ces conférences avec
leurs nombreuses instructions de principes et
pratiques les artistes à Dornach avaient reçu
l'impulsion de travailler d'un esprit homogène,
et que maintenant tout un chacun était en mesure
de mettre dans l'action les connaissances
acquises et d'aller à l'œuvre de sa journée,
Rudolf Steiner se rendit pour un certain temps
en voyage de conférences. Les humains cherchant conseils et
direction dans les tensions internes et externes
des événements guerriers l'appelaient. Il les a
aidés à la connaissance de leur destin et de
leurs tâches dans deux conférences à la maison
des architectes de Berlin du 14 et 15 janvier :
« L'âme germanique et l'esprit allemand »
et « la connaissance de l'esprit aux heures
heureuses et sérieuses de la vie ». Encore une
fois, il partit tout d'abord du grand aspect de
l'évolution historique, caractérisa jeunesse et
force de l'âge des peuples ; dessina le passage
de l'ancienne clairvoyance à la conception du
monde mythique, la tension interne dans laquelle
se déployaient les peuples germaniques, entre
l'épopée homérique du Sud et le mythe des
Nibelungen du Nord ; le tournant décisif dans la
formation du christianisme, la position du Nord
et du Sud, de l'Est et de l'ouest à cet
événement engageant ; la réponse de la romanité
dans les grandes œuvres du Quattrocento et de la
Renaissance, de la germanité dans ces
merveilleuses créations comme le
« Heliand », la mystique allemande de
Tauler et Maître Ekkeharts, de Paracelse, Jakob
Boehme et Angelus Silesius, l'appel des
forces-Je à une vie spirituelle libre chez
Herder, Hegel et Fichte, Schiller et Goethe. Il
a accentué avant tout l'engageant dans lequel
repose l'âme des peuples en telles prestations,
l'avertissement de ne pas sombrer de nouveau de
telles hauteurs, mais de continuent à grimper en
amont, de ne pas voir seulement ce qui a été
atteint, dans de telles prestations, mais le
commencement : « Des humains individuels
peuvent mourir avant d'avoir pleinement vécu
leur vie . Les humains peuvent mourir dans
les années de jeunesse de leur être-là, parce
qu'ils reviennent dans d'autres vies terrestres,
et aussi parce qu'en dehors de cela d'autres
peuvent prendre leur place pour la vie
culturelle terrestre. Des vies humaines
inachevées peuvent se jouer dans l'être-là
physique extérieur. Des vies de peuple
inachevées pas ! Car quand un peuple, avant
qu'il ait rempli sa mission, serait assassiné ou
restreint dans son existence, alors une autre
individualité de peuple n'entre pas à sa place.
Les peuples doivent se vivre au bout ! Les
peuples doivent atteindre le plein achèvement du
cycle de leur être-là - pas seulement de leur
être-là d'enfant et force de l'âge. L'esprit
allemand, la vie de l'esprit allemande ne se
tient pas à une fin, pas devant un achèvement ;
mais se tient à un début. Lui est encore
attribué beaucoup... Dans cette vie de
l'esprit allemande repose de conduire dehors ce
qui était autrefois la pure façon de voir le
monde matérialiste à l'expérience du monde
spirituel ».[- -] Cette conférence culmina dans les
paroles citées à la page 262 : « L'Esprit
allemand n'a pas terminé ce qu'il devait créer
dans le devenir du monde ... Il a alors ensuite
présenter de telle pensées en cette année dans
son écrit « Pensées pendant le temps de la
guerre ».- Pendant que les uns se reposaient
rassasiés sur les réalisations passées ou se
vantaient des réalisations des générations
précédentes, sans même aborder le chemin vers de
plus hauts sommets spirituels, pendant que
d'autres niaient les germes d'un devenir
nécessaire au monde ou menaçaient d'étouffer,
Rudolf Steiner appelait le sentiment du devoir
de cette génération, nommait la suffisance d'un
côté et la volonté destructrice de l'autre côté
par leurs vrais noms et cherchait parmi ces
enveloppes d'une époque mourante après les
humains, qui étaient disposés, formés
intérieurement en tant que pionniers de l'Esprit
pour rentrer dans le chemin des sphères
jusque-là inconnues du monde et de l'espace de
vie guidé spirituellement. Il retourna à Dornach fin
janvier. Sa première conférence a été
consacrée au thème : « L'art véritable remonte
aux secrets de l'initiation ». Il a signalé
ces secrets à l'exemple d'histoire universelle
de Dante et de son ami et maître Brunetto
Latini. Ces deux figures, le grand artiste
révélant les lois cosmiques et son professeur
initié émergent toujours de nouveau comme motif
exemplaire dans les dix prochaines années dans
les conférences de Rudolf Steiner. Il a donc
arraché de l'oubli un événement important dans
l'histoire de l'esprit et lui a érigé un
mémorial dans la conscience actuelle qui sera
aussi donnant direction pour l'avenir. Car
l'esprit de Dante et de Brunetto Latini,
l'initié, règne aussi dans le présent et
l'avenir *. Le 31 janvier, Rudolf Steiner a
parlé à Zurich sur " Nos morts comme
collaborateurs ".Il a dédié cette conférence à
son ami Fritz Mitscher, dont il a également fait
l'allocution funèbre aux funérailles le 5
février à Bâle. Dans cette salle du crématorium
à Bâle, où, dans les années à venir, tant d'amis
ont reçu la consécration finale à la porte de la
mort par des mots de Rudolf Steiner, il a offert
aux vivants et aux morts chaque fois une
peinture de vie du défunt formée à partir de
l'amitié la plus intime et à la plus profonde
vue spirituelle.** Ces funérailles sont des
jalons importants sur le chemin, que Rudolf
Steiner a parcouru au milieu de ses amis. Dans les conférences des 5-7
février à Dornach il a donné maintenant une
grande peinture spirituelle du monde de lumière
du « Spectre de la mort » : « Le problème
de la mort en rapport de la conception
artistique de la vie ». Il a parlé sur les
périodes de la vie humaine comme des images en
miroir de processus cosmiques, sur les
expériences après avoir franchi la porte de la
mort, comme elles ont été montrées jusqu'à
présent dans certaines œuvres artistiques du
passé * Rudolf
Steiner: « L'art véritable remonte aux secrets
de l'initiation », « La conscience
d'initié »; voir aussi :. Dr G. Wachsmuth:
"Histoire des Mystères et de l'esprit"
chapitre X. [- -]
(par ex. « Puissance
insurmontables » de Herman Grimm) et comment
maintenant ces événements peuvent être éclairés
de vue spirituelle et être clarifiés, sur les
différents destins des décédés dans la jeunesse
ou la vieillesse ; sur la similitude de la
création artistique avec l'expérience dans le
monde spirituel ; sur la question qui lutte
dans tous les cœurs après réponse dans ces
armées de morts consacrées à ce temps de guerre
mondiale : "Comment le défunt peut nous parler".
Dans ce cercle de personnes de nombreux pays et
des peuples, qui étaient rassemblés dans la
simple salle de conférence de la menuiserie de
Dornach, les pensées allaient donc aux morts,
qui étaient tombés des deux côtés des
belligérants et s'unissaient au domaine où
guerre et haine appartenaient au passé, où les
armées de morts de tous les peuples, de nouveau
réunis, sont actifs ensemble à l'édifice de
l'esprit de l'humanité d'ensemble. Après que Rudolf Steiner par cela
à nouveau a travaillé quelque temps en une une
sphère, qui a été consacré à l'unité des
événements spirituels sur la terre et le destin
commun de l'humanité de chaque côté du seuil, il
se retourna vers la tâche d'apporter aussi loin
que possible aux humains vivant le renforcement
de la parole de l'Esprit dans les domaines des
puissantes luttes terrestres. Du 13 au 16 février, il œuvra à
Stuttgart, par des conférences aux membres et
publiques éclairant par les arrières plans
historiques les grands événements du jour,
rappelant à l'éveil d'enfoncer le voile des
événements extérieurs et tirer à la lumière les
forces motrices derrières, regarder les signes
des temps dans la bataille des façons de voir le
monde et les polarités spirituelles. Où Rudolf
Steiner arrivait, se balayaient d'elle-même la
pensée étroite de la vie quotidienne, les
intérêts et dépendances localisés, les
antagonismes mesquins et les slogans hypocrites.
C'était comparable pour l'auditeur à
l'expérience qu'aimeraient avoir des humains
dans un navire dans la nuit et la tempête qui
voient tout à coup la lumière d'un phare, qui
annonce la sécurité et la terre ferme avec son
faisceau de lumière qui brise l'obscurité, et
annonce le but. Ainsi, Rudolf Steiner mettait
aussi en main à chaque humain une boussole
intérieure et qui avec lui franchissait la rage
de l'environnement, savait que rien finalement
n’était sans raison, que les étoiles brillaient
encore derrière la brume, que la vue doit
seulement pénétrer assez loin pour chercher la
réponse aux questions des sphères qui étaient
plus grandes et plus larges que le cercle étroit
dans lequel la pensée de tant de personnes était
enfermée jadis. Espace et temps étaient de
nouveau profonds et larges, quand Rudolf Steiner
parlait. Il éclaira « L'arrière-plan
spirituel de la guerre mondiale », la
montée et la chute des cultures, la mission de
l'époque post atlantéenne, l'antithèse de l'Est
et de l'Ouest, les questions du monde spirituel
aux âmes et forces-Je des humains, il décrit la
vie en commun avec les esprits de peuple, dans
la veille et le sommeil des vivants, dans la
lutte des morts, il a annoncé l'esprit Michael
et les devoirs qui incombent à qui veut vraiment
lutter pour lui. Et il a caractérisé les
événements de la journée ainsi qu'ils déposent
leur non-transparence, leur peur ou arbitraire
fabriquant des masques [- -] et se dévoilèrent
comme images reflet d'une grande légité
terrestre. Il posait des questions qui sont
adressées à chaque humain, et de telles qui
étaient particulièrement adressées aux
belligérants dans cette lutte ; ainsi dans les
conférences publiques des 15 et 16 février, la
question humaine générale : « Qu'est-ce qui est
immortel à l'entité humaine ? » et la question
spécifique : « Pourquoi nommez-vous le peuple de
Fichte et Schiller un peuple de barbares ?".
Impitoyablement, il défendait ce qui s'avérait
contrevérité et slogan méchant, le brouillard de
la propagande, l'insulte, le discours sur les
«barbares», la fausseté où qu'elle se produise
de tout côté, la dissimulation et la brume qui
comme souffle toxique a été déposée sur les
âmes, et il n'avait pas de repos jusqu'à ce
qu'après ses conférences, les gardes intérieures
entendaient de nouveau le bruissement clair, pur
de la source spirituelle, s'étaient à lui créé
force, sérénité, yeux clairs, un cœur solide,
une volonté inflexible, ils s'étaient rétablis. À Hanovre, il a parlé le 18
février, sur "Les pouvoirs de rajeunissement de
l'âme du peuple allemand", le 19 février : "La
mort comme transformation de la vie", "Les morts
sont au milieu de nous" à Brême les 20 et 21
février sur les esprits des peuples et les
membres de l'entité humaine, sur les trois types
humains dans l'Est, le Centre et l'Ouest ; aussi
à nouveau sur les grands de l'histoire de la
Terre , sur Dante, Goethe et Shakespeare, sur
Tauler, Angelus Silesius et Jakob Boehme, sur J.
St. Mill et Emerson, sur les forts dans la
pensée et la volonté et apparemment délicat,
mais spirituellement fortifiant, lesquels comme
Novalis appelèrent la lumière de l'Esprit à
s'incarner dans la parole. Aussi ici il a répété
le pressant avertissement de vivre conscient
avec les morts et regarder à travers et
maîtriser plus intensivement que jamais les
événements du temps dans leur aspect spirituel. Dans la période du 22 février au
23 mars il poursuivit à Berlin, Leipzig,
Nuremberg et Munich cette activité de tirer dans
la lumière de la contemplation spirituelle
l'arrière-plan des événements du temps des
coulisses peintes de l'illusion et promouvoir
tout un chacun humain, si petit qu'il soit aussi
encore dans son rôle en ce drame immense du
monde, de porter la grande et lourde
responsabilité de la connaissance. A Berlin, il
a conduit plus loin la série de conférences pour
les membres «Considérations du temps »
commencée lors de la précédente visite et a
parlé dans des conférences publiques à la maison
des architectes sur «La force porteuse de
l'esprit allemand», «Qu'est-ce qui est mortel de
l'entité humaine ? », « Destin et
immortalité ». À Nuremberg, il a parlé sur
l'union des forces de clairvoyance et des
impulsions morales. Sur l'interaction des
hiérarchies spirituelles et des morts à travers
les forces éthériques.Sur les métamorphoses
historiques produites par cela. Sur les
obligations apparaissant avec cela de la
formation de l'esprit, de l'âme et du corps.
Dans ce dernier contexte, il a présenté
l’«eurythmie comme antithèse du système
sportif», c'est à dire aussi sur les différences
d'un entraînement corporel, [- -] selon qu'il
est conçu d'une façon de
penser spirituelle ou mécaniste (voir p.
258). À Munich, il a parlé le 21 et 23
mars en conférence publique sur « Racines
et fleurs de la vie allemande de
l'esprit », aux membres à fond sur la vie
entre mort et nouvelle naissance. Le 26 mars, Rudolf Steiner était
de retour à Dornach, où entre-temps avait été
travaillé plus loin avec diligence à la
construction et tout attendait ses conseils et
directives. En soirée, il remonta sur le pupitre
dans la menuiserie, où maintenant un auditorium
de fortune a été créé pour les auditeurs, qui
avaient été assis jusqu'à présent autour sur
planches et bancs pour les conférences. Les
premiers stades de ce système de conférence à
Dornach nous l'avions déjà décrit aux pages
239/242. Maintenant, à Pâques 1915, un
podium-scène était en construction contre la
menuiserie la première représentation du Faust
envisagée a été fixée pour la fête de Pâques,
dans la salle, les tas de planches entre les
machines à scier avaient été remplacés par des
rangées de chaises. Finalement, le lien entre la
salle des machines et la salle de conférence se
détacha si loin que les deux ont obtenu leurs
propres pièces et que maintenant avec le temps
apparaissait une salle spéciale, même si encore
très provisoire, pour des conférences et
représentations artistiques. Dans la première conférence le 27
mars, Rudolf Steiner a parlé pour ainsi dire de
la technique d'observation clairvoyante, sur
« Les trois types de clairvoyance ».
C'était aussi nécessaire que ceux qui
s'occupaient de ce chemin de connaissance,
apprennent très précisément à différencier entre
vérité et erreur, objectif et subjectif qu'on
doit justement ainsi observer exactement dans le
suprasensible, comme dans le laboratoire, que
dans chaque cas unique on doit d'abord préciser
exactement ce qui par ex. est à attribuer dans
le phénomène suprasensible à l'observateur
lui-même et ce qui est d'une influence de
l'environnement. Tout de suite avec
l'observation clairvoyante est à
différencier très finement et exactement quels
contenus de la perception proviennent de la
propre structure de corps sensible-suprasensible
de ceux qui s'approchent de l'extérieur, de
l'environnement spirituel à l'observateur.
Beaucoup d'erreurs se produisent dans le temps
actuel chez de tels humains qui n'apparaissent
pas par une formation spirituelle auto-acquise,
mais de disposition atavique comme soi-disant
"clairvoyant", par manque de lucidité et de
précision dans la différenciation de subjectif
et objectif, Je et environnement, forces propres
et étrangères, non-humaines. Ce serait là juste
évoquer un passage de telles explications qui
montre d'une manière caractéristique, comment
Rudolf Steiner a insisté pour clarifier et
délimiter très précisément les concepts dans le
domaine de la «clairvoyance» et éliminer
complètement toutes les illusions sur ce chemin
afin que l'humain se rende en premier dans ce
domaine que quand il a atteint une pensée
claire, une autodiscipline de fer, une
observation précise, une capacité de de
différenciation précise. Ainsi, il a dit par ex.
dans cette conférence : « On peut tout de
suite l'exprimer comme une loi ; quand la
clairvoyance commence avec les structures les
plus fines, en particulier avec des formations
de couleur, alors c'est une clairvoyance qui [-
-] se réfère à des processus qui se déroulent
dans la personnalité. J'insiste sur cela,
car cela peut être de valeur pour l'explorateur
du monde spirituel. Tout de suite comme
l'anatomie et la physiologie examinent des
processus digestifs et d'autres, ainsi a aussi
une haute valeur, de cette manière que derrière
les processus humains se tenant des spirituels,
d'explorer le spirituel. Mais, il serait grave
si on s'adonnait à n'importe quelles tromperies,
quand on se livrerait à des illusions, et
n'interpréterait pas les choses de la bonne
manière. Si on devait croire qu'une telle
clairvoyance survenant sans une préparation
appropriée pourrait donner plus que ce qui se
joue dans l'humain et se projette hors dans le
monde objectif, quand on croirait que dans une
certaine mesure les puissances du monde se
manifestant, les forces spirituelles donnant le
ton par une telle clairvoyance, pourraient venir
plus près, ainsi on se tromperait beaucoup...
Pas tout ce qui sera trouvé sur les chemins de
la clairvoyance - j'aimerai exprimer cette
phrase radicale – sera adorable, mais tout vaut
la peine de l'apprentissage ». Donc, il a rendu ses élèves
attentifs très exactement là-dessus comment on
apprend à distinguer du caractérisé
subjectivement et objectivement, et également la
clairvoyance dirigée vers l'intérieur ou vers
l'extérieur, etc. Nous insistons sur ce fait
parce que par de tels adversaires,qui sans
orientation plus proche croient être en mesure
de juger au sujet de ces choses, l'objectivité
de la recherche clairvoyante de Rudolf Steiner a
été ici ou là remise en question.Mais tout de
suite lui comme unique dans le temps
d'aujourd'hui, et en fait pas de scepticisme bon
marché ou le désir de critiquer et négation,
comme ceux-ci, mais d'une expérience personnelle
très précise, a fait ressortir les
caractéristiques distinctives exactes jusque
dans le plus détaillé qui délimite subjectif et
objectif l'un l'autre et où est disponible
illusion et où perception concrète. Il a décrit
et formulé précisément les caractéristiques de
chaque sorte de perception suprasensible et ses
contenus particuliers, comme le physicien ou le
chimiste détermine la nature et le contenu de
son observation dans le laboratoire. Dans ces
conférences et de nombreuses plus tard Rudolf
Steiner a souligné que lors de l'entrée dans ce
nouveau domaine de la connaissance, des
exigences encore plus élevées, plus strictes
devraient être posées, que dans l'exploration du
monde sensoriel-physique : La recherche suprasensible
présuppose donc tout de suite encore plus que
l'exploration du sensible jusqu'à présent, une
volonté intense d'apprentissage infatigable, une
préparation rigoureuse, l'auto-observation la
plus impitoyable, la déconnexion de toute
subjectivité et la vérification la plus exacte
de la validité objective de chaque résultat.
Mais si lourd et dur [- -] peut être ce chemin,
il est si impitoyablement nécessaire pour le
développement ultérieur des humains: «Plus nous
nous poussons vers l'avenir de notre
développement sur la terre, d'autant moins les
humains pourront vivre sans que leur vie de
l'âme soit desséchée, si ils ne peuvent pas
accueillir les résultats de cette clairvoyance
dans leur connaissance... Les gens qui aspirent après cela,
de manière impersonnelle, dans le sens où c'est
évoqué dans « Comment obtient-on des
connaissances des mondes supérieurs », de venir
à une vision des mondes supérieurs, humains, qui
ne se laissent pas décourager d'aller ce chemin
inconfortable mais sûr, ils développeront en
rapport à leur clairvoyance aussi quelque chose
d'impersonnel en soi, avant toutes choses un
intérêt supérieur pour la connaissance objective
du monde, pour ce qui va se soi dans le monde
cosmique et du devenir historique ». C'était cela à quoi Rudolf
Steiner, dans ces conférences de Dornach tout de
suit dans cette heure du monde de graves
décisions au milieu de la guerre qui fait rage
autour voulait sensibiliser les humains : à
partir de la connaissance objective des arrières
plans suprasensibles du monde, acquérir une
vision lucide, claire et vraie des processus
historiques. De cette manière, de par les jours, a été le
travail pratique, en soirée travail de
connaissance à l'édifice d'humanité à Dornach.
Albert Steffen a une fois, avec la prégnance du
grand poète, saisi la tâche en paroles qui
étaient assignées à cette construction de
Dornach : « qui devrait devenir un
lieu pour la ronde de tous les esprits de
peuple, dans laquelle chaque nation aurait le
droit de s'élever en représentante du genre
humain, quand aussi toujours en une façon
différente de transformation, mais toutes de
mêmes valeurs dans la mesure comme elle
pratiqueraient la connaissance de soi ». Au temps de Pâques, Rudolf Steiner a donné aux
amis travaillant là deux cadeaux spirituels
significatifs. Les conférences des 2 et 3 avril,
Vendredi saint et Samedi saint ont été consacrés
au thème : « Le mythe de Baldour et le
mystère du vendredi saint » ; les
conférences de Pâques parlent aux « Trois formes
de Faust ». Il a répondu dans les deux
premières conférences sur la question apparue
des folklores celtiques germaniques : « Où est
Baldour ? » Baldour, qui est descendu dans
le royaume des ténèbres, était le représentant
de l'humanité, qui auparavant clairvoyante est
alors devenue aveugle, avait perdue les forces
de la clairvoyance*. Les forces devenues
inactives avec cela, mais encore disponibles,
l'humain les utilisa à l'époque suivante au
développement de son intellect. Raison terrestre
et connaissance purement matérielle éteignirent
les anciennes forces de voyance. Mais le Christ
est descendu dans le royaume des ténèbres et les
a rachetés. Le chemin du Vendredi saint au
dimanche de Pâques peut être pour les humains
résurrection de la force de vision spirituelle
sous une nouvelle forme. Dans cette conférence,
Rudolf Steiner laissa présager sous la forme
d'une conversation entre un enseignant et
l'élève des anciens mystères nordiques ce
message de Pâques : * Rudolf Steiner: « Le
mythe de Baldour et le mystère du Vendredi
Saint » et entre autres ; voir aussi
:. Ernst Uehli: « La naissance de
l'individualité à partir du mythe ». [- -] « Baldour n'est pas
dans le visible. Parce que toi comme humain
avait besoin de ces forces formatrices, ces
forces formatrices rajeunissantes que jadis tu
avais le droit d'accueillir demi-connaissant,
elles agissent maintenant à ton insu dans ton
intérieur afin que tu ne leur prennes rien par
ton savoir-raison. Parce que tu avais besoin de
ces forces dans cet invisible, Baldour a disparu
du domaine du visible, s'est retiré à l'endroit
où est le monde de ton propre intérieur sous
conscient... Le dieu Baldour est dans le
sous-monde, il est dans l'enfer, il agit
dans l'invisible sur toi. Englouti et écoulé est
le royaume de voyant solaire de Baldour... Baldour est dans le domaine de
l'enfer, mais le Christ est descendu dans le
royaume de l'enfer, dans le royaume du
sous-conscient de l'entité humaine propre ; là
il vivifie le Baldour. Et quand l'humain
s'approfondit suffisamment dans ce qu'il est
devenu dans le cours de l'évolution de la terre,
là il trouve à nouveau la force formatrice
rajeunissante ». MARIE STEINER (1915) À la fête de Pâques se déroula la
naissance d'une impulsion importante porteuse
d'avenir, car elle amena le 4 avril 1915, la
première représentation eurythmique de la scène
de Pâques dans le « Faust ». Aucune œuvre d'art
du passé ne pouvait donc être appropriée à
amener à représentation la réalité d'un monde
spirituel que tout de suite cette scène de
Pâques où Faust se décide de se rendre de son
plein gré à travers la porte de la mort, mais en
ce moment crucial, vit les chœurs des
hiérarchies, des morts, des puissances
spirituelles, par une vue suprasensible. Et
aucun art du présent ne pouvait être plus
approprié que l'eurythmie d'amener à
l'expression cet élément suprasensible en mot,
mouvement, couleur et forme pour le traduire
dans le visible. Les formes d'expression
artistiques antérieures ont toujours été
inadéquates, parce que leurs éléments ont
seulement été pris de la manière de penser
sensorielle-physique du siècle passé. Ici était
maintenant donnée une forme d'art dont les
propres lois provenaient de la perception réelle
du monde spirituel, ce par quoi premièrement une
interprétation conforme à la réalité des
processus spirituels devenait possible. Certes,
ceux de Pâques 1915 ont été les premiers débuts.
L'Eurythmie n'avait pas encore entièrement
traversé trois ans de développement depuis sa
création, les nombreuses indications de Rudolf
Steiner pour les arts de la scène nous ont
seulement été offertes dans la décennie
suivante. Mais comme les premières tentatives de
marche d'un enfant transmettent beaucoup
d'essentiel sur le monde de l'espace et des
forces d'équilibre, dans lesquelles on se remue
plus tard si sûrement, ainsi sont aussi
particulièrement intéressantes ces premières
expériences testant les possibilités, à partir
desquelles grandirent les puissantes
représentations du Faust avec la plénitude
d'expressivité. Ainsi a été aussi faite à cette
représentation par exemple une première
tentative d'accompagner le changement de la
séquence d'images du contenu spirituel par le
changement intensif de la couleur de scène, ce
qui se montre en substance des indications
mentionnées précédemment par Rudolf Steiner sur
la nature de la couleur. De cette façon, se
transforma, par exemple, dans cette première
tentative de présentation de la scène de Faust
aux paroles « Christ est ressuscité » la scène
auparavant plongée dans des tons de couleur
noire en une sphère remplie d'un rouge vif.
L'essence du rouge nous l'avions décrite à la
page 180. Cette indication a ensuite été
gardée en ce que les représentations d'eurythmie
au cours de l'année se déroulèrent généralement sur un
fond bleu, tandis que seulement le jour de
Pâques apparaissait un rouge brillant des
rideaux à leur place, etc. Comme les
représentations du Faust passèrent plus tard de
la représentation eurythmique à la
représentation dramatique, l'élément de la
couleur et de son évolution obtint une partie
importante dans la conception du décor. Il était
encore un long chemin à partir de Pâques 1915
jusqu'aux sommets dramatiques du Festival Faust
une décennie plus tard. Mais il est utile de
revenir de temps en temps en pensée à la source,
quand on s'est rafraîchi à l'abondance du
paysage du grand courant. Le fait que cette
graine a été fécondée de nouveau à partir du sol
maternel du Faust de Goethe, se montra
naturel-organique de la sphère de l’œuvre - et
du destin de Rudolf Steiner. Les conférences adjointes à cette
première représentation eurythmique de « Faust »
à Dornach ont été dédiées aux « Trois figures de
Faust ». Le caractère essentiel de cette
forme humaine, Rudolf Steiner l'illustra à
l'antithèse historique de saint Augustin et
l'évêque manichéen Faustus, à la légende riche
en éclaircissement de la rencontre d'Érasme de
Rotterdam avec Faustus Andrelinus à Bâle, à la
forme du Faust médiéval et l'oeuvre sublime de
Goethe *. Le 10 avril, Rudolf Steiner a
parlé publiquement pour la première fois à Bâle
sur ce qui aspirait à son accomplissement à
Dornach : « Un édifice à Dornach en sa
conception comme maison de la Science de
l'esprit ». « L'ÉVEIL
DE L'AME » Après la naissance de ces
nouvelles impulsions à croissance vigoureuse à
Dornach, il a voyagé du 15 au 23 avril de
nouveau pour la poursuite de conférences
publiques et pour la branche à Berlin, où les
cours à la maison des architectes ont complétés
les thèmes commencés en mars : « Le théâtre
des pensées comme résultat de l'idéalisme
allemand », « Sommeil et la mort du
point de vue de la science de l'esprit », «
Connaissance de soi et connaissance du monde ».
Les conférences pour la branche ont expliqué les
nouveaux aspects de « L'essence de l'homme en
tant que membre du grand organisme monde »,
« L'essence des hiérarchies, dans la
pensée, le sentiment, la volonté et agissant
dans le Karma », « L'image du monde de
l'idéalisme allemand.Une considération au regard
de notre temps porteur de destin ». Le
motif de base de cette activité était par
conséquent toujours la classification de
l'humain enfermé en des barrières de la terre
apparentes dans la sphère plus large d'un
monde-organisme. Après un retour temporaire de fin
avril au 5 mai pour activité de construction et
conférences à Dornach, au cours duquel avant
tout le travail des forces formatrices
éthériques vivantes dans l'humain, dans le
cosmos, dans l'art, est venu à représentation,
Rudolf Steiner voyagea de 6 à 18 mai en
Autriche. Là il a parlé à Vienne, Prague et
Linz. À Vienne, les conférences publiques
appelèrent à la connaissance pleine de courage
des signes du destin qui ont révélé leur
écriture-monde au milieu des événements de la
guerre : « La connaissance suprasensible et
sa force renforçant l'âme dans notre temps
porteur de destin », « Le destin de
l'humain « Le
gardien du SEUIL » Drame
mystère de Rudolf Steiner.8e tableau: Le
royaume d'Ahriman. * Rudolf
Steiner : «Faust, l'humain aspirant »,
« Le problème-Faust »; voir aussi :.
Dr G. Wachsmuth: « Histoire des Mystères
et de l'esprit » Chapitre XII. [- -] à la lumière de la connaissance
des mondes spirituels ». Les
conférences aux membres ont donné des forces
d'orientation par présentation des relations
spirituelles aux morts et tombés à la guerre qui
deviendront des aides pour l'avenir spirituel ;
aussi par des indications concrètes sur
l'auto-éducation, la maladie et la guérison. À Prague, la substance des
conférences de Vienne a été transmise à des
cercles supplémentaires. En dehors des
conférences publiques a été inauguré un nouveau
local de branche, le 15 mai, comme un point de
rayonnement pour le travail intensif. À Prague,
une activité spirituelle saine a été
particulièrement favorisée par le professeur
Adolf Hauffen et son épouse, Mme Clotilde
Hauffen, qui a dirigé l'une des branches
locales. Ad. Hauffen était professeur de
langue et de littérature allemande à
l'Université allemande de Prague et dans sa
maison hospitalière régnait une atmosphère de
haute culture scientifique et spirituelle.
Rudolf Steiner lors de ses conférences à Prague
était à chaque fois en visite et a souvent
habité là.Lors de l'inauguration cette fois là
du nouveau local de branche, il a fait aux amis
le cadeau de parler de la représentation
artistique du représentant de l'humanité, le
Christ, l'immense statue à l'édification de
laquelle, il travaillait actuellement à Dornach.
Aussi lors de la visite maintenant suivante à
Linz le but visé des conférences de Vienne et le
rapport sur le travail de Dornach était au
premier plan d'un tableau d'actualité, qui
éveillait les auditeurs au sens fatidique des
événements. FAUST II de
Goethe Dans cette période, nous trouvons
Rudolf Steiner sans relâche en voyage. Il
faut se rappeler qu'à cette époque, même au
milieu de la guerre avec tous ses phénomènes
d'accompagnement paralysant la circulation a
donc encore été garantie une belle et saine
libre circulation de l'action spirituelle. L'ère
des barrières fermées, les presque
insurmontables formalités de passeport, les murs
de la forteresse impénétrable et règlements
inévitables n'étaient pas encore tombés. Un
échange de pensées serviables et fructueuses de
l'aller et prendre la substance spirituelle
correspondaient encore à la bonne vieille
tradition de la communauté humaine, qui quand
aussi politiquement et économiquement les
barrières s'abaissant, laissaient quand même
leurs portes ouvertes à l'afflux de saines
forces spirituelles constructives, sachant que
l'humain dans la bataille, bien que de manière
naturelle se démarquant, doit garder les hautes
sphères ouvertes dans le travail spirituel,
surtout quand il est disposé à affecter la
victoire spirituelle sur le physique. La bonne
tradition se préservait encore que seule la
force spirituelle libre peut trouver la plus
haute prestation. FAUST
II de Goethe Rudolf Steiner a créé et donné
une nouvelle force du travail à l'édifice de
Dornach aussi pour la Pentecôte. La conférence
de la Pentecôte du 22 mai 1915 a complété les
conférences de Pâques sur les trois figures de
Faust et offrit à la fin les paroles de
Pentecôte qui naissent de véritable esprit
rosicrucien,à ceux qui les laissèrent devenir
une source de force à travers la méditation, la
compréhension et le faire de ce temps plein
d'énigmes pour pouvoir servir comme étalon de
valeur pour eux-mêmes et au monde : [- -] « Là où la
connaissance sensorielle se termine, Alors que le jour de Pâques 1915,
pour la première fois une scène de la première
partie du Faust de Goethe était venue à
l'expérience eurythmique sur la scène de
Dornach, était maintenant à la Pentecôte la
première fois amenée à représentation la
« scène d'Ariel », le prélude de la
IIe partie du Faust, à son tour, un premier
début, qui plus tard pour accords cosmiques et
terrestres sublimes trouva dans la construction
avec ses énormes dimensions tout de suite cadres
et expressions nécessaires. Les conférences de Dornach du 22
mai au 3 juin apportèrent d'abord en lien à ces
expériences de la scène d'Ariel où Faust se
réveille dans le son du tonner du lever du
soleil et fait l'expérience de l'esprit de la
terre, l'enrichissement de cette scène
artistique de Goethe de ses réels arrières plans
par la recherche en science de l'esprit. Rudolf
Steiner décrit la Terre comme un organisme
spirituel-réel, comment il dort dans le
processus végétatif de l'été et se réveille dans
la concentration de l'hiver. Dans ces grandes
oscillations annuelles de la vie et de la
conscience d'organismes supérieurs, nous nous
tenons humains dedans avec nos plus petites
oscillations et rythmes. Nous aussi
expérimentons spirituellement-psychiquement été
et hiver en nous, au cours de l'année et aussi
au cours de la vie. Ambiance de Pentecôte
signifie porter notre vie de l'âme éveillée
renforcée dans le sommeil de l'Esprit de la
Terre en été. Le vieil adage Rose-Croix est
aussi d'importance au cours de l'année ; au
temps de l'été qui atteint un sommet à la Saint
Jean , nous faisons l'expérience intense du
principe de père dans le cosmos : « Ex Deo
nascimur », dans la seconde moitié de l'année,
qui culmine dans la période de Noël, le principe
du fils : « In Christo Morimur ». La
science de l'esprit fournit la résurrection
comme un cadeau de la Pentecôte du monde :
« Per Spiritum Sanctum Reviviscimus ». Ces conférences contiennent à la
fois des informations très importantes sur la
situation de l'époque, sur le karma du
matérialisme, le développement excessif du
principe de nationalité, la mission spirituelle
de petits peuples qui remplissent d'après leur
essence et action dans la spécialisation des
grands complexes de peuples en tant que gardiens
et soignants de la substance spirituelle, et
auxquels il reconnut des tâches importantes dans
la vie des peuples. [- -] Ces observations ont
culminé dans l’« Ambiance-Faust » : Du 10 juin au 6 juillet, Rudolf
Steiner séjourna à nouveau pour conférences dans
différentes villes allemandes. Il a conduit tout
d'abord à Berlin les « Considérations
d'époque » commencée l'hiver 14/15 et a
ouvert maintenant le 10 juin avec une conférence
« Le groupe sculpté de l'édifice à
Dornach ». Il a souligné le fait que cette
oeuvre d'art est née non seulement des lois de
l'art du sculpteur, mais de la vision
spirituelle, clairvoyante de l'essence du Christ
représentée entre Lucifer et Ahriman comme
contre-forces : «Il ne s'agit pas de simple
symbolisation, mais de ce que chaque train
unique dans les trois entités est créé dans les
détails les plus plus minutieux de la façon de
voir selon la science de l'esprit ». Il a
décrit comment dans cette statue devrait venir à
l'expression que le Christ ne combatte pas ces
contre-pouvoirs au sens humain, qu'il ne leur
fasse pas front par la haine et l'hostilité ou
les forces de destruction qui n'exprimeraient
pas sa nature, mais ce qu'il les amène par son
être-là, son se tenir là vertical en équilibre
entre polarités, à se surmonter elles-mêmes :
« Le Christ n'est ni un haïssant ni un
aimant injuste. Il n'étend pas la main pour
briser les ailes de Lucifer, mais le Christ est
celui qui tend la main, parce qu'il le doit de
son être intérieur. Il ne rompt pas les ailes à
Lucifer, mais Lucifer en haut ne supporte pas ce
qui se dégage de cette main et se brise lui même
les ailes. Par conséquent, il doit être exprimé
dans la forme de Lucifer, que les ailes ne lui
seront pas brisées par le Christ, mais qu'il se
brise les ailes lui-même... Connaissance de soi
en Lucifer, cela est expérience de
soi. Justement ainsi dans Ahriman. Christ
ne fait rien aux deux, de sorte que ni la main
gauche ni la droite n’est tendue ainsi comme
s’il faisait quelque chose à Lucifer ou
Ahriman. Il ne leur fait rien, mais ils le
font à eux-mêmes, ce qui se passe avec eux. Et
ainsi, nous nous tenons sur le sol sur lequel
intervient la science de l'esprit dans notre
temps, pour donner une façon de voir le Christ
de correcte nature... L'idéal viendra dans le futur,
qu'on conçoit l'entité-Christ selon ce qu'elle
est, pas seulement d'après ce qu'elle fait ou
fera, quand la fin du développement de la terre
sera là. Une entité qui agit par son être, ce
qui doit se passer dans les âmes elles-mêmes ».
C'est en même temps un symbole et un modèle de
notre propre être-là. Nous ne pouvons pas
penser ou sortir les contre-pouvoirs du monde,
nous ne pouvons que tenir dans l'équilibre entre
eux, traverser en liberté entre eux :
« Telle est la vie de l'humain. Ce
n'est pas ainsi qu'on peut dire : je fuis
Lucifer, je fuis Ahriman. Si on voulait dire, je
fuis Lucifer, je fuis Ahriman, ce ne serait pas
la vie. Ce serait comme un pendule qui n'oscille
pas. L'expérience humaine oscille vraiment,
sur l'un des côtés d'après Lucifer, d'après
l'autre côté d'après Ahriman. Et qu'on n'ait pas
peur, c'est l'important. Si on fuyait
Lucifer, il n'y aurait pas d'art ; si on fuyait
Ahriman, il n'y aurait pas de science
externe.Car tout l'art qui n'est pas imprégné
par la science de l'esprit est luciférien, et
toutes Dans
le studio, travaillant sur la statue (1919)
[- -] science externe, aussi loin
qu'elle n'est pas la science de l'esprit, est
ahrimanienne. Ainsi, l'homme oscille.C'est la
chose importante, et qu'il le reconnaît qu'il
veut être en équilibre et pas en repos ».
Avec cela Rudolf Steiner a dans le même temps
indiqué aux humains la voie du milieu aux
polarités et forces de cette période difficile,
la vision des arrière-plans spirituels dans un
combat, que l'Est, le Centre et l'Ouest ont
laissé prendre pied les uns contre les autres à
un faux niveau. Il a rehaussé cela à nouveau
dans la sphère de la connaissance, où les
opposés ne sont pas conçues pour s'annuler
mutuellement, mais pour se renforcer l'une à
l'autre, où elles sont destinés à la synthèse
saine, pour éveiller une puissance accrue de
l'équilibre gagné par soi-même : « Ce n'est pas une question,
qu'on repousse seulement l'un ou l'autre, mais
qu'on devienne conscient que vraiment à l'avenir
une culture correspondante consiste en ce qu'on
sache amener les deux dans la mesure correcte
que l'un doit avoir contre l'autre. Et là vous
voyez exprimé, j'aimerais dire, toute la
destinée de la terre dans notre statue. C'est
une fois la tâche de l'Europe d'apporter un
équilibre entre l'Est et l'Ouest. Dans l'Est, le
pendule oscille d'un côté, à l'ouest de l'autre
côté. Ici en Europe, il ne nous revient pas
purement d'être les imitateurs de l'Est ou les
imitateurs de l'Ouest, mais il nous revient,
tout à fait indépendamment de nous tenir sur
propre sol et reconnaître pleinement la
légitimité de l'autre… Quand notre temps reconnaîtra une
fois ces choses, mais pénétrera pensant,
sentant, avec sentiment (il n'a pas besoin
d'orgueil à cela), alors il sera clair à ce
temps, comment les événements douloureux du
présent sont en fait là que pour amener à
l'humanité le sentiment de la tâche que cette
humanité aura à remplir dans un avenir proche.
On aimerai seulement espérer que le grand, le
douloureux, que l'humanité expérimente, peut
donner naissance aussi un réel et vrai
approfondissement des intériorités (NDT
Gemüter). Il est déjà vrai que,
malheureusement, dans ce qui sera amené à
l'expression, en particulier dans le parlé et
l'écrit littéraire, le grand sérieux que notre
temps nous oblige ne reconnaît par aucun chemin
que beaucoup, beaucoup doit encore entrer dans
les intériorités des humains afin que ce grand
sérieux, j'aimerais dire, ce sérieux
réconfortant rempli les intériorités ainsi que
l'humain pourra être porté par les tâches qui
lui sont placées. C'est sérieux ce qui nous sera
demandé pour tâche, mais c'est un sérieux plein
de consolation, plein d'espoir, inspirant
confiance. Il suffit de se rendre compte que
nous vivons dans un temps où du grand nous est
demandé, mais qu'aussi ce grand peut être rempli
par nous, et on ne pourra pas aussi venir en ce
temps à une vision pessimiste du monde ». Ainsi, la statue construite à
Dornach était un symbole suprême des devoirs et
responsabilités avec lesquels les peuples de la
terre ont été mariés spirituellement. Ils ne
rempliront celles-là seulement, quand la
bataille et la compensation ne se vivent pas
dans la haine et de l'arrogance, dans un
déploiement de pouvoir physique et d'écrasement
matériel, mais repose originellement sur le
niveau supérieur de la lutte et de l'équilibre
spirituels, et quand cela vient à
accomplissement dans le construit polairement,
mais tout de suite par cet organisme vivant,
capable d'évolution de l'humanité d'ensemble sur
la terre. Quel autre aspect a été ainsi donné,
comme dans l'énorme quantité de mensonge,
routine et phrase par lesquels les peuples ont
été à cette époque incités et poussés dans un
chaos dépourvu de sens. [- -] Dans des conférences
supplémentaires à Berlin, Elberfeld, Cologne et
Düsseldorf, ici avec le sujet « Commun au
dessus de nous, Christ en nous », Rudolf Steiner
a donné aux humains la force intérieure pour
garder la tête au-dessus des eaux du trouble, de
sorte que chacun devienne son propre conducteur
et beaucoup travaillent ensemble, pour ne pas
perdre de vue les objectifs spirituels dans la
tempête du temps. Dans ces conférences a de
nouveau été pensé à l'aide des morts, et des
sphères où les pouvoirs aidant séjournent, qui
veulent être reconnus et accueilli dans
l'existence terrestre. La dernière conférence
avait pour thème : « La signification cosmique
de nos perceptions sensorielles, notre penser,
sentir et vouloir ». Rudolf Steiner retourna maintenant pour
plusieurs mois à Dornach, où il se consacre
à du 17 juillet au 7 novembre à la
plus intensive poursuite de l'activité de
construction et en même temps à la formation
spirituelle des co-créateurs. L'indication
entamée dans les conférences précédentes aux
puissances les plus élevées, les plus aidantes a
été maintenant clarifiées dans ces conférences
jusque dans le domaine de travail concret. Ainsi
il a parlé dans la première conférence à Dornach
du 17 juillet sur l'action des êtres angéliques
supérieurs dans le langage humain : « Sur
le langage comme reflet de la vie des êtres
supérieurs ».La prochaine présentation
« L'harmonie perdue entre parler et
penser » traita de la séparation l'un de
l'autre du développement du langage et du
développement de la pensée dans le temps
actuel ; une indication prophétique, car
jamais est donc dans le passé est tant abusé de
la parole, oui, les plus hauts mots de la
langue, comme liberté, amour, justice, vérité,
etc ont été poussés sous un sens et un contenu
si défiguré, comme dans les décennies à venir.
Une telle action contraire à la vérité de
l'homme provoque des révolutions jusque dans les
shères des êtres spirituels. Mais l'édifice du
Goetheanum devait être une "Maison de la
Parole", où la plus haute capacité de l'humain,
la langue, devaient reconquérir son don le plus
spirituel, de la parole, l'ancienne sainteté
originelle, la véracité et la force spirituelle. [] qui leur avait été chargés dans l'abus de
mot par les humains. «Nécessité», «hasard» et
«providence» sont aujourd'hui diversement
devenus des formules, des gousses à concept que
l'humain remplit avec des contenus qui lui
semble tout de suite convenants ou utiles. Mais
qui veut être un serviteur de la Parole, doit
apprendre à se passer de cette détermination
arbitraire, et écouter l'esprit qui veut agir
ouvertement et de plans plus élevé par la
parole. Ainsi, le devenu subjectif devient de
nouveau objectif, mais le devenu objectif à
nouveau reconnaissable comme une série
d'expériences et d'actions d'êtres spirituels. Des problèmes scientifiques spécifiques ont
également été clairement définis dans ces
conférences, ainsi dans la conférence du 20
août: « Mathématiques et mécanique. L'éther de
la physique. Flammarion, Henri Poincaré ",
etc. La prise de position en sciences de
l'esprit vis-à-vis des théories de l'existence
d'un éther hypothétique et l'essence réelle de
l'éthérique, Rudolf Steiner l'a tournée vers une
attention accrue dans les années à venir. Plus
tard, dans les années 1920 à 1921 ont donc été
installés à Dornach, des laboratoires spéciaux
pour la biologie et la physique, où ces
questions ont subi objectivement recherche et
examen scientifique. Nous irons à cette question
plus en détail. Rudolf Steiner donna maintenant également aussi
de telles croissances en ces jours, substances
fructueuses, les plus belles créations où dedans
l'art révèle les forces sublimes d'un Cosmos
guidé spirituellement. Cette création porta le
nom « Douze ambiances » et laisse résonner dans
la parole en douze strophes d'airain de sept
lignes chaque, des signes cosmiques du zodiaque
son essence, son tissage de forces, sa
contribution spirituelle et dynamique dans la
danse des sphères planétaires. Quiconque a vécu
ces archétypes mobiles qui illustrent être et
transformation des étoiles fixes et planètes à
travers l'eurythmie, la symphonie des colleurs
et des sons sur scène, celui-là saisit
intérieurement la certitude d'avoir le droit de
participer à un acte élémentaire de la création,
qui rend visible l'harmonie éternelle du
macrocosme et du microcosme sur la terre.
L'humain sait alors de l'observation directe
qu'il est appelé par toutes les faiblesses et
les erreurs par la divinité, pour devenir organe
conscient d'un ordre supérieur. Dans les
conférences se rattachant, Rudolf Steiner se
tourna dans le train de ce processus de
clarification générale aussi contre les fausses
méthodes par lesquelles il était devenu habituel
à cette époque dans l'environnement, tout
simplement curieux et sans le respect de la plus
haute destinée de l'humain, de picorer alentour
dans les bas-fonds : contre la
psychanalyse. Oui, il l'a appelé « une
injure à la nature humaine ». Il a retiré
dans de nombreuses conférences le masque de
cette variété de vivisection de l'âme, qui
a saisi d'aussi larges cercles aujourd'hui, et
indiqué avec insistance sur ses dangers, ses
analyses conduisant purement au négatif, ses
connaissances d'apparence et sa manière de
penser voilant seulement la vraie nature
d'esprit de l'humain []L'eurythmie donc,
depuis sa naissance en 1912 a déjà trouvé un
cercle croissant d'étudiants, elle s'était
avérée à la fois comme un art indépendant, comme
aussi fait ses preuves depuis Pâques 1915 comme
une aide essentielle à la présentation d'œuvres
dramatiques, en particulier le
« Faust » de Goethe à Dornach (voir p.
276, 279). Étant donné les événements de la
guerre dans les pays pris en considération, la
formation à cet art a du temporairement rentrer
à l'arrière-plan, c'était une bénédiction que
maintenant à Dornach ai été donnée la
possibilité de réaliser systématiquement les
prochains pas de développement. Elle a commencé
avec le cours donné par Mme Tatiana Kisselev
pour les collaborateurs de la construction.
Longtemps un espace correspondant a dû être
trouvé pour elle, jusqu'à ce qu'enfin se trouve
dans le village l'auberge « Jura ». Pleins
d'amour, les cours pour enfants qui ont eu lieu
dans la salle basse de la Villa Hansi
débarrassée à ce but ont été soignés par elle.
Là le Dr Steiner a expliqué avec
détermination : cela ne le dérange pas, au
contraire. Avec Mlle Waller et son épouse Marie
Steiner, Tatiana Kisselev a travaillé là la
matière, et elles ont reçu à de telles
occasions maints conseils quand ici et là Rudolf
Steiner entrait. De ces débuts du travail,
Madame Tatiana Kisselev a écrit ses souvenirs,
qui seront peut-être aussi une fois rendus
accessibles aux intéressés. En Allemagne, le travail de l'eurythmie
pouvait être poursuivi et intensifié par cela
que résidaient alternativement à Berlin à cette
fin plusieurs jeunes femmes dominant déjà les
débuts. Du travail de cette époque Mme Marie
Steiner dans un article écrit en 1925 a déclaré,
dans une rétrospective illustrant la situation
dans l'année de guerre 1915 : «Après que nous ayons élaboré le premier
matériau de notre art par Rudolf Steiner, ce
furent pour la plus grande part des poèmes de
Conrad Ferdinand Meyer auxquels nous imprimons
les possibilités de notre geste eurythmique.
Nous avons appris à lui l'objectivation, la
ligne, l'unité, le geste dramatique, de
l'ambiance. J'ai testé ceux-ci le à ses poèmes
de la sensation dramatique se donnant à la
mesure de la nature de la légité de l'eurythmie
et trouvais que les deux se couvraient. Je me
réjouissais à ce geste rayonnant en retour dans
le miroir de l'eurythmie et ai reconnu en lui
une source de renouvellement pour l'art
d'expression dramatique. Il y a dix ans (1915), nous avons travaillé de
cette manière dans la rue Motz, dans la salle de
l'amie défunte Eugénie von Bredow. En ce
temps-là la Première Guerre mondiale menaçait
d'étouffer le jeune art en son germe, pas un
meneur de branche se trouvait prêt à aider les
jeunes filles dans leur [] travail
apparemment anachronique. Alors, je me suis
pris celui-ci. Nous avons beaucoup appris à
Conrad Ferdinand Meyer, et plus tard à Fercher
de Steinwand. Anne Marie Donath, Alice Fels,
Erna Wolfram, Anne Marie Groh, Lori Smits, Edith
Röhrle, Minnie Husemann étaient celles, qui avec
moi construisirent l'eurythmie. Et quand
je retournais à Dornach, je trouvais les
fruits du travail de Tatiana Kisselev, qui avait
d'abord travaillé avec diligence dans le modeste
espace de la Villa Hansi jusqu'à ce que nous
passions dans cette salle blanche du Goetheanum.
En elle, nous avons comme petit groupe obtenu ce
que nous appelons les formes grammaticales, les
lignes de conduite de ce qui coïncide avec le
nom, verbe, pronom, mot composé, etc . En elle
nous avons établi sur la base de l'obtenu les
premières scènes des évènements suprasensibles
du « Faust », avions le droit de représenter
scéniquement nos tentatives dans la menuiserie
et reçûment à cause de nos modestes réalisations
de la richesse incommensurable des formes
dessinées par Rudolf Steiner aux poèmes et
morceaux de musique. Ainsi se tissait l'un dans
l'autre ». Dans les conférences de science de l'esprit du
soir données pour tous les collaborateurs à
Dornach du 16 au 27 septembre 1915, le
chemin était maintenant signalé qui peut sauver
l'humain de l'abaissement des pensées et des
idées dans le sous-conscient menaçant
aujourd'hui, devant la volatilisation dans le
visionnaire, le durcissement de l'intellect, par
la méthodique vivification et renforcement
fournissent de son organisation des forces
formatrices. À l'initiation en la nature se
tenant par-dessus l'humain devenue unilatérale
dans les Mystères antiques et la tout autant
orientation de vue sur la nature inférieure dans
l'actuelle science doit être ajouté la
connaissance de la direction d'observation dans
l'humain comme pont entre deux mondes, si
l'évolution ultérieure devait se traduire à
l'avenir par une augmentation. « C'était donc l'état dans le milieu du
19e siècle que l'humanité en général, tout de
suite l'humanité civilisée, avait au plus
profond du sous-conscient toute vue du
spirituel, que cette humanité avait cependant
des tendances seulement matérialistes. Mais il y
avait un grand nombre de gens lesquels savaient
qu'il y a un monde spirituel, lesquels savaient
que justement ainsi que nous sommes entourés par
l'air, nous sommes entourés par un monde
spirituel. Mais ces humains étaient chargés en
même temps d'une certaine responsabilité, car
ils ne pouvaient pas relever d'autres capacités
existantes immédiates afin de montrer qu'il y a
un monde spirituel, et pourtant ils voulaient ne
pas laisser sombrer le monde dehors dans leurs
tendances matérialistes. Ainsi se tenaient ceux
qui ont été initiés au 19e siècle vis-à-vis
d'une situation très particulière, la situation
qu'ils devaient se dire : devrions-nous encore
préserver plus loin dans les cercles étroits, en
cercles des associations, ce qui a été reçu des
anciens temps et nous devrions regarder comme
l'ensemble de l'humanité avec sa culture et sa
philosophie sombre dans le matérialisme ?
Allons-nous assister à cela ? Les exotéristes - oui, on peut demander, ce
qu'étaient donc les exotéristes ? C'étaient
en fait ceux qui voulaient rendre une
partie de l'ésotérique exotérique. Au fond, les
exotéristes n'étaient rien d'autre que les
ésotéristes, mais seulement ils étaient enclins
à écouter leur sentiment de responsabilité et à
publier une partie du savoir ésotérique. Oui,
cela donna alors vraiment une discussion
largement répandue, dont le monde extérieur ne
sait évidemment rien, mais qui était tout de
suite particulièrement virulente dans le milieu
du 19e siècle ». Mais pendant que dans les siècles
précédents ces humains avaient encore eu dans
une large mesure la capacité d'avoir des visions
suprasensibles, clairvoyantes, ces compétences
se sont également presque complètement perdues
dans ces cercles par le durcissement de la
corporéité humaine dans le dernier siècle. Les
tentatives pour rétablir de nouveau le contact
perdu avec le monde spirituel, ils les prirent à
cause de cela comme les tentatives inappropriées
d'un non-nageur se noyant, qui tente avec des
moyens inadéquats de garder la tête hors de
l'eau. De tels moyens inadéquats, donc l'opposé
de tentatives ambitionnées, étaient par ex. le
spiritisme et la médiumnité qui ont émergés si
brusquement dans le 19e siècle, respectivement
ont été lancés. Mais, comme je le disais au
début (voir p. 48), ces tentatives en partie
bien, en partie mal intentionnées agirent à
l'opposé de ce qui était nécessaire. Ils ont
tiré, comme dans le spiritisme, le spirituel
dans des « phénomènes de
matérialisation » insensés et répugnants
dans la sphère sensorielle-physique, et
étouffèrent, comme dans la médiumnité, la
conscience vers le bas, plutôt qu'au contraire
révéler les forces spirituelles dans le physique
et de libérer de lui, de renforcer la conscience
et la détacher des entraves de la corporéité.
Rudolf Steiner a décrit toutes ces tentatives
inadaptées du 19e siècle et de la période
suivante et les a rejetés de la façon la plus
énergique et explicite. Il a aussi caractérisé
de fausses fins particulières que certains
cercles ont poursuivit par ex. avec des dotés
ataviques, des personnalités exceptionnelles
comme HP Blavatsky et d'autres . Il a
identifié les aberrations des ordres secrets
ainsi nommés de l'ouest, et la méthodologie de
l'Est, démodée, obsolète, influencée par les
enseignements secrets ainsi nommés tibétains et
indiens. Car il a un « occultisme » de l'Orient
et de l'Occident, qui est au travail plus
puissant et fort que le bourgeois moyen du temps
actuel le sait ou même seulement le pressent. Et
seulement par cela qu'on raconte soit des
histoires d'horreur, comme c'est la coutume dans
de nombreux cas aujourd'hui, soit qu'on regarde
clairement les faits et place quelque chose de
mieux, de plus vrai à la place, on peut
seulement une fois rencontrer du disponible et
imposer à ces influences une supériorité basée
sur un vrai savoir d'esprit. Les luttes derrière
ces coulisses sont plus réelles que ce que
savent communiquer les livres d'histoire ou des
quotidiens. À ces savoirs secrets de l'est et de
l'ouest, ésotérique et exotérique, planifié et
agissant en arrière-plan, Rudolf Steiner prit la
cape d'invisibilité.Car en ces sphères [] a été mené caché le combat
particulier. Mais Rudolf Steiner voulait
que soit combattu avec visière ouverte. Il plaça
l'esprit du milieu vis-à-vis de ces deux
extrêmes sombres, il éclaira les angles opaques
avec le rayonnement du soleil central d'une
connaissance spirituelle éveillée. Dans la
clarté cristalline le fait a été fait conscient
que les tentatives de laisser de nouveau couler
de l'esprit de l'Est et de l'Ouest dans
l'évolution de nos jours, travaillaient avec des
moyens faux, de politique de puissance et
égoïstes, ou du moins inappropriés et
endommageant la vérité supérieure. C'est un
phénomène typique entièrement naturel qui lui a
valu de telles découvertes de l'échec et
l'aberration de ces côtés les plus amères, plus
odieuses et plus passionnées oppositions. L'histoire
de l'humanité est elle-même un document
inéteignable pour cela. L'empire politiquement
le plus puissant ne pouvait pas arrêter, le
développement du christianisme, l'organisation
religieuse la plus puissante retenir
effectivement à long terme les résultats d'un
Galilée, d'un Copernic. L'heure actuelle le peut
encore moins, car elle a un rythme plus rapide
et en même temps un souffle plus court et un
horizon plus étroit. Mais ces questions touchent
des domaines de la pensée et de l'activité
humaine, où de telles mains ne suffisent pas,
des moyens et des forces échoueraient parce que
leur rayon est trop serré. À partir de tels
châteaux et fortifications l'obsolète n'est plus
à défendre, la nouvelle, qui doit venir, pas à
arrêter. Qu'est-ce que c'était, que Rudolf Steiner
inébranlable ambitionnait simplement et
clairement, en dépit de tous ces combats et
hostilités, qu'il prévoyait, parce qu'il l'avait
reconnu comme vrai et nécessaire. Il a vu le
fait qu'à la suite des anciennes opinions
représentées en ces châteaux et forteresses et
les paroles délivrées de là l'humanité sombrait
dans un chaos ;l'universalité ne sachant pas,
croyante et sans défense, une sachant peu,
expérimentant avec des moyens inappropriés et
finalement reconnaissant que les tentatives ont
échouées, mais pas prête à admettre pour
soi-même ou d'autres et en tirer les
conclusions. En premier on avait laissé tomber
la collectivité dans un matérialisme peu
profond, vide d'air spirituel, alors on avait,
effrayé là dessus, tenté de différentes
manières, de laisser à nouveau
« s'infiltrer » du spirituel dans
cette sphère incapable de vie. Mais aussi ces
expériences semblant reconduire au spirituel du
19e siècle, dont le spiritisme, le médiumnisme,
l'occultisme pratique actuellement et toutes ces
mesquines concessions ne sont que des exemples,
ils portaient l'empreinte de ce siècle, le
souffle de mort de la pensée matérielle en tout
cas. Les esprits les plus bas qu'on avait
appelés, on ne s'en défit
plus. Les rares qui savaient cela ne
pouvaient plus rester seulement « ésotéristes»
parce que l'humanité coulait dehors dans
l'ignorance ; les « exotéristes», aussi
loin qu'ils étaient de bonne volonté, ont perdu
la mesure pour cela que l'intellect du 19e
siècle pouvait encore accueillir et élaborer. Il
lui manquait à cette inaction ou action
précipitée, l'équilibre, le patrimoine de
remplissage, l'amour de l'humain qui le prend
comme il est, et construisant sur ce fondement
de la réalité les aides lui convenant, pour
satisfaire aux situations intérieures et
extérieures. Pour cela manquait à l'un le plus
souvent la connaissance propre du suprasensible,
ils avaient perdu la clairvoyance et seulement
conservé secrètement ses contenus et symboles
anciens. Aux autres manquait une connaissance
exacte du domaine sensoriel, des conquêtes
scientifiques du temps. pouvait tout cela, que les « ésotéristes »
veillaient, oui il le développait à partir de
ses propres capacités à de larges sphères, mais
il pouvait aussi le monde, lequel les
exotéristes voulaient sauver ou conquérir. Mais
il déclina tout de suite la veille égoïstes ou
conquérante, il voulait seulement reconduire les
deux mondes qui se rencontrent en chaque être
humain, à leur nécessaire synthèse naturelle,
spirituelle, et aider ainsi à construire un
nouveau point de départ pour la conception de
l'avenir. A cause de cela, il réveilla les
humains à reconnaitre, chaque châteaux des
anciens, qui combattaient le nouveau dans leurs
actions nuisibles et exploser leurs portes ;
c'est pourquoi il a donné à ceux qui voulaient
aller dans le sens de l'avenir, dans le même
temps la mesure, la réponse mesurée de la
formation spirituelle pour accomplir éveillé
chaque étape judicieusement dans la conscience
de l'harmonie de macrocosme et microcosme, monde
et humain,planification spirituelle et
accomplissement terrestre. C'est pourquoi aussi
ces conférences en octobre 1915 à Dornach,
culminaient à nouveau, vers la vision
claire de ce qui peut être appris des égarements
et dangers de l'histoire du siècle passé, en une
description systématique de l'ancrage de la
liberté intérieure et de la nécessité
spirituelle-cosmique dans l'individu
particulier. Il a donné du savoir spirituel de
l'ésotériste autant que l'intelligence, la
perspicacité et la force intérieure éveillée des
humains modernes pouvait atteindre, il a montré
comment une telle perspicacité dans l'esprit et
l'essence du monde doit également rendre féconde
l'activité formatrice sur terre. Il a donné
l'anthroposophie comme connaissance-esprit
ésotérique et devoir social exotérique. Un tel clair nommer-les-choses-par-leur-nom
devait, comme je l'ai dit, conduire
inévitablement à des combats et des attaques.
Les cercles, qui ont tenu ces châteaux et des
fortifications, se sont battus contre qui ne
s'est subordonné à leur domaine de puissance. Et
ceux qui ne savait rien de ces châteaux secrets
et leurs tendances, amenèrent celui qui a dû se
défendre contre ces cercles, même par erreur
avec eux en une relation, simplement parce qu'il
parlait d'eux. N'est-ce pas, quand l'un sait
quelque chose d'une chose, alors il doit bien y
appartenir aussi ? Une telle logique primitive
est maintenant souvent prise comme argent
comptant. Que quelqu'un sait quelque chose mieux
que les autres et tout de suite pour cette
raison, donc peut absolument surmonter ou
changer cela ne veut simplement pas entrer dans
maintes têtes étroites. Que le pionnier
spirituel doit regarder dans des grottes cachées
pour en prévenir d'autres, et alors grimper sur
des sommets lointains pour gagner distance et
vue d'ensemble, cela repose loin de l'humain
moyen, perturbe son inertie et paix. Il
appartenait à la solitude verticale et en même
temps amour non limité de l'humain d'une grande
personnalité, d'aller au-devant de cet assaut
polyvalent de haine et d'erreur et de
résister. Rudolf Steiner a exprimé ces
choses pour la première fois devant tout le
monde, son combat devait à cause de cela être un
exceptionnel. Mais il appartenait à ces rares
humains qui autour d'eux peuvent seulement
tolérer une sphère de clarté et de véracité,
aussi bien dans l'environnement proche que plus
large, comme un soleil, qui ne permet aucun
trouble autour de lui.C'était un combat, []
auquel celui de Michaël avec le dragon pouvait
être un modèle. Il a été conduit avec
visière ouverte et arme brillante. Qui déjà
combat et explique, dans le spirituel et
temporel, alors devrait aussi être dit
ouvertement, pourquoi, avec quoi et à quelles
fins. C'est l'un des grands exemples tragiques
de l'histoire que tant d'humains ne savent et ne
présentent pas du tout aujourd'hui pourquoi
Rudolf Steiner sera tant combattu et de manière
si méchante; que tous les arguments petits,
méchants, lisses, accessoires, qu'on entend là
souvent, ne touchent absolument pas l'essentiel
; que Rudolf Steiner regarde à partir d'un
niveau plus élevé, tout de suite combat souvent
pour ceux qui le honnissent parce qu'ils croient
et répètent les arguments trompeurs des vrais
ennemis ; qu'il combattit tout de suite cela que
ceux-là lui refilent ; qu'il a été le pionnier
et l'éclaireur pour tous ces humains-là qui
veulent préserver le bien de la tradition des
mystères spirituels de l'histoire humaine dans
la liberté, mais qu'il rend visible à nouveau et
voulait rendre accessible à chacun, et en même
temps reconnaissait que la métamorphose de
l'ancien au nouveau savoir de l'esprit de
l'éternel est la seule chose qui peut sauver
notre époque, oui lui est digne. C'est en fait
un combat michaelique où chacun qui s'est obtenu
un vrai aperçu peut combattre avec lui, et le
doit, s'il aime l'avenir. C'était comme le déblayer de décombres
puissants, mais paralysaient quand même
l'édification d'un nouvel édifice, que Rudolf
Steiner a entrepris précisément dans ces années
cruciales. Quand dans la troisième septaine de
vie du mouvement venant, il voulait laisser
venir un nouvel ordre social à la naissance,
ainsi devaient d'abord être étudiés et effacés
ancienne voûte, caves, blocs de pierre ne s'y
rattachant plus organiquement, qui dérangeaient
encore dans le nouveau chantier ou auraient
compromis la résistance des nouvelles
fondations. Dans les conférences se rattachant
immédiatement du 1er au 7 novembre sur
« Significatif de la vie de l'esprit autour
du milieu du 19e siècle », il plaça en face
de ces expériences négatives et dangereuses
utilisant des pouvoirs occultes au siècle
dernier encore une description des tentatives
caractéristiques de cette époque, au moins par
le moyen de la poésie, certaines pensées et
phénomènes spirituels devant les contemporains
matérialistes. Il a mentionné à cela par ex. les
étranges poésies de Gutzkow, dont l'oeuvre
« Le Chevalier de l'esprit » avait
donc été une bonne et forte tentative dans cette
direction, mais dans ce contexte en particulier,
la particularité de Gutzkow, l'oeuvre
introduisant dans le monde du Tibet et du
Dalaï-Lama « Mahaguru » ; ou aussi la
« Comédie non divine » de Krasinski,
dont les figures toutefois ne luttaient plus
avec un spirituel observé par eux. Rudolf
Steiner a dit à propos de ces œuvres
particulières du milieu du 19e siècle : « Ces
exemples doivent nous montrer comment dans le
cœur, dans les âmes, était disponible un
sentiment de cela qui va de soi dans les mondes
invisibles ». C'était justement cela : à
cette époque des isolés avaient seulement encore
un sentiment, aucun savoir de la réalité des
mondes spirituels,[] c'est pourquoi ces
œuvres portent la marque de l'inquiétant, de
l'ordre du feu follet. On tâtonnait dans
l'obscurité au seuil du monde spirituel, sans
pouvoir trouver la porte. Les humains décrits
dans de telles œuvres de Gutzkow, Krasinski,
portaient en eux seulement encore une substance
d'esprit atavique du passé et combattent de ces
forces avec le règne humain brut, dépourvu
d'esprit, brutal du présent ; il leur manque
cette connaissance-esprit, qui serait appropriée
à notre temps et serait donc efficace dans cette
bataille. Gutzkow jure, comme beaucoup de ses
actuels contemporains, qui ne connaissent rien
de mieux, la sphère occulte du Tibet, génial en
sa manière, mais elle néanmoins faussée, vue
avec les yeux ignorants, curieux de l'Occident.
Krasinski place dans son livre, un humain
cultivé, doué d'anciennes facultés ataviques à
celui en ce temps remontant de nouveau de
l'humain de pouvoir de la violence,
représenté par une personnalité de
« intérieurement de caractère entièrement
tartare mongol ». Un nouveau Gengiskhan qui
monte à l'horizon, au pouvoir extérieur un et
tout, est une fin en soi la conquête et
l'asservissement des semblables, une «
gymnastique mongole » qui d'ailleurs ne
vient pas de Mongolie, mais porte les traits
spirituels, d'un monde lequel a repris les
restes ahrimaniens de l'époque disparue de
l'Atlantide et qui s'incarne toujours n'importe
où sur terre comme un démon du passé, contre les
lois du développement. Tout cela ces humains du
19e siècle on bien vu à l'oeuvre dans le monde
ou montant à l'horizon, mais ils leur manquaient
eux-mêmes les armes spirituelles qui sont à
gagner seulement par le franchissement du
seuil des centres de forces des puissances
spirituelles de notre temps. Ils étaient
présentant l'esprit, mais pas connaissants ; ils
le cherchaient dans le passé et dans des pays
lointains, pas dans le présent et au milieu
d'eux-mêmes. C’est le tableau puissant d'une
époque qui portait les caractéristiques de la
transition de l'ancien au nouveau dans toutes
ses manifestations, une traversée de fleuve qui
de zones désertées en des domaines encore
inconnus. Une fois encore a été reconnaissable dans
les conférences de Rudolf Steiner en ce temps le
séisme spirituel ébranlant toutes les
fondations, qui s'était annoncé par grondements
dans le dernier tiers du 19e siècle que les plus
sensibles parmi les humains avaient sentis déjà
depuis longtemps, mais que la masse du peuple
entra seulement dans la conscience de la masse
des humains en premier par les catastrophes
guerrières et sociales et exigeait maintenant
une reconstruction de la demeure spirituelle et
physique largement détruite des humains sur
terre. - Rudolf Steiner a conclu ces conférences
avec les mots : « Le monde spirituel est là; mais les
humains peuvent s'en détourner. Et la
vision du monde matérialiste peut être nommée :
la grande conspiration contre l'esprit. Cette
vision matérialiste du monde n'est pas seulement
une erreur, c'est une conspiration, la
conspiration contre l'esprit. J'espère que malgré les quelques traits
individuels avec lesquelles je pouvais indiquer
cela, vos âmes seront saisies, afin que vos âmes
travaillent en ces pensées. Tout de suite [] les
confesseurs de la conception du monde en science
de l'esprit devraient savoir quelque chose des
impulsions du développement du monde, dans
lequelles vit l'humanité ». Ce n'est justement pas suffisant pour l'humain
éveillé spirituellement qu'il se rêve après les
mondes spirituels ou se construit à eux, il doit
aussi apprendre à regarder les puissances
spirituelles mauvaises, subtiles en leur visage.
Car le premier pas indispensable pour surmonter
ces pouvoirs, c'est que l'on sait de leur
existence. Qui va le chemin vers le Christ, doit
aussi être rencontré sachant par Lucifer et
Ahriman et leurs hordes démoniaques, sinon il se
fourvoie lui-même et le monde avec. Notre temps
a besoin d'humains qui ??? par un tel
spectacle, aguerri par telle bataille de
l'esprit, ne se laissent berner par aucun voile,
aucune phrase, aucune routine, aucun camouflage
de l'environnement. Si jamais un temps, ainsi le
20e siècle en train de naître maintenant,a
juste besoin de l'amour à l'humanité commune des
humains durs, éveillés, sachant. C'est ce a quoi
Rudolf Steiner dans ces décennies de son travail
depuis le tournant du siècle a voulu éduquer. L'époque des luttes sociales, crises et
décisions approchait. Elle est confiée à de
tels humains.Elle trouvera en premier ses
solutions lorsque l'afflux des sources
spirituelles ne sera plus endigué, mais ouvert.
À la fin de cette décennie caractérisée
ci-dessus de 1909 à 1916, le germe de la
question sociale commença à faire ses premières
racines dans le sol-mère de la création
spirituelle-artistique. Un cosmos de forces de
connaissances a commencé à orienter ses rayons
oeuvrant sur lui. Le moment rapprochait où il
devait selon les lois de l'évolution venir à la
lumière du jour. Après cette longue période d'intense
activité à Dornach Rudolf Steiner se consacra à
la mi-novembre à nouveau à un voyage de
conférences à Berlin, Stuttgart et Munich. Et
commença le 16 novembre à Berlin avec un cycle
de six conférences : « Sur formation du destin
et vie après la mort ». Dans les paroles
d'ouverture, il a dit : "Comme après une longue absence j'ai le droit à
ma grande satisfaction d'être de nouveau parmi
vous, ainsi j'aimerais utiliser les trois
conférences cette semaine avant toute chose
à tourner nos regards sur des
connaissances du monde spirituel, qui se
tiennent dans une relation proche ou plus
éloigné de ce que ce qui donc doit tant nous
occuper et toucher des événements significatifs
si décisifs du temps. Le regard ne devrait être
jeté sur ces événements du temps eux-mêmes, mais
sur ce qui se rattache bien dans toutes les
âmes, dans toutes les sensations avec ces
événements du temps comme des énigmes, comme des
questions angoissantes de la destinée des
humains et du monde. Le regard devra être
orienté là-dessus ». Il a tout d'abord débarrassé les
représentations matérialistes, lesquelles
veulent expliquer l'être humain individuel
seulement des forces matérielles de l'hérédité
de la série des générations, et donna alors une
présentation de la connaissance selon la science
de l'esprit qu'avec la naissance de chaque
humain, une individualité déjà passée à travers
de nombreuses vies antérieures sur de terre se
coule dans la structure physique du corps
terrestre, pour ainsi dire dans le [] - 1915 - « modèle », l'enveloppe extérieure, qu'ici
présente le courant héréditaire et qui doit
d'abord être transformée et adaptée par
elle : « Pourrait-on voir – quand absolument
l'hypothèse serait justifiée, serait aussi
seulement un instant envisagée – pourrait-on
voir, ce que cet être humain extérieur peut
devenir seulement par les forces de l'hérédité,
les forces, qui sont propres à la substance, qui
nous sont transmises des parents, alors nous
verrions qu'avec ces forces de l'humain ne peut
devenir celui qui il est. Nous devons dans ces
forces qui constituent notre être-là physique
extérieur, et dans ces substances et
articulation d'organes verser dedans ce que nous
apportons avec comme âme, devons la forme que
nous obtenons des parents, déverser avec cela et
d'abord adapté à cette personnalité individuelle
que nous sommes. Comme dis, c'est une hypothèse stupide, mais on
peut la dresser, pour le rendre clair : pensons
le nous une fois, qu'est-ce qui aurait pu
pourrait arriver, si tous vous pouviez être nés
uniquement de vos parents ? Nous considérons à
cela du karma, considérons de cela, que nous
naitrions naturellement dans des familles
déterminées, nous ne voyons que sur l'héritage
physique. Vous ne seriez là tous les mêmes comme
humains.Là vous auriez seulement le caractère
physique de l'humain en général. Que vous soyez
un humain tout à fait individuel très
spécifique, que tant d'humains individuels
soient assis ici en face de nous, cela provient,
que le modèle humain général jusque dans la
subdivision la plus détaillée est ciselée de
l'individualité spirituelle qui vient du monde
spirituel et plonge en dessous dans ce qui est
donné par le père et la mère ». Le destin terrestre provient à cause de cela de
deux composantes de forces, celles de
l'écoulement de l'hérédité et celles à partir
des vies antérieures sur la terre en forme
d'individualité avec une essence propre. Dans ce
cadre d'une biographie, il n'est pas possible de
refléter ici la richesse des connaissances et
des phénomènes que Rudolf Steiner a développés
dans de telles conférences pour comprendre les
processus de la naissance et de la mort, de la
vie sur terre et de l'existence spirituelle
après la mort. Il doit être renvoyé à ses œuvres
pour cela. Lui-même a aussi parlé dans cette
conférence des étapes que le chercheur spirituel
doit d'abord grimper, pas pour pas. « C'est un préjugé, quand on croit que
celui qui voit dans le monde spirituel pourrait
maintenant être à même de donner des
informations sur tout. Et tout de suite ainsi
qu'ici dans le monde physique les choses seront
explorées de proche en proche, d'époque en
époque, c'est aussi ainsi pour la vie
spirituelle que peu à peu les choses seront
explorées.Mais tout de suite l'absolue
approbation des faits spirituels particuliers,
quand ont les explore ainsi de proche en proche,
comme il s'établit toujours de nouveau et à
nouveau du neuf, elle peut aussi à celui qui ne
voit pas encore dans le monde spirituel, être
une preuve de la justification de cela qui sera
obtenue dans la recherche sincère du monde
spirituel ». Il a touché aussi en ces conférences des
questions spéciales qui étaient devenues
particulièrement actuelles par la mort brusque
de tant de jeunes humains dans les événements de
la guerre, comme la différence entre la
structure spirituelle et la vie après la mort
chez de tels humains qui, avant ou après le
milieu de la vie, avant ou quelque peu après
l'âge de 35 ans vont à travers la porte de la
mort, le destin des « jeunes » et « anciennes »
âmes ; l'aide, laquelle sera attribuée à
l'évolution spirituelle de l'humanité dans son
ensemble par de telles âmes, qui avec [] encore des forces inutilisées
entrent dans le monde spirituel. Il a
expliqué le l'action de malheurs réels ou
apparents sur la formation du destin ; qui dans
notre dynamique interne, nous étant souvent
inconscient, connaissance prophétique de la
nature supérieure de l'homme agissante ; les
changements apparaissant dans cette structure de
forces par une mort naturelle ou violente ; la
vie de souvenirs et les échanges avec les morts
; l'aide que les deux mondes peuvent se donner
mutuellement. Il a caractérisé aussi de nouveau
avec de riches exemples « l'obscurité de la
vie de l'esprit d'aujourd'hui et la pensée
tombée bien bas de notre temps », et décrit
les forces de construction quand même
disponibles au milieu des forces de
déconstruction présent dans chaque humain, leur
exercice, formation et entrainement du noyau
d'une future culture plus spirituelle doit tout
de suite maintenant introduire. Le 22 novembre, Rudolf Steiner a parlé à Ulm,
lors de la crémation et des funérailles de l'un
des membres les plus anciens et les plus actifs
du mouvement, mademoiselle Sophie Stinde,
qui avec son amie la comtesse Kalkreuth,
comme mentionnée précédemment, a en particulier
pris en charge et promu les premiers débuts du
travail à Munich et est maintenant passée après
un chemin de vie riche en contenu, énergique et
utile le 17 novembre 1915, par la porte de la
mort. Elle appartenait depuis 1904 aux courageux
pionniers du travail inauguré par Rudolf
Steiner, et il a dessiné dans ces funérailles de
la substance de cette vie une peinture
inoubliable que remporte la signification de
telles individualités humaines par-dessus l'être
subjectif dans l'objectif-valable pour les
vivants et les morts en une sphère plus élevée
continuant d'agir. Aussi dans son lieu d'action
à Munich, il a renouvelé le 29 novembre 1915 par
des paroles commémoratives cette invocation de
l'intimité et de la présence spirituelle des
morts. Les conférences publiques à Munich attiraient
l'attention sur la « Scène des pensées
comme résultat de l'idéalisme allemand en regard
de notre temps porteur de destin » et
« Les forces éternelles de l'âme humaine ».
En rattachement. Il poursuivit à Berlin le
cycle de conférences commencé en novembre sur la
formation du destin et clôtura les conférences
publiques le 16 décembre sur le thème « Esprit
de Fichte au milieu de nous ». Il a conduit
par une description du cours de la vie, la
disposition à l'engagement courageux, l'acte
spirituel enflammant de Fichte les auditeurs à
cela de laisser ce grand humain et ses
aspirations à de nouveau renaitre au milieu
parmi nous, se concentrer sur ces objectifs
qu'il avait signalés comme les plus hauts : « Un sens particulier, un sens nouveau,
ainsi dit Fichte, on doit en devenir conscient
en soi, quand on veut faire l'expérience de cet
être dans l'esprit, qui fait d'abord tout autre
être compréhensible, je suis, et je suis avec
tous mes buts seulement dans un monde
suprasensible ! C'est l'un des mots que Fichte à
lui même forgé, et qui comme le leitmotiv va à
travers tout ce dont Fichte a parlé le temps de
sa vie … Et ainsi cette fois-là Fichte imprima à ses
auditeurs cet être dans le suprasensible, cette
vie dans le spirituel, ce maniement d'une
suprasensoriel-sensoriel, qu'il dit : «Le
nouveau sens est donc le sens pour l'esprit;
celui, pour qui n'est qu'esprit, et absolument
rien [] d'autre, et à qui aussi
l'autre, l'être donné, prenant la forme de
l'esprit, et il s'en transforme. Cela fait que nous pouvons le, Fichte, sentir
comme un héros légendaire, comme un héros de
l'esprit, qui peut là toujours être considérées
comme un chef de file de son peuple dans
l'esprit, si ce peuple se comprend seulement
correctement !` Une pré fête de Noël le 19 décembre a réuni les
amis encore une fois pour un discours de Rudolf
Steiner: « La pensée de Noël et le mystère du
Je. L'arbre de la Croix et la Légende dorée ». À Noël, il arriva de nouveau à Dornach. Là ont
été maintenant répétés les simples anciens jeux
populaires de Noël, mais remplis du contenu
intérieur le plus profond de la substance de
Noël et amenés leur première fois en
représentation sur la petite scène de la
menuiserie. Ces jeux avaient en premier
recueilli autrefois Karl Julius Schroer, le
professeur Rudolf Steiner, à partir de la
tradition de la Transylvanie et Rudolf Steiner
les avait rénovés pour notre temps et
retravaillés pour la scène: le jeu des bergers
et le jeu des rois. Dans la préface de la
nouvelle édition * Mme Marie Steiner dit sur
l'histoire de ces jeux de Noël qui ont été
ressorti par Rudolf Steiner de la dissimulation
et présentés comme un trésor précieux pour
aujourd'hui et l'avenir, et sont depuis été
représentés dans de nombreux pays d'après ces
indications : « L'amour profond qui liait Rudolf Steiner
avec son ancien professeur Karl Julius Schroer,
dont le travail de sa vie, il se sentait pas
suffisamment apprécié, coula ainsi ensemble avec
les souvenirs à ces vieux jeux de Noël que
Schroer avait découverts parmi les colons
allemands de Hongrie et dont il racontait
souvent à ses étudiants avec beaucoup de
vivacité, rendant même la façon dont les
agriculteurs les représentaient. Bien qu'à ce
moment-là, il les publia accompagnés d'un traité
historique et littéraire, ils n'ont pas été
considérés par le public. Ils sont restés bien
cachés, disparus jusqu'à ce que Rudolf Steiner
les amena à la lumière du jour - et de l'arbre
de Noël – en ce qu'il incita les membres de la
société anthroposophique à les jouer au moment
de Noël; et donna aussi les instructions de
style correctes pour cela qu'il était seul en
mesure de donner de sa connaissance de la
tradition et de l'objet. En 1910, cela a
commencé - les jeux ont éclaté bientôt dans les
écoles, les hôpitaux, et pouvaient partout
réchauffer et illuminer les coeurs. Aussi à
l'étranger la suggestion a été saisie. Leur
site de soins principal était Dornach, où ils
sont représentés chaque année dans la menuiserie
du Goetheanum depuis 1915. Dr Steiner pouvait
continuer à donner ses exactes indications,
combler de nombreuses lacunes dans le texte,
corriger certains ingrédients commutés,
incertain tâtonnement et ainsi ramener les jeux
à nouveau au plus près de leur forme
d'origine ». Ceux qui ont assisté à ces ou ultérieurs
essais de répétition sur la scène primitive à
Dornach – j'ai eu moi-même le droit de
jouer quelques années le roi Balthasar - il
pouvait faire l'expérience de Rudolf Steiner
dans son élément en tant que formateur créatif
d'un nouvel art de la scène. À cela doit être
mentionné que dans la première décennie de ces
représentations, aucun des participants n'était
acteur de profession, mais que ces populaires «
jeux profanes » étaient mis en scène avec des
humains *
S.«jeux de Noël de folklore ancien. Les
Jeux d’Oberuferer ".[] qui exerçaient de tout autres métiers et la
plupart n'ont jamais été sur une scène.Une scène
primitive, simple, en planches, environnée
par simples rideaux bleu pâle, animés par
des branches de sapin, au milieu un véritable
arbre de Noël, pendu avec des caractères d'or et
dans le jeu du Paradis aussi avec des
pommes, dans le jeu des trois rois avec des
rideaux blancs, les acteurs dans la plus simple
robe de couleur Roi Melchior rouge, Balthasar
bleu, Kaspar vert, avec du papier- ??? et
couronnes, un bâton de bois sculpté comme
sceptre, les bergers de fourrures brutes, Maria
dans une robe rouge avec cape bleue, Joseph en
robe brun foncé, le diable en forme de
chauve-souris noire, Dieu le Père, avec longue
barbe blanche, l'ange avec des ailes blanches et
une étoile d'or sur son front, etc. On se tenait
tout d'abord maladroit autour sur la scène, le
mouvement souvent terriblement difficile, la
langue trop affectée - ou trop intellectuelle
pour des types populaires, bref toutes les
mauvaises habitudes du débutant en soi et à soi.
Rudolf Steiner était assis dans la salle tout
d'abord regardant, maintenant il se leva, est
monté sur scène et a joué un rôle lui-même: roi
et berger, Dieu le Père et Hérode, ange et
diable, Joseph, Marie et les aubergistes. Tout
d'abord tous les participants, qui sont venus la
plupart d'autres parties du monde, devaient être
amenés à parler autant que possible le dialecte
autrichien. Ce n'est certainement pas par hasard que
cela eu lieu à Dornach juste à la fin de la
deuxième septaine de vie du mouvement qui avait
élevé les chemins artistiques de l'expérience du
monde à dominante, à l'instant de la transition
vers la troisième septaine de vie qui laissa
entrer au premier plan, la solution de tâches
sociales. En rattachement aux premières de ces Jeux de
Noël à Dornach, Rudolf Steiner a donné du 26 au
28 décembre 1915 trois conférences « Sur
d'anciens jeux de Noël », lesquels à portée
de main de l'histoire montraient comme de tels
courants de l'esprit ??? avaient leur
source une fois dans les mystères du passé, en
vision suprasensible des humains initiés, comme
cette attitude d'esprit alors, dans la
mythologie, la religion et la philosophie,
toutefois, sa force atténuée, reste conservé par
moment et a finalement été gardé pour la
postérité dans les sagas, les légendes ou de
tels jeux populaires. Le noyau sain d'un peuple
ne se laisse justement donc pas éradiquer par
intellect et matérialisme, il attend jusqu'à ce
qu'il soit de nouveau un temps pour lui, de dire
sa parole, pour activer ses merveilleuses forces
de guérison. La dernière conférence de cette année à
la Saint-Sylvestre a été consacrée au thème : «
Le cours de l'année comme symbole de la grande
année des mondes ». Nous avions déjà rendu
attentif qu'aussi la première conférence du 1er
janvier de cette année a été consacré à
l'harmonie des forces de l'âme humaine avec les
processus cosmiques. Ainsi se ferma le cercle
spirituel de cette année dans une harmonie
planifiée de la substance interne et du
mouvement. Cette conférence de Nouvel An partait
maintenant des niveaux de la conscience qui
repose à la base de tous les processus dans le
cosmos, la terre et l'homme. Car aussi derrière
les processus de devenir de l'organisme de la
terre se tient de la conscience, toutefois une
telle qui n'est pas accessible à partir de
l'horizon des forces actuelles d'intellect de
l'humain. Comme l'humain a trois phases de
conscience dans le sommeil, le rêve et l'éveil,
et peut et doit ajouter ces stades de
développement plus élevés, supplémentaires, par
la formation, ainsi est aussi la dynamique
interne des processus d'être et d'agir du
monde cosmique le créant et l'environnant
accompagné et guidé par d'innombrables
étagements de conscience plus basse ou plus
élevée. Rudolf Steiner exposait maintenant fait
cet aspect suprasensible du devenir dans le
cours de l'année et du temps, les phases de
sommeil et de veille de sorte plus élevée en
temps d'été et d'hiver, le degré de véracité de
maintes anciennes traditions, qui savent
informer de saint et démoniaque dans l’essence
des 13 jours et nuits saintes entre Noël []
et Epiphanie. Il a rappelé le savoir
perdu de l'esprit des « éons », aux grands
rythmes d'évolution dans lesquels il n'y a pas
seulement Nouvel An et Saint sylvestre d'une
année, mais une Saint sylvestre des mondes et un
Nouvel an des mondes. Il a décrit comment
l'humain au cours des incarnations est appelé à
participer à ce processus de devenir planifié.
Et il réveilla la conscience pour cela que de
tels moments que l'actuel, qui représentent un
vrai réveillon des mondes attendent les forces
les plus puissantes de la conscience de veille
et un vécu voyant des arrières plans des
humains. Avec cela aussi l'année 1915, dans son aspect
extérieur si enceinte de décisions lourdes, si
opaques d'espoir et de foi, il remplit,
apparemment si dépourvue de sens, est quand même
devenue reconnaissable en tant qu'organe dans un
être vivant plus élevé, comme heure importante
de monde dans les affres de la naissance d'une
nouvelle ère. |